Un silence de mort

procureur (Destinat) : droit de vie et de mort du condamné. Le lieu : le restaurant Le Rébillon prétexte pour présenter la famille Bourrache : les 3 filles, Belle de jour. Puis du juge Mierck. Portrait de Mierck. Relation Destinat / Mierck : mauvaise. 2 Découverte du corps sans vie de Belle de jour. er Situation temporelle : « Chez nous, en 1917, 1 lundi de décembre». Situation spatiale : « près de la berge » Ambiance : froid, eau. Guerre = bruit. Silence des canons. Portrait de Mierck. Un homme

le début du roman, Julien s'affirme comme appartenant à une autre race que celle de Sorel. Et parce qu'il sait qu'il appartient à une autre race (c'est un savoir viscéral), il va esquisser tout un trajet qui le conduit d'une façon inexorable vers la mort; il s'agit pour lui de mourir pour être ce que l'on est. Ce que Julien cherche ce n'est pas à parvenir, c'est à oublier Sorel, pour faire advenir une race nouvelle. Julien, au plus profond de lui-même, a choisi d'effacer Sorel, chose qui explique

du roman, Julien s'affirme comme appartenant à une autre race que celle de Sorel. Et parce qu'il sait qu'il | |appartient à une autre race (c'est un savoir viscéral), il va esquisser tout un trajet qui le conduit d'une façon inexorable vers le | |mort; il s'agit pour lui de mourir pour être ce que l'on est. | |            Ce que Julien cherche ce n'est pas à parvenir, c'est à oublier Sorel, pour faire advenir une race nouvelle

qui se répète (= anaphore) au début de la 2ème strophe "nous" v. 7 / "tu" v. 1 et 7 / "moi" v. 4 et 5 - champ lexical du secret (intimité) : "ensevelie" v. 1 / "refermé" v. 3 / "en moi" v. 4 et 5 / "sous la terre" v. 13 / "masque" v. 13 et 14 / "silence" v. 15 B) La mémoire d'un passé vivant - champ lexical du commencement (un passé plein de promesses) : "aurore" x2 v. 2 et 4 (= anaphore) / "matin" v. 2, "mai" v. 2 - champ lexical de la sérénité : "beau matin" v.2 / "claires" v.4 / "contente"

temporels brouillés : ignorance du personnage (1er §), il a p-ê manqué l’enterrement de sa mère ; on ne sait pas de quoi elle est morte et on sait peu de choses sur ce qui s’est passé avant * mort de la mère en semaine : « deux jours de congé «  demandés au patron * Confusion temporel, silences du récit B. Les personnages Aucune description physique et morale des personnages, juste des prénoms (Emmanuel, Céleste), des fct (maman, le directeur de l’asile, le patron). On connaît juste

Émile Nelligan présentent, dans Cage d'oiseau et Les Corbeaux, une même vision de la fatalité ? Discutez.       Plan Intro : Sujet amené + sujet posé (Les deux poètes partagent-ils la même vision fataliste de la mort?) + sujet divisé. IP1 : Thèse - Les deux poètes se représentent la mort de la même manière : sous forme d’oiseaux. Is1. SLG- oiseau dans sa cage qui finira par avoir son âme dans son bec Is2. N- Corbeaux qui guettent N’ et finiront par le dévorer IP2 : Antithèse – Cependant, elle ne

|faire. On est tranquille. Cela roule tout seul. C'est minutieux, bien huilé depuis toujours. La mort, la | | |trahison, le désespoir sont là, tout prêts, et les éclats, et les orages, et les silences, tous les silences: le| | |silence quand le bras du bourreau se lève à la fin, le silence au commencement quand les deux amants sont nus | | |l'un en face de

après une longue absence de 12 ans pour le leur annoncer. Cette œuvre témoigne d’une crise personnelle et familiale entre Louis son petit frère Antoine, sa sœur Suzanne et leur mère. En effet, le théâtre de Lagarce est le théâtre de la parole, où les silences de Louis incarnent l’échec de celle-ci. Ainsi, dans son œuvre il rompt avec les étapes traditionnelles du théâtre et la parole tient lieu d’action. De plus, la maîtrise de la parole représente dans la pièce un pouvoir convoité. La parole sincère

Les Dieux du silence... Depuis la nuit des temps les croyants ont défini une séparation entre le monde des Dieux et le monde des vivants. Les Dieux règnent dans un silence infini, où flamboie la lumière, côtoyant l'esprit des morts dans la paix et la sérénité. Plutarque disait: « Si nous avons les hommes pour maîtres de parole, nous avons les dieux pour maîtres de silence. » Pindare écrivait : « Le silence est la plus haute sagesse de l'homme » Pythagore interdisait à ses disciples de manger

reformulations faites ?Oui, Laurine s’est sentie bloquée malgré les reformulations car la mort est un sujet tabou, car la patiente n’a pas expliqué pourquoi elle souhaitait mourir. Laurine aurait peut-être du demander l’intervention d’une collègue pour pouvoir lui apporter l’expérience de cette situation afin de ne pas laisser la patiente dans son état de détresse. Comment by CASSAIGNE, Béatrice: Car le sujet de la mort est peut être difficile pour Laurine et elle met en place face à cela des mécanismes