Valeur propre

de l’ordre 1,235 ce qui est plus élevé que celui de 2011. La valeur du fonds de roulement au 30 juin 2011 nous indique que l’entreprise pourrait réaliser ses actifs à court terme à 62,93 % ( 1/1,1589) de leurs valeurs aux livres et être en mesure d’honorer la totalité de ses dettes à court terme. Le ratio d’endettement de 2010 est de 0,74 c’est à dire que la compagnie est financée par 74 % de dette et par 26 % de fonds propres. Le ratio d’endettement de la compagnie SNC Lavalin au 30 juin

implicite de comportement (ou de jugement) partagée par un collectif d’individus, qui définit ce qui est valorisé au sein de ce collectif. Une norme est toujours définie par une collectivité. Elle comporte un aspect prescriptif : l’attribution d’une valeur, ne pas respecter la norme risque de rejet social. Contrairement à une loi, la norme de renvoi pas à une contrainte explicite (la justice ne sanctionne pas le non-respect de la norme). Mais la norme peut être aussi contraignante qu’une loi. Recherche

qui n’a pas vraiment de sens dans son entièreté. Mais faire de l’architecture avec modestie et simplicité demande beaucoup de maturité, d’expérience, de savoir,… Ensuite, il a l’architecture où il faut faire des recherches. Il faut déceler les valeurs de l’homme qui vont déterminer l’architecture par la suite. La beauté est quelque chose de très mystérieux. C’est le fait qu’on ne sache pas expliquer pourquoi c’est beau, qu’on ne sache pas le démontrer ou le simplifier pour trouver l’essence de

umé: Le monde présente des sociétés, des civilisations, c'est-à-dire des cultures de toutes sortes. Mais y en a-t-il une ou plusieurs qui peuvent prévaloir par rapport aux autres ? Peut-on juger objectivement la valeur d'une culture ? Mais la question du jugement peut valoir aussi pour d'autres problématiques que celle de la culture comme la morale ou même le jugement d'une œuvre d'art. La question devient alors : peut-on juger objectivement ? On pourrait d'abord répondre non puisque la culture

objectifs permettent la comparaison L'observation des différentes cultures nous permet de constater que certaines connaissent un développement technique et scientifique supérieur à d'autres. D'autre part, les sociétés occidentales développent des valeurs de liberté, de respect, d'égalité. En revanche, d'autres sociétés nous choquent par leurs pratiques sociales: esclavage, ségrégation, mutilations... II - Nous ne pouvons jamais être des observateurs impartiaux. Tout est relatif à notre vision

extérieures données et assimilation) et intérieur (histoire du sujet, ensemble des valeurs auxquelles il obéit). Le sujet est donc à chaque instant amené à juger les actions (en particulier les siennes) selon ses valeurs, et la responsabilité, qui est liée au regret, ne prend son sens que si le sujet peut changer ses propres valeurs, c'est-à-dire reconnaître qu'une action qu'il jugeait bonne selon certaines valeurs est mauvaise selon d'autres (imposées par la société, ou nouvellement reconnues par

élaborer certaines valeurs, certains idéaux, certaines convictions de manière élaborée et réfléchie. C’est également apprendre à être cohérent entre nos valeurs et l’ensemble de nos choix et actions. C’est ce à quoi est dédié un cours d’Ethique et RSE, qui a pour objectif de nous faire réfléchir sur ses valeurs et ses convictions ; développer un certain esprit l’analyse et apprendre à développer une certaine clarté de nos valeurs, encourager une ouverture d’esprit aux valeurs des autres (ni fanatisme

autrui. Le terme "société" se rapporte à l'ensemble des mœurs et coutumes partagés par une population : les choix d'organisation sociale, des valeurs et normes. Cette définition est la plus courante et partagée avec tous les hommes. Et pourtant ce sujet est paradoxal puisqu'ici Alain critique vivement cette théorie ; selon lui, la société inculque des valeurs qui sont immorales. Dans un premier temps, nous allons voir que les devoirs moraux ne sont pas des devoirs sociaux, puis dans un second temps

PENSER PAR SOI-MÊME : CE RISQUE VAUT-IL D'ÊTRE PRIS? Une personne pense par elle-même lorsqu’elle s’efforce de former son propre jugement sans se contenter de suivre l’opinion commune. Penser par soi-même revient donc à rompre avec les croyances et les certitudes de l’opinion pour faire usage de sa raison, ce qui n’est pas sans danger, comme nous le rappelle la vie de Socrate. Mais, à moins d’inconscience, si quelqu’un juge bon d’adopter une attitude c’est qu’il a des raisons de le

ennemis et les dangers extérieurs, nature, hommes, animaux. Tous ces problèmes élémentaires de l’individu sont résolus par les objets travaillés, par la constitution de groupes de coopération, et également par le progrès du savoir, par le sens des valeurs et par le sens éthique. » Bronislav Malinowski. Une théorie scientifique de la culture, et autres essais. Paris : François Maspero, Éditeur, 1968, 182 pages. Collection : Les textes à l’appui. Traduit de l'anglais par pierre Clinquart. Définition