Vent solaire

pour oublier leur honte. Ils font des feux ensuite pour préparer le combat contre la nuit, qui apporte dans la brume ses plus mauvais êtres, pour qu’ils se jouent encore de ses victimes, et c’est un tourment, qui commence et ne finit qu’à l’aube. Le vent aura soufflé toute vie, les jounns volé toute vertu par leur immersion fantasmagorique dans le sommeil des hommes, les rêves de femmes nues et déflorées qui déchirent leur voile et font couler dans la déchirure le lait caillé de brebis mortes. Les

de pas dans le sable. Quand il trouva un endroit qui lui convenait, non loin du sien, il s’assit pour l’observer. Elle avait sur la tête un petit chapeau de paille orné d’un fin ruban bleu marine et blanc, ses longs cheveux châtains flottaient au vent, ses lunettes d’un noir profond ne laissaient point transparaître son regard. Elle avait l’air plongée dans une lecture passionnant qu’il avait maladroitement perturbé ; son nez fin, sa bouche, cet être entier brillait même dans l’ombre du soleil.

ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscureFruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma boucheSavane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d'EstTamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueurTa voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée Femme noire, femme obscureHuile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète, aux flancs des princes

a les éoliennes offshore. C'est le même principe de fonctionnement que les éoliennes terrestres sauf qu'elles sont placées au larges des côtes, le vent fait tourner les pales et entraîne une rotation de l'alternateur qui produit de l'électricité. Ses avantages sont, tous d'abord un meilleur rendement car le vent marin est plus fort que le vent terrestre donc elles sont plus efficaces que les éoliennes terrestres, sinon les avantages sont les mêmes que les éoliennes terrestres, elles sont totalement

Je la pris dans mes mains; j'y entendais d'énormes petits bruits effrayants et je sentais passer sur moi un courant d'air désagréable et singulier. Tétanisée d'effroi je la laissai choir. La fenêtre en face de moi s'ouvra brusquement et un vent terrible me projeta contre le mur. Je me réveillai dans mon lit, en pyjama, avec des maux de têtes horribles et des nausées épouvantables. _"Etait-ce un cauchemard ? Il est possible que s'en était un ? Apparemment oui, en tout

Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde, Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ; Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement, Aux étranges reflets de la clarté blafarde. Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées. Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège

AC I 1.Le vent • • • • • Analyse et conception Devoir maison Répondre aux questions sur une feuille double en faisant des phrases. Donner la définition du vent. Citer différents types de vents et préciser lequel a le plus d’intérêt pour l’énergie éolienne. En vous aidant d’internet, colorier la carte des vents de la France et de l’Europe, et complétez la légende. Quels sont les 3 facteurs qui déterminent la quantité d’énergie récupérée par le rotor ? Quelle est la puissance délivrée par

triste,// et je marche au bord des flots profonds, Courbé// comme celui qui songe. Je regarde//, au-dessus// du mont et du vallon, Et des mers// sans fin remuées, S'envoler// sous le bec du vautour aquilon, Toute la toison des nuées ; J'entends le vent dans l'air,// la mer sur le récif, L'homme liant la gerbe mûre ; J'écoute,// et je confronte// en mon esprit pensif Ce qui parle// à ce qui murmure ; Et je reste// parfois couché// sans me lever Sur l'herbe rare de la dune, Jusqu'à l'heure où l'on

d’un horizon à l’autre. Le ciel s’éteignit, le flot ne roula plus que des ténèbres, dans le fracas de la foudre. « Oh ! mon Dieu ! c’est fini… Oh ! mon Dieu ! que vais-je devenir ? » La pluie, maintenant, recommençait, si raide, poussée par un tel vent, qu’elle balayait le quai, avec une violence d’écluse lâchée. « Allons, laissez-moi rentrer, dit Claude, ce n’est pas tenable. » Tous deux se trempaient. À la clarté vague du bec de gaz scellé au coin de la rue de la Femme-sans-Tête, il la voyait ruisseler

[pic] [pic] Normalisé Sous,Massa,Draa _ Vendredi,18 juin 2010 Texte de base: Le vent soufflait toujours avec violence,et à la pointe du jour,un de nos hommes s'écria:"Terre!".A peine nous étions -nous précipités hors de la cabine pour regarder ,dans l'espoir de reconnâitre en quel endroit du monde nous étions,quenotre navire donna contre un banc de sable.Son mouvement étant ainsi subitement arrêté,la mer déferla sur lui d'une telle manière que nous nous attendîmes tous à périr sur l'heure