Villa Médicis

Windsor Klébert Laferrière est un intellectuel, écrivain, et scénariste haïtien vivant au Canada, né à Port-au-Prince le 13 avril 1953. Il partage sa vie entre Montréal et Miami. Son écriture privilégie le style autobiographique. Il a reçu le Prix Médicis 2009 pour son roman L'Énigme du retour.

existé dans la cours du XVI e siècle d'Henri II - Henri II: fils de Francais I et Claude de France ; il est aussi le Duc d'Orléans - Diane de Poitiers : aussi Duchesse de Valentinois, maitresse du roi - Reine : jamais nommée mais c'est Catherine de Médicis mère de 3 rois de France : Francois II , Claude IX et Henri III - Elisabeth de Fr : fille d'Henri II. Promise au roi d'espagne mais c'est son père qui la veut - Reine Dauphine : Futur Marie Stuart B/ Personnage présenté de manière parfaite

Lorenzo auprès du duc Alexandre. On peut aussi remarquer que Musset ne fait pas une scène d'exposition habituelle car il présente d'emblée l'enlèvement de Gabrielle. L'acte II est consacré a la querrle des Strozzi, opposant les aristocratiques aux Médicis, avec Saviati qui harcèle leur soeur, Louise. On découvre aussi l’ambition politique adverse du cardinal, et sa volonté de manipulation de la Marquise a travers la confession de cette dérnière. À l’acte III, on assiste à la catastrophe politique

tardive. Il a été l’apprenti de Domenico Ghirlandaio, qui l’a recommandé à  Laurent de Médicis qui le place dans un atelier de sculpture de plein air dans les jardins de la place Saint-Marc, dirigé par le sculpteur Bertoldo di Giovanni, élève de Donatello. Il travailla plus tard pour Raffaele Riario. Michel-Ange est ensuite demandé à Rome, par le pape Jules. De retour à Florence, Michel-Ange travailla pour les Médicis. Il revint à Rome pour travailler sous les ordres du nouveau papa Clément VII. A sa

dans Lorenzaccio une satire de la noblesse mais l'image qu'il donne du peuple est biens moins flatteuse que celle d'Hugo. Il déplore en effet la passivité des républicains, incapables de renverser le "conducteur de bœufs" qu'est le duc Alexandre de Médicis.

------------------------------------------------- LORENZACCIO- Alfred de Musset 1834 Acte I: Scène 1 : C’est le carnaval de Florence en 1537. Alexandre de Médicis (=le duc) est en compagnie de Lorenzo, son cousin. Ils ont achetés une jeune fille de quinze ans pour le duc (prostitution) au palais du duc. (=Gabrielle). Ils l’attendent avec impatiente. Maffio est le frère de Gabrielle. Scène 2 : le duc est un enfant illégitime.* Il a été nommé par Charles Quint et le pape. L’orfèvre et le marchand

Cependant, il serait trop s’avancer que d’affirmer que la scène première est dépourvue d’intérêt. Ses deux principaux protagonistes sont Lorenzo (qui donne son surnom à la pièce, qu’on sait donc être le personnage principal) et le Duc Alexandre de Medicis – lesquels sont absents de la scène suivante. Ceux-ci attendent de nuit, dans un jardin, une jeune fille du nom de Gabrielle. C’est dans ce cadre spatio-temporel et avec cette situation typiquement romantique que Musset s’amusera à rompre les règles

cesse d’offrir de lui-même une image brouillée et instable. En quête d’identité il ne parvient à trouver son équilibre psychique. Ce caractère trouble, est concrétisé par les différents noms ou surnoms qu’il reçoit au cours de la pièce : « Lorenzo de Médicis » (le duc), Lorenzino (Marie, sa mère), « Renzino  » (surnom familier du compagnon de débauche donné par le duc), Lorenzetta (surnom qui correspond à l’être efféminé qu’est Lorenzo, le duc), Lorenzaccio (maudit par les gens honnêtes du peuple). =>

juillet 1864, adressée au directeur de l'Odéon, stipule : « Nous ne croyons pas que cette œuvre, arrangée telle qu'elle est, rentre dans les conditions de représentation du théâtre. Les débauches et les cruautés du jeune duc de Florence Alexandre de Médicis, la discussion du droit d'assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du Prince par l'un de ses parents, type de dégradation et d'abrutissement, nous paraissent un spectacle dangereux à présenter au public

du 23 juillet 1864, adressée au directeur de l'Odéon : « Nous ne croyons pas que cette œuvre, arrangée telle qu'elle est, rentre dans les conditions de représentation du théâtre. Les débauches et les cruautés du jeune duc de Florence Alexandre de Médicis, la discussion du droit d'assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du Prince par l'un de ses parents, type de dégradation et d'abrutissement, nous paraissent un spectacle dangereux à présenter au public