Victor Hugo Les Trop Heureux

des émotions (La poésie peut chanter l'amour, la joie, le bonheur) b)La poésie et le monde extérieur (La poésie n'est pas nécessairement introspective et intimiste. Elle peut aussi prendre parti, s'engager dans des combats sociaux ou de Victor Hugo contre la peine de mort, poésie de la Résistance comme Aragon.) c)La poésie pour elle même (La poésie peut n'avoir d'autre objet qu'elle même, voir l'Art pour l'Art, le mouvement parnassien, ou Mallarmé CONCLUSION Bilan et ouverture sur

grands romans ont des personnages malheureux. Ils ont soit des problèmes familiaux,financiers, …ces malheurs peuvent accrocher le lecteur . un proverbe dit que les gens heureux n'ont pas d'histoire, pour l'auteur de ce proverbe un personnage heureux ne peut pas faire un bon roman mais alors peut on faire un roman avec un personnage heureux ? On verra d'abords que ce n'est pas possible on verra que l'on peut faire un bon roman que avec un personnage malheureux puis on verra que un bon roman peut avoir

L'amour, le plus fort et le plus noble des sentiments, qui donne sens à nos vies et nous rapproche des autres, qui nous fait rire et pleurer à la fois, qui nous rend heureux parfois malheureux, c’est la première expérience qui bouleverse notre vie. N'avez-vous jamais ouvert un livre, écouté une chanson, vu un film sans qu'il ne vous parle d'amour?  Cela serait inconcevable. En effet, ce thème est omniprésent dans l'art, la littérature, le cinéma, la télévision, les revues, internet

En 1827, Victor Hugo définit la notion de drame romantique dans Préface de Cromwell. Le drame romantique mélange deux styles totalement opposés : la comédie et la tragédie et refuse les règles du théâtre classique. Les Caprices de Marianne d’Alfred de Musset, publié en 1833, est un drame romantique. La pièce de théâtre se déroule à Naples et raconte l’histoire de Coelio, un jeune noble amoureux de Marianne. Mais Marianne est mariée à Claudio, un vieux juge acariâtre et refuse toutes les avances

corrige les manières, et le théâtre corrompt les mœurs. » Victor Hugo, Préface de Cromwell, (1827) : « Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art.” Victor Hugo, préface de Lucrèce Borgia, (1833) : « Le théâtre est une tribune. Le théâtre est une chaire. Le théâtre parle fort et parle haut » Victor Hugo, Préface de Marie Tudor, (1833) : « Il y a deux manières

un " étrange et douloureux divorce " entre l'homme et le bonheur ( donc l'amour). Il n'y a pas d'amour heureux Rien n'est jamais acquis à l'homme, ni sa force Ni sa faiblesse, ni son cœur. Et quand il croit Ouvrir ses bras, son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur, il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie, elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin A quoi peut

l'opium: il en fait dès 1847, un usage thérapeutique pour apaisé sa syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. De nature révolutionnaire, il partagera la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III. On reprocha à Baudelaire son style d'écriture et le choix de ses sujets. Il n'est compris que par certains tels que Champfleury, Jules Barbey d'Aurevilly ou André Thomas… Dès la parution des Fleurs du Mal en 1857, Il y a eu une

Document A Dans La Femme de trente ans, Honoré de Balzac raconte différents moments de la vie de Julie, l’héroïne. Elle apparaît tout d’abord en 1813, éprise d’un bel officier, Victor, comte d’Aiglemont, qu’elle épousera par la suite et qui, par ses infidélités répétées, la rendra très malheureuse. 5 Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance arriva à bride abattue et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en

éducation. Ce sonnet est construit à partir d’une série d’oppositions visant à rendre compte de l’aspect paradoxal de la passion amoureuse. Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est et trop molle et trop dure. J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment

attire l’attention, frappe, émeut.  | | |caractéristique qui appartient à un autre mot | | | |de la même phrase. |Victor Hugo : "Ce marchand accoudé sur son comptoir avide" | | | |Zola : "Dans le bruit d'or des caisses" | |La synecdoque |Variante de la métonymie