Une femme sans importance

La première femme que va côtoyer Duroy est Mme de Marelle (une femme joyeuse, profitant de la vie). Elle tombe rapidement sous le charme de Duroy et devient alors sa maîtresse durant tout le roman (malgré quelques disputes). Grâce à elle, il fait de nombreuses rencontres l’aidant pour sa carrière, et pour son ascension. Mme de Marelle peut être considérée comme l’entrée de Duroy dans le monde parisien. C’est par ailleurs sa fille Laurine qui surnomme Duroy Bel-Ami. La seconde femme est Madeleine

injure sur la conscience. Le caractère sacré d’une autre valeur est également défendue : celui de la vertu. En effet, Louise Strozzi est une jeune femme vierge et il est impensable pour Pierre Strozzi qu’un homme aussi malsain et fourbe que Salviati puisse toucher à cette vertu sacrée : il prend donc l’épée pour protéger la pureté de sa sœur. Une autre femme incarne également le caractère sacré de la virginité : c’est Catherine, la tante de Lorenzo. Ce dernier dit d’ailleurs d’elle « c’est une vertu »

externes à l'oeuvre 9 3.1.1. Temps de l'écrivain 9 3.1.2. Temps historique 9 3.1.3. Le temps du lecteur 9 3.2. Temps internes à l'oeuvre 9 3.2.1. La durée du temps de l'histoire 9 3.2.2. Temps de la narration 9 5. Descriptions 12 5.1. Importance dans le texte 12 5.2. Fonction(s) des descriptions 12 6. Aspects stylistiques 13 6.1. Champs lexicaux 13 6.2. Figures de style, structures rythmiques particulières 13 7. Explication du choix de la couverture 14 8. Références 15 1

Clarimonde est présentée comme une femme mystérieuse et parfaite. En effet, les caractéristiques physiques de Clarimonde décrit par Romuald peuvent démontrer une importance pour la beauté. Par exemple, Romuald décrit ce qu’il voit : (…). La métaphore présentée dans cet extrait démontre les caractéristiques d’une femme parfaite, car en disant que : une beauté rare, l’auteur veut démontrer que Romuald met beaucoup d’importance sur la beauté et sur le linge d’une femme. Ensuite, Romuald décrit la jeune

Cassandre » Amours →Cassandre : 1 vraie femme Existante/ réelle RPZ : Perfection, 1 être inaccessible. →​ Vision idyllique de la beauté →​ La beauté de la femme lorsqu’elle est rapprochée de celle de la fleur Verlaine Poète de la deuxième moitié du 19ème ​ ​siècle. « Poètes maudits » → Vie très mouvementée en marge de la société. Finit sa vie dans la misère. La célébrité ne lui aura pas fait connaitre la richesse. « Mon rêve familier » → Femme inexistante →Femme idéalisée →​ RÊVE ​ inaccessible qui

Français Cours du 03/05/10 Madame jules : une femme naturelle et sensuelle Madame jules est présenté comme une femme pleine de naturelle. Sa coiffure n’est pas élaboré, ses cheveux sont « simplement tordus en grosses tresses ». L’adverbe « simplement » montre que cette coiffure n’a pas demandé de grands d’efforts. De plus, les cheveux les cheveux sont tordus ce qui ne fait référence à aucun projets précis. Enfin, l’adjectif « grosses » ne désigne pas le volume des tresses mais le caractère grossier

Arlequin va-t-il se montrer à la hauteur de son rôle ? Et comment vont réagir Dorante et Syvia ? I. Arlequin : Un mauvais acteur. a) des paroles déplacées (et une gestuelle qui accentue cet aspect) Utilisation d’un vocabulaire familier beau-père, femme, ce qui est renforcé par les adjectifs possessifs : mon et ma. ; interjections un peu méprisantes : Eh ! oui ; pardi. Une syntaxe simpliste : un domestique là-bas m’a dit d’entrer ici et que… Des questions qui révèlent un manque d’éducation. (première

utilise des détails et semble faire un gros plan à partir du second paragraphe. On a le gros plan sur une femme mûre, ridée, sur son attitude, sur son visage mais aussi sur son vêtement. Le poète nous décrit une scène de la vie parisienne où la misère est importance (pauvre, l10) L’anecdote, qui sert à décrire la réalité, le poète veut en faire une légende : « j’ai refait l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende ».Le poète indique qu’une autre légende aurait été possible dans le troisième paragraphe

musiciens et la musique. I) Une œuvre musicale 1) Dans le film 2) Dans le livre II) Le rapport entre l’homme et la musique. 1) Le personnage de Saint Colombe 2) Et de Marin Marais I) Le film de Corneau donne une grande importance à la musique. Il ne se contente pas d’illustrer le film par une bande-son, il en fait un film musical. Son idée majeure est de transposer la conception de Pascal Quignard. C’est pour cela qu’il ne tourne que des plans fixes, pour ne pas perturber

Georges Duroy possède tous les traits de la figure naissante de l’arriviste, sous le Second Empire. Dans l’extrait du chapitre deux de la partie deux qui fait l’objet du commentaire littéraire, Duroy rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe, finalement une bonne soirée. Le les évènements du Maroc. Ainsi, nous étudierons d’abord l’ascension sociale de Duroy puis nous montrerons que le narrateur