Une Croissance Sans épargne Est Elle Possible

le consommateur dans le choix de ses produits, ou de l’entreprise dans le choix de sa production = Problème de l’allocation des ressources . D’autres économistes vont mettre l’accent sur l’accroissement et la répartition des richesses, de la croissance= Problème de répartition . L’économie politique doit apporter une démarche scientifique : (Popper) proposition qui est réfutable que l’on peut confronter à des faits économiques. Si les faits démontrent qu’une hypothèse est fausse on va

GÉNÉRALE ET DROIT V0 1 PREMIÈRE PARTIE : ÉCONOMIE GÉNÉRALE (20 points) Méthodologie : analyse documentaire Question 1 (4 pts) La croissance potentielle se définit comme le taux de croissance de long terme qui résulte de la combinaison de l’offre des facteurs de production (travail, capital et progrès technique). Les projections en matière de croissance potentielle (exemple : scénario cible 2020 : 2,5 à 3 %) repose sur l’évolution future des facteurs de production. Pour atteindre ce chiffre

trop excessive de monnaie donc : Monnaie circule en excès dans l’économie donc elle perds de sa valeur donc le prix de cette monnaie sur le marché va baisser c’est à dire le taux d’intérêt va baisser. Argent très peu couteux. Conséquence : • Epargne placement peu attractif, consommation stimulé, les entreprises ne peuvent pas à court terme augmenter leur production aussi rapidement que l’augmentation de la monnaie. Donc une première vague d’augmentation de prix mécanique. Ce n’est pas encore

science des échanges marchands • science des choix efficaces L’Economie : des définitions ouvertes (2) Pour Quesnay, économiste Français, premier médecin à la cours du roi Louis XV : « obtenir la plus grande augmentation possible de jouissance par la plus grande diminution possible de dépense, c’est la perfection de la conduite économique ». Fondateur de l’école des « physiocrates », il invente le concept de circuit économique Ces définitions sont sous-tendues par la conception que l’homme éprouve

étrangère)… Actif sans risque : qui offre une rentabilité certaine ex: livret contre-exemple : action Bénédicte Baduel Arbitrage à faire entre liquidité, risque et rendement : on veut un placement le plus liquide possible, le moins risqué possible, le plus rentable possible. Ces trois éléments ne sont pas indépendants => un placement liquide est peu risqué mais également peu rentable. Les actifs pour lesquels l’espérance de gain est la plus forte (rentabilité historique la plus forte), sont

matérielle : pièces et billets ; - Monnaie scripturale : crédits et épargnes (virtuel). La monnaie a également différentes fonctions : - Intermédiaire dans les échanges : grâce à la monnaie on achète des produits, on échange donc des produits contre de l’argent ; - Unité de compte : permet de mesure la valeur d’un produit et donc de fixer un prix ; - Instrument de réserve de valeur : garder de l’argent pour une utilisation future (épargne). La masse monétaire correspond à la quantité de monnaie

du libre échangisme mais contrairement à l’idée reçue il a aussi défendu l’idée d’une intervention de l’État en particulier pour la construction de certaines infrastructures. La quesiton centrale de l’ouvrage c’est la question sur l’origine de la croissance/de la richesse des nations. I) LES DÉTERMINANTS DE LA RICHESSE DES NATIONS ADAM SMITH dès l’introduction de son ouvrage définie la richesse d’une nation comme « toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ». On voit que la richesse pour

laisser-faire économique, la croissance n'est pas infinie, et l'économie peut tomber dans un « état stationnaire » générant une baisse des profits qui elle même générera une baisse de l'investissement ce qui réduira encore la croissance, un vrai cercle vicieux, qui évoluera en véritable crise. Tout d'abord, un des grands objectifs du capitalisme, est de maintenir une croissance forte, et la crise, autant pour Marx que pour Smith et Ricardo viendrait du processus de croissance lui-même, c'est la dynamique

générale, le taux d’intérêt représente la rémunération du capital prêté, versé par l’emprunteur au prêteur. Pour les néoclassiques, le taux d’intérêt est la rémunération de l’abstinence : celui qui prête renonce à une consommation immédiate pour épargner. Le taux d’intérêt devient le prix du temps, la récompense de l’attente. Pour Keynes, le taux d’intérêt est la récompense de la renonciation à la liquidité. « Il mesure la répugnance des détenteurs de monnaie à aliéner leur droit d’en disposer à

loger, prendre soin de soi Besoins tertiaire : Ce sont des besoins dit « supérieur » dont la satisfaction vise le bien être, des besoins d’épanouissement personnel d’ordre physique, intellectuel ou spirituel. Exemple Rester jeune le + longtemps possible, accroître ses connaissances, s’éveiller • Être = Survivre • Bien être • Mieux être Cette hiérarchisation fondée sur une vision d’évolution humaine peut être contestée… Les besoins supérieurs étaient probablement présents dans