Une Conclusion Sur Regle De Et Justice

Séance 3: droit équité justice ce sont des concepts larges voilà pourquoi on peut les confondre. Droit: aspire à l'idéal de la justice. La justice est le nom donné au juge qui applique la règle de droit. Équité justice: si on se tient à la définition large de l'équité ils sont similaires. Au sens restreint l'équité assoupli la règle de droit. L'équité est ce à quoi aspire le droit. La règle de droit aspire à l'équité mais elle n'est pas l'équité. Parce qu 'elle est générale, abstraite

une juridiction administrative suppose pour ce dernier, de justifier l'existence d'un droit d'agir en justice à l'encontre de la puissance publique. Ce droit né de la réunion de 3 conditions : la règle de la décision préalable, du délais de recours et de l'exigence d'un intérêt donnant qualité pour agir. Chapitre 1: la règle de la décision préalable Cette règle est énoncée par le code de justice administrative art R421-1 « sauf en matière de travaux publics, la matière ne peut être saisie que

mariage et des époux. Code civil : rédigé en 1804, tours les droits civils sont dans le code, à pour but d’unifier le droit civil. Droit commercial : règle juridique qui concerne les commerçants (les relations) et les activités commerciales. Droit du travail : règle qui concerne le rapport entre l’employeur et les salariés. Droit rural : règle d’exploitation agricole, chasse, agriculture, pêche. Droit de consommation : concerne le rapport juridique entre professionnel et consommateurs.

la majeure, la règle de droit, applicable. III – APPRENTISSAGE DE LA LECTURE D’UNE DECISION DE JUSTICE L’apprentissage de la lecture des décisions de justice est une étape préliminaire mais essentielle à leur analyse et leur commentaire. En effet pour analyser et commenter une décision de justice, il faut l’avoir comprise. Or la compréhension passe par une bonne lecture. Bien lire une décision de justice signifie que l’on sait la décrypter. Pour décrypter une décision de justice, il faut savoir

Aristote: une réflexion sur l'équité « Ce qui fait la difficulté, c’est que l’équitable, tout en étant juste, n’est pas le juste selon la loi, mais un correctif de la justice légale. La raison en est que la loi est toujours quelque chose de général, et qu’il y a des cas d’espèce pour lesquels il n’est pas possible de poser un énoncé général qui s’y applique avec exactitude. Dans les matières, donc, où on doit nécessairement se borner à des généralités et où il est impossible de le faire correctement

B/LE CARACTÈRE JURIDIQUE DE LA RÈGLE DE DROIT Le premier critère est la sanction,opinion partagée par les positivistes. On le retrouve chez Kelsen et Carbonnier. Le pb est que logiquement il est difficile à mettre en œuvre. On ne conçois pas un ordre juridique sans sanction . Difficultée : Comment s'assurer que la loi est respectée ? La sanction est un critère fondamental de la règle de droit. On retourne alors à la question de l'origine du droit. Le gendarme sanctionne car il sera sanctionné de

de la loi ; 4/ l’« innocence » de la loi ou du législateur en ce qui concerne l’insuffisance de la loi ; 5/ la légitimité d’une correction de la loi insuffisante. Enfin, le texte conclut en distinguant trois espèces dans la justice (justice absolue, justice de l’équité, justice légale) et en reformulant la thèse. distinction équitable/juste légal, définition de l'équitable, première présentation de la thèse justification de la thèse, réhabilitation de la loi et du législateur.  _la nature de la

sujets de droit : prérogatives individuelles ou des facultés reconnues à des personnes qui permettent à leur titulaire de faire, d’exiger ou d’interdire quelque chose. Ex : le titulaire du droit qui s’estime victime d’une discrimination pourra agir en justice sur le fondement des articles. (1134-1 du code du travail) Entreprise : Réalité économique prise en compte par différents textes législatifs et règlementaires. Ensemble ayant une activité ayant son autonomie et dont la sphère doit être soit délimitée

préalables à l'action devant le juge administratif A) La règle de la décision préalable C'est une condition de recevabilité du recours = pas de décision, pas d'action. Pour qu'un recours devant le JA il faut toujours qu'il soit dirigé vers une décision. Cette règle s'explique pour des raisons historique, l'époque de la justice retenue où c'était l'administration qui se jugeait elle même, le chef de l'état intervenait en tant que juge : la règle à perduré car il faut avant de faire un recours, qu'il

éventuelle pour le juge national de soulever d’office un moyen tiré de la violation du droit de l’union, la Cour de Justice adopte une solution nuancée : elle a d’abord admis que si le droit national permettait au juge de soulever d’office un moyen d’ordre public, le respect des dispositions du droit de l’union devait être considéré comme un moyen d’ordre public. Mais en même temps, la Cour de Justice s’est montrée prudente en respectant l’autonomie procédurale du droit national en particulier le principe