Victor Hugo Les Miserables La Mort De Gavroche

toile Style ou mouvement : romantisme Genre : Peinture d’Histoire • Collège Henri Matisse• Nice EUGÈNE DELACROIX : LA LIBERTÉ GUIDANT LE PEUPLE I . Contexte  Biographie Eugène Delacroix est né le 26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice et mort le 13 août 1863 à Paris. C’est un peintre français majeur du mouvement du romantisme au XIXe siècle. Ses oeuvres témoignent d'une grande maîtrise de la couleur. Certaines sont exposées au musée du Louvre, tel « La Liberté Guidant Le Peuple » ou encore

La liberté guidant le peuple Eugène DELACROIX L’artiste  Ferdinand-Victor-Eugène DELACROIX, peintre français, naît à Charenton-Saint-Maurice, près de Paris. Il entre en 1816 dans l’atelier de Guérin, copie les maîtres classiques au Louvre, fait la connaissance de Géricault qu’il admire beaucoup et qui le prend pour modèle pour un naufragé de son « Radeau de la Méduse ». Delacroix est un artiste emblématique du romantisme en peinture. Il laisse

ni morale nous est donnée. Nous n’apprenons son nom qu’à la troisième page. Toutes les péripéties sont faites pour remettre en question la condition humaine. Quand Meursault commet un meurtre, il prend conscience de la gravite de son crime et de la mort. Ce personnage de figure nous plonge donc dans l’absurde. II) Toutefois, le personnage du roman peut aussi devenir bien réel et toucher le lecteur. A) Le roman met en scène des personnages aux identités complètes qui deviennent des personnages vivants

grecques contre les Turcs. Evocation de la défaite, de la mort, costume moderne représenté, domination du hayon, nu misérable. La liberté guidant le peuple. Delacroix offre une allégorie de la liberté, ainsi que la mort au pied de la femme, figure de martyr de cette révolution. Apparition de différente classe sociale avec le costume moderne pour faire appel a l’image militante des castes mélangées pour la liberté. Gavroche de Victor Hugo à gauche de la liberté, incite a penser à l’avenir et renforcé

le peuple » a été réalisée en 1830, c'est une peinture à huile sur toile qui mesure 260 cm sur 325 cm. Elle est exposée au musée du Louvre à Paris. Contexte : En 1815, après la mort de Napoléon Ier, Louis XVIII accède au pouvoir, il accepte une charte qui met en place une monarchie constitutionnelle. A sa mort, c'est son frère, Charles X qui le succède. Il remet en cause les acquis de la Révolution (Liberté de la presse, loi électorale). Ce qui mène à une révolution du peuple parisien. Ce sont

robes de déesses grecques. * LE JEUNE GARCON ARME. Au côté de la Liberté, un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets. L’artiste n’a rien laissé au hasard : la présence de ce petit garçon qui rappelle beaucoup le Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables est également symbolique. * L’ETUDIANT ARME D’UN FUSIL. Derrière la Liberté, un homme coiffé d’un haut chapeau et habillé de manière plus élégante que ses compagnons, tient dans ses mains un fusil. Il peut faire songer à un

(souvent l'auteur mais pas toujours comme dans Cyrano de Bergerac) dévoile ses émotions intimes et personnelles sur des thèmes généraux de l'humaine condition comme l'amour, la nostalgie, la solitude, la fuite du temps, le rapport à la nature ou la mort. Tirant son nom de la lyre d’Orphée, héros et poète de la mythologie grecque, le registre lyrique correspond à l'expression des sentiments qu'ils soient heureux (joie, bonheur d'aimer, enthousiasme, exaltation de la beauté ...) ou élégiaques, exprimant

d'une famille bourgeoise de quatre enfants. En 1815 il commence à peindre, et en 1816, il entre aux Beaux-Arts. Delacroix est très influencé par Géricault, et il privilégie les forts contrastes d'ombre et de lumière. De 1825 à 1831, il fréquente Victor Hugo et son groupe et intègre le groupe littéraire et artistique du Romantisme. En 1831, Delacroix est nommé chevalier de la Légion d'Honneur. Un an après, il voyage beaucoup en Afrique et sa peinture sera très marquée par tout ce qu'il y voit, il y

La littérature du XIXème siècle : Les misérables de Victor Hugo I – Résumé de l’intrigue : En 1815, un homme nommé Jean Valjean sort du bagne. Il vient d’y passer dix-neuf ans pour avoir volé un pain et tenté de s’évader à plusieurs reprises. En route pour son village natal, il croise la route de l’évêque Bienvenu qui lui offrira gîte et couvert alors que personne ne veut ouvrir sa porte à un ex-forcat. Malgré la générosité de son hôte, Valjean n’hésitera pas à lui dérober son argenterie

voltigeurs de la garde.A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés. L’homme