Victor Hugo Les Misérables La Catastrophe

s'étendre jusqu'à nos jours. Les genres les plus importants de la littérature française sont le théâtre, la poésie, la prose narrative et d'idées et l'autobiographie. Quelques uns de ses représentants les plus connus sont Jean Racine, Voltaire, Victor Hugo et Jean-Paul Sartre. Concernant la langue utilisée, c'est le français, langue officielle de la France, c'est une langue romane. Langue académique (voir notamment l'Académie française), elle s'est construite cependant aussi par l'usage, la construction

s'étendre jusqu'à nos jours. Les genres les plus importants de la littérature française sont le théâtre, la poésie, la prose narrative et d'idées et l'autobiographie. Quelques uns de ses représentants les plus connus sont Jean Racine, Voltaire, Victor Hugo et Jean-Paul Sartre. Concernant la langue utilisée, c'est le français, langue officielle de la France, c'est une langue romane. Langue académique (voir notamment l'Académie française), elle s'est construite cependant aussi par l'usage, la construction

et sœurs. Il se souviendra de cette période comme celle du paradis perdu, « les plus beaux moments de sa vie » dira-t-il plus tard. Le Petit Prince: Résumé : Le narrateur est un aviateur qui, à la suite d'une panne de moteur, a dû se poser en catastrophe dans le désert du Sahara et doit tenter de réparer son avion. Le lendemain de son atterrissage forcé, il est réveillé par une petite voix qui lui demande « S'il vous plaît... dessine-moi un mouton ! ». Excédé, le narrateur dessine la caisse du mouton:

le faire disparaître, en lui opposant le fruit de la peine. Il y a l’idée que le mal subi peut m’apprendre quelque chose sur moi-même, que la souffrance est utile, et que je peux en sortir grandi. Par exemple, je peux induire d’un mal subi (une catastrophe naturelle, une maladie), que je ne suis pas au centre de l’ordre du monde, mais que je fais partie de cet ordre qui me dépasse et fonctionne selon des lois faisant entrer à parts égales création et destruction. Remis à ma juste place, démis de mon

les ouvriers français devaient détenir un livret ouvrier qui permettait le contrôle de leurs déplacements. Aucune assurance n’existait, l’exposition aux risques était majeure : dans les mines lors des « coups de grisou », par exemple en 1906, la catastrophe de Courrières fit 1 100 morts ; sinon les maladies : silicoses, tuberculose, ou encore les accidents fort nombreux. Mais le plus gros risque restait le chômage qui n’était en aucun cas indemnisé et qui représentait 15% de la population active en

production et la réception des textes.Plusieurs finalités sont assignées à la littérature. Au fil de l’histoire, elle est assimilée à un domaine qui doit: · faire l’éloge des grands hommes des Classiques ;· être « l’écho sonore » du monde comme chez Hugo ;· être « l’art pour l’art » des Parnassiens ;· être « l’engagement » de J.P. Sartre ; etc. La littérature requiert toutes ces tendances à la fois. Ce qui est admis, de nos jours, c’est que l’œuvre littéraire reflète toujours la « vision du monde »

frappait la poitrine, et perçait l’air de ses cris douloureux. Nous portâmes le corps de Virginie dans une cabane de pêcheurs, où nous le donnâmes à garder à de pauvres femmes malabares, qui prirent soin de le laver. Document 4 : les Misérables de Victor Hugo, Cinquième partie, Livre 5, chapitre 15,1862 Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l'air de s'amuser beaucoup. C'était le moineau becquetant les chasseurs. Il répondait à chaque

celle du prolétaire, de l’artiste, du journaliste, du capitaliste, du boutiquier. Selon Annette Rosa et Isabelle Tournier (Balzac, Armand Colin, 1992), Victor Hugo montrera bien mieux l’antagonisme des forces en présence et leur puissance d’éclatement : « À l’image balzacienne du corps social dont tous les éléments sont rouages de l’ensemble, Hugo opposera celle de l’égout où tout se perd, et de la barricade où tout explose. » « Qui n’a pas admiré tes sombres paysages ? » C’est à Balzac que revient

. . . Les corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ½¾ Les annales corrigées Le discours narratif 139 141 ½ ½ ½ ¼ ½ ½ ½ Sujet 1 • Texte d’Arthur Ténor (séries tech. et prof., juin 2007) . . Sujet 2 • Texte de Victor Hugo (série collège, juin 2007) . . . . . Sujet 3 • Texte de Michel Piquemal (série collège, juin 2007) . . . Sujet 4 • Texte de Jean-Bertrand Pontalis (série collège, juin 2007) Sujet 5 • Texte de Jacques Lacarrière (série collège, juin 2007) . .

travail ultérieur, faisant par exemple de L'Assommoir un quasi-dictionnaire de l'argot parisien. Autre point commun entre L'Inondation et la suite de l'œuvre : ce que Zola invente, avec son narrateur Louis Roubieu, c'est une famille, confrontée à la catastrophe et à la ruine – or c'est justement l'histoire de la décadence d'une famille que s'emploiera à raconter l'ensemble des Rougon-Macquart. Tout se passe comme si L'Inondation offrait un aperçu du grand projet de l'auteur et en cristallisait, en miniature