Victor Hugo Les Trop Heureux

Pour Victor Hugo, par exemple, la mission de l’art est de réveiller le peuple, de l’éduquer et d’éveiller sa conscience dans le but de le sortir de la torpeur où le maintiennent le mensonge, la propagande, la peur et la lâcheté. Le poète qui, selon lui, voit plus loin que la simple réalité et qui la comprend davantage est, d’après Hugo, le guide et le porte parole des opprimés. Ainsi, dans son poème « Mélancholia » paru dans son ouvrage Les Contemplations en 1856, Victor Hugo dénonce le travail

traditionnelle, qui fait du poète un créateur, à l’image de Dieu, selon l’étymologie du mot grec : création. De là l’idée d’une séparation franche entre « le poète », sacralisé, et les utilisateurs banals du langage que nous sommes. A l’époque romantique, Victor HUGO infléchit cette conception en faisant du poète un prophète des temps modernes : « Ecoutez le rêveur sacré » ; « Le poète vient préparer des jours meilleurs ». Le poète romantique mêle le sacré et le politique, les « jours meilleurs » n’étant pas

l'Inconnu pour trouver du nouveau ! » Le dépassement d'une épreuve consiste donc à surmonter un chagrin, une douleur. On dépassera les souffrances, l'emporter sur celle-ci. C'est chercher à aller au-delà de l'inaccessible, de l'insurmontable. Victor Hugo donnera naissance à un véritable culte dans son recueil Les contemplations en 1856. Ce culte sera en faveur de sa fille ainée Léopoldine, décédée. Son recueil est un combat perpétuel de la souffrance et du souvenir de sa fille. C'est par les mots

les entends chanter, je songe, et je me disQu’ils sont inattentifs, dans leurs charmants tapages,Au bruit sombre que font en se tournant les pagesDu mystérieux livre où le sort est écrit,Et qu’ils sont loin du prêtre et près de Jésus-Christ. Victor Hugo ( 1802-1885 ) Les contemplations , 1856 4 À Aurore La nature est tout ce qu’on voit,Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime.Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit,Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit,Elle

c'est que c'est un crime où l'on ne peut pas se passer d'un complice." Charles Baudelaire, Mon coeur mis à nu.   "L'amour n'est pas seulement un sentiment, il est un art aussi." Honoré de Balzac, La recherche de l'absolu.    "Quand on aime pas trop, on aime pas assez." Bussy-Rabutin, Les Maximes d'amour pour les femmes.   "Amour, folie aimable; ambition, sottise sérieuse." Chamfort, Maximes et pensées.   "L'harmonie la plus douce est le son de la voix de celle que l'on aime." Jean de la

ZOE : Je vous remercie grandement M. Hugo d’avoir accepté cette interview. Je suis très honoré d’être en votre présence à ce jour. Accepté vous de répondre a quelques questions dans un bref délai ? AGATHE : Mais bien sûr ma chère enfant, avec plaisir. ZOE : Bien pour commencer j’aimerais savoir si vous avez souffert du divorce prématuré de vos parents ? AGATHE : Oui bien sûr, je pensais et je pense toujours d’ailleurs que le divorce est contre la nature des choses, j’en ai souffert et cela

à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Victor Hugo Le ciel est, par-dessus le toit... Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre

SAMIRA Apogée 21010735Commentaire composé de la scène 6 acte II d’ALFRED DE MUSSET ”Les caprices de Marianne” Alfred de Musset est un poète et dramaturge français (1810_1857). Il appartient au mouvement romantique dont Victor Hugo est le fondateur. Musset écrit des pièces théâtrales destinées à être lues et non, parmi ses œuvres ”L’Orenzaccio”,”Tristesse” et ”Les caprices de Marianne”(1833) qui est une pièce de théâtre de deux actes, le premier est de trois scènes, le deuxième

tu es brune,  Qu'une brune a des yeux de braise  Et qu'un coeur qui cherche fortune  S'y brûle... Ô la bonne foutaise !  Ronde et fraîche comme la lune,  Vive ta gorge aux bouts de fraise ! Ils me disent de toi, châtaine :  Elle est fade, et rousse trop rose.  J'encague cette turlutaine,  Et de toi j'aime toute chose  De la chevelure, fontaine  D'ébène ou d'or (et dis, ô pose-  Les sur mon coeur), aux pieds de reine. Paul Verlaine. La Naissance de Vénus – SANDRO BOTTICELLI

est dépeuplé » met en contraste la valeur à la quantité. Une seule personne qui nous est chère à plus d’importance que toutes les autres. Les paysages d’écrit ne semblent pas pour autant... Analyse "aux arbres" victor hugo C’est l’histoire de la relation entre Victor Hugo, qui est le narrateur, et les arbres. Il est de nature solitaire, donc il recherche plus laprésence des arbres et celle de Dieu dans sa vie plutôt que celle de ses comparses. La communion qui existe entre la nature et l’âme