Un Sujet Peut Il Se Connaitre

SCARABOTTO Grégory T°S PHILOSOPHIE « QUE PUIS-JE CONNAÎTRE ? » « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien, tandis que les autres croient savoir ce qu’ils ne savent pas. » Socrate. Mais alors que puis-je connaître ? Puis-je vraiment me connaître moi-même ? Aux premiers abords la réponse à cette question est très simple. Beaucoup de personnes répondrons à celle-ci sur un point de vue identitaire, c'est-à-dire leur nom, leur prénom, leur âge etc.. Néanmoins la connaissance de soi ne se

est la place du connaitre au sein du Dasein Par définition, le mot allemand Dasein veut dire littéralement être là. Avec Heidegger, ce terme est devenu un moyen duquel l'auteur cherche à distinguer la manière d'être spécifique de l’« être humain ». Ainsi le Dasein est cet étant particulier, à qui son propre être importe, qui est confronté à la possibilité constante de sa mort, en a conscience, vit avec ses semblables et qui « est toujours au monde ». De ce fait, le Dasein ne peut être défini dans

ne peut-être obtenue que par une bonne connaissance de soi-même. Mais peut-on réellement se connaitre soi-même ? Cette recherche de connaissance entraîne le sujet à réfléchir et à prendre conscience de certaines de ses réactions ou émotions qu'il tente par la suite d'expliquer. Se pose alors le problème de la capacité d'explication lié par exemple à la limite du langage ou à celle des moyens utilisés. Alors, sommes-nous réellement les mieux placés pour nous connaître ? Cette connaissance peut-elle

Le sujet proposé aujourd'hui est le suivant : « Peut-on se connaître soi-même ? ». On a tous déjà pensé se connaître soi-même parfaitement au moins une fois dans sa vie, et on a donc tous déjà pensé se connaître mieux que n'importe qui. On a également pensé que savoir ce que l’on est et qui l’on est, est un privilège indéniable que l'on a sur nous-même. Étant ce que je suis, me connaître est la chose la plus simple. En effet, je suis à moi-même l’objet le plus proche et le plus clair : je suis à

| |permanence dans le temps. Le langage permet de constituer son "Je". Le rapport à autrui permet de | | |constituer son identité. La conscience permet de connaitre "Je". La connaissance de "Je" est le | | |contraire de la connaissance extérieure. « Je » est un synonyme de soi-même. L’ « autrui» c’est | | |l’autre

1683 SUJETS DE DISSERTATION DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT Sommaire INTRODUCTION ..................................................................................................... 2 1. L’art (L - ES - S - Techn.) ..................................................................................... 3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ....................

que le sujet a sur lui-même. Etant ce que je suis, me connaître est la chose la plus aisée, car je suis à moi-même l’objet le plus proche et le plus clair : je suis à la fois, dans une intime proximité, celui que j’ai à connaître et celui qui a à connaître. Aussi, nulle difficulté : je puis tout savoir de moi, immédiatement, par introspection. Pourtant, la question posée suggère qu’une autre thèse est possible. Elle fait l’hypothèse qu’il n’est pas évident que l’on puisse se connaître, mais

Correction de la dissertation : Peut-on être objectif envers soi-même ? S’interroger sur la possibilité d’un jugement objectif sur soi-même, c’est poser la question de la valeur de vérité de ce jugement. En effet l’objectivité suppose une distance et une neutralité grâce auxquelles la conscience ne transforme pas à sa guise la réalité. L’astronome qui cherche à connaître la position et la distance d’une étoile fait taire sa subjectivité au profit de l’objectivité des calculs mathématiques

Cours sur la conscience cours construit sur le modèle de la dissertation Peut-on se connaître soi-même ? I. On peut se connaître soi-même A. Légitimité du projet B. La conscience comme condition nécessaire mais non suffisante de la connaissance de soi C. Je ne suis pas seulement ce dont je suis conscient II. Autrui : un facteur déterminant de la connaissance de soi A. Les sciences humaines B. Le proche C. Découvrir grâce à autrui que je porte en moi quelque

Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?Les mots ou expressions du sujet : « Plus facile » : c’est une comparaison qui évalue la difficulté d’une tâche. Il faut s’interroger sur les modalités du rapport d’autrui à soi. Sa connaissance est-elle plus aisée ? La transition est-elle facile ? Quelles en sont les obstacles, les points de résistance ? « Autrui » : c’est un autre moi qui n’est pas moi. Toute la difficulté est là : je le connais par différence d’avec moi ou