Victor Hugo Monologue Hernani

1. Politique -Le théâtre engagé du XIXème siècle permet aux auteurs d'affirmer leurs opinions politiques ou autres. Exemple : Hernani de Victor Hugo, qui donne lieu à la bataille d'Hernani opposant les anciens (romantiques) aux modernes (traditionnalistes). -Antigone de Sophocle et de Jean Anouilh donne son avis et oblige le lecteur et même le spectateur à réfléchir. Les opinions politiques peuvent changer : Anouilh a interprété la pièce pour la première fois durant la seconde guerre mondiale pendant

qui, paradoxalement, créent l'illusion théâtrale à laquelle le spectateur aime se laisser prendre ? Ou dévoile-t-il la vérité ? Annonce du plan : s'il n'est pas, comme le dit Hugo, « le pays du réel », ne dépasse-t-il pas l'artifice pour viser une authenticité humaine et nous reconduire, par des détours, à ce que Hugo appelle le « vrai » ? I. Le théâtre, art de l'artifice et de l'illusion : un univers de faux-semblants Le théâtre est essentiellement « représentation ». Or « représenter »

entend atteindre un but esthétique par le truchement de l’imitation des auteurs antiques, et de l’autre côté les auteurs romantiques qui revendiquent l’inspiration créatrice et le bouleversement des codes pour parvenir à la beauté et à la vérité. Victor Hugo écrit en 1826 dans Préface des Odes et des ballades : « On entends tous les jours, à propos de production littéraire, parler de la dignité de tel genre, des convenances de tel autre, des limites de celui-ci, des latitudes de celui-là ; la tragédie

Mille Francs de Récompense Fiche Technique : Titre : Mille Francs de récompense Dramaturge : Victor Hugo Metteur en scène : Laurent Pelly Comédiens : Jérôme Huguet (Glapieu), Christine Brücher (Etiennette, un masque), Fabienne Rocaboy (Cyprienne), Laurent Meininger (Rousseline), Rémi Gibier (Le Baron de Puencarral, un inspecteur de police, un masque, un recors), Benjamin Hubert (Edgar Marc), Emmanuel Daumas (Monsieur de Pontresme, un recors), Eddy Letexier (Le major Gédouard, un afficheur

tirade d'un de ses personnages. Les monologues notamment permettent une réflexion plus profonde sur la société, puisque le personnage est face à lui-même (et au spectateur). C'est le cas dans Hernani, drame romantique de Victor Hugo. Don Carlos - roi d'Espagne-, seul devant le tombeau de Charlemagne, dans l'acte IV, scène 2, réfléchit et exprime son ambition de devenir empereur. À travers ce monologue, il peut critiquer les différents régimes politiques, comparer. Hugo inclue ses opinions politiques

l'effet romantique et comique et n'on pas l'effet tragique. Dans une seconde idée, on remarque que dans certaines œuvres, l'invocation d'espaces vastes et de conflits est très réduite, contrairement aux pièces tragiques ou comiques. Comme dans Hernani de Victor Hugo où l'intrigue va se restreindre dans le palais de Silva et non pas dans des vastes espaces, des grandes plaines. Donc pas toutes les pièces se déroulent dans des grands espaces et de grandes plaines. Dans un troisième temps, nous allons

Avant Propos Victor Hugo a toujours été un écrivain qui a été critiqué. Même sa femme ne l’a pas épargné. Elle l’a comparé à un cyclope. Elle disait qu’il n’avait qu’un œil avec lequel il voyait que lui-même. André Gide quand on lui demandait quel était le plus grand poète français, répondait, mi-admiratif, mi-ironique : " Victor Hugo, hélas". D’après Cocteau Victor Hugo était un fou qui se prenait pour Victor Hugo. Malgré tous ces critiques il est considéré comme un des géants de la littérature

condamné Rédigé par Victor Hugo Édité pour la première fois en 1829 SOMMAIRE I- Victor Hugo, romancier de génie II- Le dernier jour d'un condamné, œuvre réaliste et fantastique III- Contexte historique du XIXème siècle IV- Portraits des personnages principaux V- Résumé de l'histoire VI- Présentation des différents thèmes abordés dans l'ouvrage VII- Étude d'un extrait de l’œuvre VIII- Avis personnel à propos du dernier jour d'un condamné I- Victor Hugo, romancier de génie

de la Révolution française / théorisation par Diderot - Allemagne : profond renouveau théâtral avec Schiller ( « Guillaume Tell ») et Goethe (« Faust ») LE XIX° SIECLE / A – LE ROMANTISME / Fondation de l’esthétique du drame romantique par Victor Hugo en 1827 dans un texte fondamental, « la préface de Cromwell », qui présente qqs points essentiels : - le drame doit opérer un mélange des genres pour que le théâtre soit une image exacte de la vie réelle - les unités classiques de tps et de

« regarder »ce qui indique que le théâtre est d’abord fait pour être vu. C’est un genre littéraire associé a la représentation. C’est aussi le bâtiment dans lequel on vie. - les répliques : des échanges de paroles - la tirade : une longue réplique - le monologue : la tirade d'un personnage seul sur scène - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers - le soliloque : tirade d'un personnage en présence d’autres personnages (au moins un) - l'aparté : des paroles adressées en particulier