Un Simple Soldat

fermeté d'esprit. Les mois avaient passés et le deuil était fait. Ce qu'Aenor ignorait c'était que son rôle dans cette vie était loin d'être terminé et tout espoir n'avait pas disparu avec son mari. Elle était la fille d'un riche paysan ayant épousé un soldat. Sa robustesse et sa beauté lui avait valut un mariage qu'elle n'avait jamais désiré. Et la puissance des ses yeux bleus avait souvent réduit à bas son mari. Avec les années elle avait fini par l'aimer et ils étaient devenus des identiques. Mais aujourd'hui

l’opération de Barbarossa, une affiche de propagande « Frappons et anéantissons l’ennemi » (coté soviétique en 1941). Un discours du Général commandant le 4e groupe de Panzer, qui donne pour ordre d’anéantir l’ennemi « et sans pitié », un témoignage du soldat allemand Müller et pour finir une image de la ville lors de la bataille de Stalingrad. Nous allons nous demander pourquoi la guerre conduite sur le font de l’Est peut-elle être assimilée à une guerre d’anéantissement ?

l'armée sont présents → champ lexical de l'armée : "colonels", "cavaliers", "grenadiers" (soldats d'élite), "régiments". – Les soldats sont habillés en tenue traditionnelle de combat, rappelant le caractère officiel de la manifestation → énumération : "les troupes bariolées d'argent, d'azur, de pourpre et d'or", cela suggère un certain éclat. – Le silence domine dans la population et parmi les soldats → l'oxymore du "sourd murmure de la foule" révèle une austérité et permet de palper une certaine

suivantes : Le soldat et la danseuse – partie 1 : ∼ 45 minutes Production de l’écrit – partie 2 : ∼ 40 minutes 2. Le temps consacré aux consignes ci-après est inclus dans la durée des 90 minutes (9h30-11h). Aucune autre information ne sera donnée. • Distribuer aux élèves les trois documents suivants et leur faire inscrire leur identité sur chaque document : – Les 2 livrets de l’élève : Le soldat et la danseuse – partie 1 et Production de l’écrit – partie 2 – La feuille A4 : Le soldat et la danseuse

L’expérience combattante pendant la première guerre mondiale Introduction : Les conditions de vie et de combats des soldats pendant la guerre mondiale qui malgré la dureté de cette guerre ont tenu. I La violence des combats Dès les premières offensives de novembre1914 l’utilisation de l’artillerie sans précédent et de plus, l’apparition de nouveaux outils tel que la mitraillette et les obus engendre des pertes humaines importantes. Ces dégâts sont considérables et aléatoires et son appelées

postale | Date : 1914 | Auteur(s) : | | Représentation de l'œuvre : Le soldat allemand : laid, lâche, voleur, sadique   Le soldat allemand se signale d’abord par sa laideur qui le ravale au niveau de l’animal. Obésité ou au contraire maigreur extrême, débilité – soulignée par le sabir dans lequel il s’exprime – hébétude sont quelques-unes des tares qui le caractérisent. Souvent le soldat allemand est affublé d’une barbe mal taillée, signe de sa barbarie, et de lunettes, façon

le long de la nouvelle, elle est nommée par son surnom « Boule de Suif » qui fait allusion à son physique rond et gras « suif » signifie graisse. Il faut attendre plusieurs pages (p.23) avant d’apprendre son vrai nom qui est Elisabeth Rousset. Ce simple détail indique qu’elle n’a pas sa place parmi la société « honnête » car le nom est une marque de respect. Le sien n’est prononcé que trois fois au cours de l’histoire, et en plus dans un contexte déshonorant, puisque c’est lorsqu’on lui demande

Œuvre : La guerre. Nature : C’est une peinture qui est composée de trois panneaux principaux (Triptyque). Panneau central 204x204. Panneaux sur le côté 204x102. Contexte : Otto Dix a été simple soldat pendant la guerre de 14/18. Il était Allemand. Il a commencé cette peinture en 1929 et la fini en 1932. Donc plus de dix ans après la fin de la guerre c'est-à-dire quand les gens commencent à oublier un peu les souffrances de la guerre, il fait ce tableau pour rappeler aux gens la brutalité et la

participer à l’effort de guerre. En tout, 8 millions de français partent au front. On mobilise aussi bien les soldats français que ceux des colonies (les indigènes*) qui découvriront la France que par la guerre ! Au début l’uniforme du soldat est rouge donc très voyant et pas très résistant, puis par la suite il devient bleu marine avec un casque plus solide qu’un simple képi. On appelle les hommes qui partent à la guerre les poilus*, ils ont chacun un fusil a baïonnette

commémore l’atrocité commise par les forces françaises pendant la Guerre d’Espagne (1808-1814). Le 2 mai la population madrilène se soulève devant les troupes françaises. Dans la nuit du 2 au 3 mai 1808 les représailles sont rapides et brutales : les soldats français arrêtent puis exécutent les combattants espagnols faits prisonniers au cours de la bataille sur la colline du Principe Pio à proximité du palais de Liria. Cette violence déclenche une guérilla à l’échelle nationale contre les français et