Victor Hugo Les Pauvres Gens Ii

Les pauvres ont-ils le droit de voler les riches en cas d’extrême nécessité ? Introduction Au 13e siècle, Pierre de Blois, archidiacre de Bath, donne l’exemple d’un homme très pauvre torturé par la faim et la nudité. Sous ses yeux, sa femme et sa famille vont mourir d’inanition ; à moins qu’il ne dérobe de quoi manger, ils sont tous voués à une mort imminente. Il se résout donc à voler un bien de peu de valeur, choisissant de risquer sa vie plutôt que de subir l’insupportable torture

formalités. Les différents magistrats qui doivent examiner le pourvoi en cassation, et la lenteur de leurs décisions transforment la vie du condamné en véritable enfer. L’espoir d’obtenir la grâce du roi s’amenuise au fil des jours, surtout que les gens censés décider de son sort ne semblent guère se soucier de son cas : - Après quoi, les pièces sont envoyées au ministre… - Le ministre, qui ne sait seulement pas qu’elles existent, et qui cependant est supposé les transmettre (…) à la cour de Cassation…

É tude d’œuvre intégrale 4e « LES MISÉRABLES », DE VICTOR HUGO (1) Initier de jeunes élèves à la lecture d’un grand roman du siècle, les rendre sensibles à l’écriture de Victor Hugo, leur montrer l’actualité toujours présente de la pauvreté matérielle et morale, tels sont les objectifs d’une étude des Misérables en quatrième. L’œuvre, qui figure parmi les rares romans expressément recommandés dans les projets d’instructions officielles pour le cycle central, est une mine pour le professeur de

de parvenir à des solutions techniques et efficaces sans révolution. En tant que chrétien parce que l’amour envers le prochain est l’essence du christianisme et que ce n’est que par la révolution que l’on peut obtenir le bienêtre de la majorité des gens. En tant que prêtre parce que la révolution exige un sacrifice complet de soi en faveur du prochain et que c’est là l’exigence de charité fraternelle indispensable pour pouvoir réaliser le sacrifice de la messe qui n’est pas une offrande individuelle

après un repas (déjeuner ou dîner). B – Le contexte narratif La courbe de tes yeux : lecture analytique L’intrigue se dessine également assez vite : Georges Duroy, le protagoniste, apparaît dès la première phrase. C’est un jeune homme pauvre (« il lui restait juste en poche trois francs quarante pour finir le mois ») qui mène une vie modeste ; son seul « grand plaisir » est d’aller boire une bière le soir (« deux bocks sur le boulevard »). Il semble assez indécis sur ce qu’il va faire

communication est-elle comparable dans ces trois extraits de pièces ? Le titre des pièces l’éclaire-t-elle ? (3 points) 2. Dans ces trois textes de théâtre, quels registres emploie le personnage qui conduit l’échange pour être plus persuasif ? (3 points). II. Travaux d'écriture (14 points). Choisir un sujet parmi les trois proposés : • Commentaire : Vous commenterez l’extrait de Musset, On ne badine pas avec l’amour, Acte III, scène 3, à partir du parcours de lecture suivant : a) Montrez

nous arriver demain ou même dans une heure, donc il faut se contenter de ce que l'on a sans être trop avide d'argent. Les textes argumentatifs sont aussi utilisés pour critiquer quelque chose ou quelqu'un de particulier, comme dans le Pamphlet de Victor Hugo rédigé en 1852 contre Napoléon III intitulé «Napoléon, le petit». L'écrivain cherche à révélé à tous ses lecteurs qui était cette homme par une caricature offensante, nous reviendrons sur ce texte dans la deuxième partie car chaque texte argumentatif

poétique. | Texte 1 : Jean de SPONDE, Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses, « La Bibliothèque », 1883

| |Ce père nourricier, ennemi des chloroses, | |Eveille dans les champs les vers comme les roses ; | |II fait s'évaporer les soucis vers le ciel, | |Et remplit les cerveaux et les ruches le miel. | |C'est lui qui rajeunit les porteurs

rapportant les paroles d’Elvire. Les deux premières strophes sont consacrées à la requête qu’elle adresse au temps et qui consiste à lui demander de s’arrêter (« suspends ton vol ! », « suspendez votre cours ! », «Laisseznous savourer »), du moins pour les gens heureux (« oubliez les heureux ») ; car les malheureux, eux, réclament au contraire un écoulement plus rapide du temps (« Coulez, coulez pour eux »). La strophe suivante, introduite par « Mais », traduit un constat d’échec exprimé par la locution adverbiale