Vestibule

attire l'attention et stimule. La chaleur du rouge active le corps et l'esprit, et donne à un intérieur un aspect vivant et dynamique, raison de plus pour utiliser ce coloris de préférence dans des locaux froids ou très passants comme par exemple, le vestibule, la cuisine et la salle de jeux. Par ailleurs, le rouge apporte une touche de sensualité – ce n’est pas sans raison la couleur de l'amour. Son utilisation excessive peut être ressentie comme oppressante ou agressive. Par conséquent, il vaut mieux

construit à l'époque d'Agrippa. C'est cette réalisation qui se trouve encore actuellement en place, transformé en église chrétienne. Ce Panthéon est une réalisation spectaculaire des architectes romains avec une très vaste coupole prolongée par un vestibule rectangulaire. Pour la coupole, on a utilisé une pierre volcanique particulièrement légère. Les Sévères : ν Le Septizodium, fontaine monumentale construite sous Septime Sévère ν Thermes de Caracalla L'Antiquité tardive :

Gréco-Romain. L'architecture connaît une remarquable éclosion à l'époque ptolémaïque. Chaque partie du temple (cour, salles hypostyles, saint des saints) est délimitée plus nettement ou possède même, comme à Kom-Ombo, son enceinte propre. Les façades du vestibule (pronaos) donnant sur la cour ont des colonnes reliées jusqu'à mi-hauteur par des murs-écrans couverts d'inscriptions et de reliefs. Enfin, près du temple principal est édifié un petit sanctuaire annexe qu'on a appelé mammisi, ou « temple de

] »[21]. D’une première vue, la maison semble avoir l’air d’un tombeau, néfaste et hostile, surtout le grand vestibule de marbre qui garde partout des traces des maîtres de cet hôtel : « L’entrée est impressionnante […] suspendus aux murs, d’innombrables panneaux obituaires relatent les fastes mortuaires de la famille de Ruescas, et ces héraldiques remembrances égayent les murs blafards de ce vestibule - comme des images coloriées, avec leurs animaux fabuleux, leurs emblèmes chimériques. »[22] La description

viennent les muses. Mais ce terme fait également référence à Moise dont l’un des hauts faits à été d’unir les tribus d’Israël, de rassembler ce qui était divisé, épars. Dans le livet de l’apprenti il est expliqué que le pavé mosaïque figure le vestibule du Temple de Salomon. Il n’est pas sur que le sol du Temple ait connu un pavé mosaïque dont les origines sont plutôt gréco-romaine alors, puisque « tout n’est que symbole », une question demeure : Pourquoi ce pavé mosaïque Un constat s’impose

et sa queue de dragon. Il est si hideux qu'il transforme en pierre ceux qui osent le regarder. Cerbère laisse entrer le défunt en échange d'un gâteau de miel.L'entrée débouche sur un monstrueux sentier ou cheminent les âmes vers leur jugement:le vestibule des enfers.Cet endroit est peuplé des spectres effrayants. C'est là que la Douleur, le Deuil, les Remords, les pâles Maladies, la triste Vieillesse, la Terreur, la Famine, mauvaise conseillère, la honteuse Indigence, la Fatigue, l’Épuisement, la

enfermée, abritée, et qui devaient garder dans leurs imperceptibles fissures mille atomes d'elle, de sa chair et de son souffle, je pris mon chapeau, afin de me sauver. Tout à coup, au moment d'atteindre la porte, je passai devant la grande glace du vestibule qu'elle avait fait poser là pour se voir, des pieds à la tête, chaque jour, en sortant, pour voir si toute sa toilette allait bien, était correcte et jolie, des bottines à la coiffure. Et je m'arrêtai net en face de ce miroir qui l'avait souvent

campagne afin de se reposer : « c’était un grand pavillon de style italien, flanqué d’une autre construction plus petite, qu’un riche anglais avait fait bâtir, après deux ans de séjour à Naples, et dont il s’était dégoûté tout de suite. […] D’abord le vestibule : un peu humide, mais ça ne faisait rien, on n’y couchait pas. Très chic le salon, avec ses fenêtres ouvertes sur une pelouse, seulement, le meuble rouge était affreux, elle changerait ça. […]. Une chambre qu’un tapissier d’Orléans avait tendue de

"engendrent parfois des pensées creuses" et tout ce qui est étranger à la cause défendue. Cicéron incite à une "sélection draconienne" des mots. En ce qui concerne l'ordre du discours idéal, Cicéron le résume comme tel : d'abord l'exorde, ce "beau vestibule" où il s'agit de "s'emparer de l'esprit de l'auditeur". Puis il faut établir "sa position", esquiver et réfuter. Pour finir, les arguments les plus solides sont placés en avant et arrière gardes et les plus faibles au milieu. Telles sont,

Hugo ainsi que Musset utilise des procédés littéraires pour fonder leurs reproches Victor Hugo emploie par exemple une accumulation d’adjectifs péjoratifs aux lignes 5-6 « ce vestibule, ce péristyle, cette antichambre, lieu banal… » Pour décrire les lieux de déroulement des pièces théâtrales comme banal Ensuite une anaphore au (L17) « trop caractéristique, trop intime, trop local » ou encore un parallélisme syntaxique « Au lieu