Un Simple Soldat

Sujet : L’expérience combattante vue par un soldat français Consigne : Montrez que ce document témoigne de l’état d’esprit des combattants de la Première Guerre mondiale ; mettez en évidence les limites d’un tel document. Nous sommes montés mille deux cents et nous sommes redescendus trois cents ; pourquoi suis-je de ces trois cents qui ont eu la chance de s’en tirer, je n’en sais rien, pourtant j’aurais dû être tué cent fois, et chaque minute, pendant ces huit longs jours, j’ai cru ma dernière

belliqueux se justifie par la loi, l'hérédité, la famille… (L. 1 à 10) - Vocabulaire militaire : la guerre, l'armée, les conquérants, les soldats sont les sujets de ce texte. (L.10 à 17) - Champ lexical de l'intérêt, de l'argent : la guerre coûte de l'argent, et parfois en rapporte. (L. 18 à 23) - Champ lexical de la violence, de la cruauté : le soldat et celui qui l'envoie sont des assassins. (L. 23 à 30) Les figures de style - "Cette province […] a beau protester" : métonymie et personnification

l'auteur de cette chanson, nous savons simplement que c'était un soldat engagé dans l'armé française durant la première guerre mondiale, c'est un « poilu », certaine personnes croient tout de même que ce soldat venait du Midi. Au moment de la production de la chanson, la guerre est déjà bien avancer, cela fait trois ans que les soldats français et Allemands ce battent dans le nord de la France, c'est une « guerre de position ». Les soldats sont épuisés et traumatisés par la violence des combats à laquelle

Le fabuleux spectacle tourne au désastre. Le mot “ canons ” placé à la suite des instruments de musique suggère l'idée de mort, les canons ne sont pas considérés comme des armes meurtrières, mais comme des simples instruments à tuer. Ce combat a couté la vie à “ une trentaine de mille ” soldats. L'antithèse entre “ harmonie ” et “ enfer ” souligne l'ironie de Voltaire et avise subtilement le lecteur d'un prochain renversement. Le regard déshumanisé qu'adopte Voltaire dans cette partie du texte choque

positifs : chante, montagne fière, mousse de rayons 2ème Quatrain : description du soldat Soldat : bagarre, mort (risques du métier) ≠ dormeur « soldat jeune, bouche ouverte, tête nue » = rythme ternaire → repos, pas au travail, a posé les armes « cresson » : se situe à fleur d’eau voire dans l’eau. « bleu » : cresson vert mais dans l’eau = bleu V6 : marque détente à priori (ex : frais, baignant, bleu) mais la position du soldat indique qu’il y a un problème. Termes poétiques : La nature, l’herbe forment

quoi ? -Soldats : AAAAAAH ! La porte cède sous les coups et charges répétées des soldats. Cirrus se retrouve expulser près du vieillard agonisant. Tous se réunissent alors autour de ce dernier. -Sergent : Soldats, capturer ces traîtres et pas d’exception pour la princesse ! -vieillard : prenez ma main… (tousse, tousse) -Cirrus : Hein ? C’est une blague ou quoi ? Les dizaines de soldats qui entourent le groupe s’avancent et… .Jour 1 : En fin de journée, au camp d’entrainement des soldats. -capitaine :

Marcel Dubé, Un Simple Soldat, Montréal, L'Institut littéraire de Québec, 1958, p. 185-311) (publié avec Le Temps des Lilas, p. 1 à 184) (La pièce a été écrite pour la télévision. Elle fut présentée en décembre 1957, puis remaniée pour la scène et jouée à la Comédie-Canadienne en 1958.) Joseph Latour est revenu de la guerre sans y avoir participé. Son père, Édouard, s’est remarié lorsqu’il avait six ans. Il a épousé Bertha, une veuve qui avait deux enfants : Marguerite et Armand. Édouard et

Avec le déclenchement des hostilités en 1914, les conditions de vie des soldats au front et des civils à l’arrière sont difficiles. Nous allons voir comment les Français ont vécu cette guerre puis comment ils l’ont perçu et enfin, si les soldats du front et la population de l’arrière l’ont vécu de la même manière. Tout d’abord, les conditions de vies au front sont très difficiles. En effet, les souffrances auxquelles les soldats font face sont nombreuses : souffrances physiques comme le gaz, le manque

I)Présenter le document : Nature: lettre de soldat (développer sur l’importance de la correspondance pendant la 1ère GM). Lettre tirée du livre «Lettres de poilus » paru en 1998. Auteur : Gaston Biron, 29 ans en 1914 (donc 31 ans). Un simple soldat, non gradé, un poilu. Il meurt quelques mois après en septembre. Destinataire : Sa mère dont il est très proche. Il lui écrit souvent. Date : 25 mars 1916. En effet il est mort en 1916 et il fait référence à Verdun. Contexte : La bataille de Verdun

continus, le bruit devient infernal, les nuits s’embrasent avec des fusées éclairantes et des obus en étoile. Dans les tranchées, il faut toujours combattre, que ce soit l’ennemi, le froid, les rats, la boue….. On se lie d’amitié avec d’autres soldats qu’on ne verra plus demain. On ne mange pas à sa fin. On espère même se faire tuer pour ne plus devoir continuer et on banalise la violence. L’expression favorite du front : ca ne fait rien, tout est égal….. Des hommes sont tués, c’est normal on est