Valeur Ajoutee Negative Survie

l’habillement, qui représentent ensemble le tiers des exportations de marchandises contre 12% à la veille du rééchelonnement, a permis de réduire la vulnérabilité de la balance commerciale vis à vis de l’exportation de phosphates et dérivés. Par rapport à la valeur globale des exportations de marchandises, la part des phosphates et dérivés a reculé de 44 à 25% entre les périodes 19801982 et 1993-1996. Sur le plan social, certains indicateurs se sont améliorés durant la période d’ajustement structurel (1983-1992)

charges externes 612 613 et 614 III = CONSOMMATION DE L'EXERCICE (6 + 7) I II III + + - Marge brute sur ventes en l'état Production de l'exercice Consommation de l'exercice 811 IV = VALEUR AJOUTEE (I + II – III) 814 IV 8 9 10 + + - - Valeur ajoutée Subvention d'exploitation Impôt et taxes Charges de personnel 814 716 616 617 V = = EXCEDENT BRUT D'EXPLOITATION (E.B.E) ou INSUFFISANCE BRUTE D'EXPLOITATION (I.B.E) 8171 8179 V 11 12 13 14 + ou – +

apporte une réponse aux questions : qu’est ce qui motive ? Quels sont les facteurs de la motivation ? La motivation de tout individu serait suscitée par la volonté de satisfaire des besoins.      Les besoins physiologiques : le gîte, le couvert, la survie Le besoin de sécurité (physique et morale) Les besoins sociaux : avoir des ami Le besoin d'estime Le besoin de se réaliser, de devenir tout ce qu'on est capable d'être. A cette hiérarchisation des besoins humains, Maslow ajoute quelques observations

l’environnement naturel et donna naissance à une demande marchande. (Fonction éco de consommation et de production) Il existe deux types de besoins : • Besoins primaires (fondamentaux, vitaux, physiologiques, élémentaires) : sont indispensables à la survie de l’individu. Ex : manger, boire, se loger… • Besoins secondaires (sociaux ou de civilisation) : sont liés à la civilisation et sont en constante évolution. Ils s’expliquent essentiellement par le fait que l’homme vit en société. Ex : s’instruire

récapitulatif des documents comptables à retraiter (compte de résultat, bilan financier), besoin en fonds de roulement et tableau de flux de trésorerie. Partie 2 : Choix et décisions d’investissement : notion d’actualisation / capitalisation ; Valeur Actuelle Nette (VAN) ; Taux de Rendement Interne (TRI) ; Décidions d’investissements ; Evaluation des actifs. Partie 3 : Evaluation du risque financier et du coût des fonds propres : la mesure du risque financier (statistiques appliquées à la finance) ;

pays donné. 2/ Mesure La croissance économique est mesurée quantitativement par l’augmentation du PIB (Produit intérieur brut) ou du PNB (Produit national brut). Le PIB comprend l’ensemble des valeurs ajoutées des agents économiques résidants sur le territoire national d’un pays. La valeur ajoutée étant définie, quant à elle par la différence entre la production et les consommations intermédiaires. Exemple1 Soit par exemple une économie où n’existent que deux entreprises, la première produisant

le premier maillon créatif devant aboutir à des ventes. Face à un environnement de plus en plus changeant, la stratégie marketing est mobilisée pour fidéliser une clientèle ciblée et solvable en ménageant les économies d'échelle indispensables à la survie de l'entreprise . Par la publicité, le marketing peut aussi servir la création d'un portefeuille de nouvelles clientèles sans rechercher automatiquement une marge sur le court terme. Ceci peut constituer un risque qui doit être pesé et proportionné

| |III |- |Consommation de l'exercice | | |IV |= |VALEUR AJOUTEE (I + II – III) |814 | |IV |+ |Valeur ajoutée |814 | |8 |+ |Subvention d'exploitation

CRISE FINANCIÈRE | 31/01/2012 | Comment la crise a échappé aux commissaires aux comptes ? | Introduction Dans un contexte d’effondrement du marché des subprimes qui a contaminé l’ensemble du secteur financier, d’utilisation de la juste valeur pour évaluer les actifs qui a eu un effet multiplicateur de volatilité et a généré une procyclicité mécanique, de situation inflationniste, de faillites bancaires et de ralentissement progressif de l’activité économique, 49% des PME-TPE françaises

saisie informatique des documents comptables ; révision des comptes établis par le client ; établissement du bilan, compte de résultat, annexe comptable ; établissement des déclarations de résultat de l’entreprise, déclaration de la Taxe sur la Valeur Ajoutée ; établissement de la taxe professionnelle etc. * Mission « gestion » : établissement d’un budget prévisionnel, analyse des coûts de revient, assistance aux décisions d’investissement, audit des organisations afin de sécuriser les procédures