Utilitarisme Cannabis

L’école classique  L’école classique repose sur : le libre arbitre l’hédonisme le contrat social le rationalisme  Les grands principes : - Une justice égale pour tous - Les lois doivent être écrites et codifiées donc tout le monde les connaît - Les lois doivent être sûrement et obligatoirement correctement appliquées - Pas de crimes et de peines qui ne sont pas définies par la loi - Les peines doivent être proportionnelles à l’acte  Deux philosophes ont une vision différente : Jeremy

Philosophie I) Le sujet 1. La conscience, l’inconscient Pascal : « la conscience fait la grandeur et la misère de l’homme » * Elle confère une morale à l’homme mais lui fait connaitre le poids de ses fautes et de ses péchés. * Elle sépare l’animal de l’homme mais fait redouter à ce dernier qu’il va mourir un jour Descartes : « je penses donc je suis » * Pour pouvoir penser, il faut être. Donc celui qui pense, existe. Husserl : « la conscience est intentionnel » * L’homme

Définition du dictionnaire de philosophie Bonheur (comp. De bon et de heur, du lat. pop. Agurium, dér de augurium, augure, chance). Psy. Mor. Etat de satisfaction complète de toutes les tendances humaines ; dist. Le plaisir, à la fois incomplet et passager. A la différence des termes béatitude, félicité, il y a dans celui de bonheur l’idée qu’il est dû à une chance extérieure favorable (heur), opp. Malheur ; v. Eudémonisme. L-M. Morfaux, Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines

Éthique économique, sociale et politique ESPO 1321 Synopsis 1: Utilitarisme 11 octobre 2010 1. DÉFINITION DE L'UTILITARISME Une société juste est une société la plus heureuse possible, c-à-d une société où le bien-être est maximisé. Donc: • L'injustice est un gaspillage de bonheur ou un degré de malheur évitable. • La conception utilitariste de la justice est: - conséquentialiste: les options sont évaluées en fonction de leur conséquences; - welfariste: l'évaluation de ces conséquences se fait

Introduction Né en 1933 à Santiniketan (Bengale-Occidental) dans une famille d'universitaires (son père est un professeur de chimie aussi connu que son grand-père, professeur de sanskrit), Amartya Sen est très marqué par la situation de grande famine qui frappe son pays en 1943 et fait mourir hommes et femmes par milliers. C'est le point de départ de sa réflexion et de son engagement humaniste. La question « pourquoi la famine ne touche-t-elle que les pauvres, jamais les dirigeants, les bureaucrates

Principes d’économie Politique Dans cet extrait d’un des chapitres de Principes d’économie Politique, nous voyons que John Stuart Mill s’inquiète de l’explosion démographique dans l’Angleterre industrielle du XIXème siècle (gouverné par la Reine Victoria). L’Angleterre se couvre d’usines, il y a durant cette époque une dégradation naturalisé de la ville. Cet extrait n’a pas un très grand rapport avec l’économie ; cependant ce chapitre et les plus philosophique de ce livre d’économie. Durant cette

Comment est-ce que les philosophies d’Aristote, de Kant, et de Bentham justifient de ne pas agir selon la loi. Qu’en penses tu? Les philosophie d’Aristote, de Kant et de Bentham justifient de ne pas agir selon la loi parce que premièrement, dans la philosophie d’Aristote, il explique comment nous comme individus, nous avons le pouvoir innée de contrôler nos besoins extrêmes. Il appelle ceci le savoir vertueux. C’est-à- dire une discipline qui s’intéresse aux principes de l’action individuelle

 ‹‹Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux (car c’est à vous, non à d’autres que sont dédiés mes écrits›› (Rabelais 2006: 13) Au tout début de son oeuvre Pantagruel/Gargantua, François Rabelais accueille ses lecteurs à bras ouverts, comme s’ils sont ses anciens amis. Il les adresse directement avec de l’humeur et de la joie pour les engager. Rabelais a décidé de le faire parce qu’il voulait rendre leur expérience du livre comme une tâche facile afin qu’ils en profitent bien

critère définissant une conduite morale (ou ce que signifie « bien agir ») ne sera pas le même. En effet, la valeur morale d'une action (le fait qu'elle soit bonne ou mauvaise) peut être définie soit d'après ses conséquences (conséquentialisme, utilitarisme, pragmatisme), c'est-à-dire selon les effets engendrés par cette action, soit d'après sa conformité à des valeurs (déontologie, intuitionnisme), c'est-à-dire selon les intentions ou motivations qui la commandent (indépendamment des conséquences)

 Dissertation courte sur le thème du mensonge Éthique et politique Groupe : 07 Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu Le 24 octobre 2013 Dans ce texte, nous aborderons le thème du mensonge, et plus précisément la question suivante : Pourquoi est-il moralement acceptable de mentir? Selon moi, dans certaines situations il est moralement acceptable de ne pas dire la vérité. L'objectif de cette argumentation est de résoudre