Villa Médicis

favorable à leur cause), et déçu par le retour de la paix, il consacre son ardeur combative à la rédaction de ses ouvrages. L’assassinat de Henri IV (14 mai 1610) fragilise sa situation sur le plan politique ; trop intransigeant pour plaire à Marie de Médicis, il est dès lors l’objet de diverses moqueries. En outre, la cour apprécie peu ses talents de poète satirique : en 1620, il quitte la France pour Genève, où il s’établit sans pour autant renoncer à se mêler des affaires du royaume, et notamment à

Tentative de renversement du pouvoir en place par les Républicains. Notions du programme abordées : Le romantisme et l’art dramatique. Contenu : (ACTE I : Florence en 1537 Scène 1 et 2 Les deux aspects de Florence après la restauration des Médicis : -Les Familiers d’Alexandre se permettent tout : Dans scène 1 duc et Lorenzo attendent une jeune courtisane qu’ils ont payé ½ milliers de ducats d’avance pour que le duc passe 1 nuit avec elle. Dans scène 2 Lorenzo est déguisé en nonne et lâche

comptes et chancelier. Son nom reste associé aux tentatives de pacification civile durant les guerres de religion. En effet, il oeuvra pour la paix entre les religions et c’est ainsi que commença sa carrière politique en 1560. Appelé par Catherine de Médicis, il avait pour mission de calmer les ardeurs des deux camps. Mais face aux convictions ancrées des catholiques et aux protestants et à la haine qu’ils se vouaient, Michel de l’Hôpital ne pu rien et ne réussit pas à les réconcilier, ou tout du moins

tuer Salviati due a c'est remort. Il décide de préparer un complot, avec ses amis, contre l'ignoble Alexandre de Médicis. Puis en effet il réussit à convaincre son père de l'accompagner chez les Pazzi, où a lieu un banquet républicain. Alors qu'ils se rendent chez les Pazzi, Pierre et Thomas sont arrêtés par un officier allemand et sont tout deux conduits en prison. Alexandre de Médicis a décidé de faire comparaître devant le tribunal les deux fils Strozzi. Leur père se lamente de l'iniquité de

LOUIS DIEUDONNE Fils de Louis XIII et d'Anne d'Autriche, Louis est le fruit d'unions dynastiques : ses parents sont des deux familles les plus puissantes d'Europe (Bourbon et Habsbourg), ses grands-parents paternels Henri IV et Marie de Médicis, étaient respectivement Franco-Navarais et Florentin ; ses grands-parents maternels, Philippe III et Marguerite d'Autriche-Styrie étaient espagnol et autrichien, tous deux Habsbourg, proches parents l'un de l'autre4. Au traditionnel titre de Dauphin de Viennois

au maître de Florence, Laurent de Médicis qui le place dans un atelier de sculpture de plein air dans les jardins de la place Saint-Marc, dirigé par le sculpteur Bertoldo di Giovanni. De 1490 à 1492, Michel-Ange devient le protégé de Laurent et est logé dans son palais.. Il est influencé par un milieu libre qui fait évoluer ses idées sur l’art et ses sentiments sur la sexualité. Il admire les collections de statues de la Grèce antique accumulées par les Médicis et il se promet de devenir sculpteur

Brunelleschi rompt avec le vocabulaire gothique. Ses inventions ne firent pas immédiatement l’unanimité mais ses innovations ont suscité l’imitation et il devint une grande référence. On peut le constater dans l’architecture de la cours du palais des Médicis par Michelozzo, qui reprend exactement le même principe du module répété. Ses théories architecturales seront ensuite propagées hors de Toscane avec Alberti qui continuera la démarche de Brunelleschi dans ses œuvre et diffusera ainsi une idée mathématique

&ct=result&resnum=1&ved=0CBcQ6AEwAA#v=onepage&q=%22analyses%20du%20printemps%20de%20botticelli%22&f=false Sandro Botticelli, Le Printemps, vers 1478, huile sur bois, 205 x 314 cm, Florence, Office. Vers 1478, la famille Médicis, puissante famille de banquiers et de marchand, commande à Sandro di Mariano Filipepi dit Botticelli, une fresque du genre mythologique et allégorique pour le palais de Castello. Il s’agit d’une huile sur bois mesurant 205x314 cm. Botticelli peindra

Filippo Lippi (Florence vers 1406 – Spolète 1469), fut au XVIe siècle attribuée par Giorgio Vasari à Cosme l’Ancien (1389-1464), mécène qui plaçait sa confiance dans frère Filippo et commissionna nombre de ses œuvres. Le concept exprimé par Cosme de Médicis s’accorde à merveille avec le climat humaniste du début du XVe siècle florentin, et il est de toute évidence inspiré par le “Symposium” de Platon que Leonardo Bruni avait partiellement traduit. Peu importait donc à Cosme que frère Filippo fût un artiste

Fortitudo. En 1475, Botticelli commence une longue relation avec la famille Médicis, ce qui lui assure une sécurité et de nombreuses commandes. En 1481, Botticelli est appelé par le pape pour décorer la chapelle Sixtine, il représentera Jésus et Moïse. Apres cela, il réalisera encore de nombreuses fresques. En 1482, après la mort d’un proche, il revient dans sa ville natale, Florence. Une fois rentré il aidera les Médicis à réaliser une peinture. Botticelli meurt le 17 mai 1510 à l’âge de 65ans