Un Plaisant Baudelaire

Sylvie ; Les Chimères, « Vers dorés ». Rousseau, Confessions. Beaumarchais, le Barbier de Séville ; la Mère coupable. Molière, Dom Juan ; Eluard, Capitale de la douleur (« les Gertrude Hoffmann girls ») ; Corps mémorable (« Je t’ai imaginée ») Baudelaire, les Fleurs du mal, « le Serpent qui danse », « les Métamorphoses du vampire », « Bohémiens en voyage », « Sed non satiata ». Beckett, En attendant Godot. Marivaux, la Dispute ; la Seconde surprise de l’amour ; le Jeu de l’amour et du hasard ;

Fantastiques) Théophile GAUTIER I. Questions : • 2 page 292. Le jardin est décrit comme un lieu totalement livré à lui-même. Gautier fait référence à des composants qui pourraient être plaisants mais les associe à des adjectifs très péjoratifs. Il commence par « charmilles » en opposition avec le verbe « dévorer » l.4 et « piteusement » l.5 puis continu avec « fleurs » auquel il associe « pauvres », « étiolées » l.7, « languissamment » et

de la technique ? Ex : le menuisier fabrique une table, le sculpteur une statue. objet/art table à toujours une fonction utile : elle sert à porter des objets pas immobiles. Divers, livres, cahiers, couverts …. La statue de sa pure présence comme plaisante ou belle, la production de la table implique une finalité utile. La fin de ces œuvres est leur utilité, et le propre de l’artisanat ou de la technique est de produire des objets qui ont cette utilité pour fin - critère supplémentaire vs liberté créatrice

 Au lecteur est issue du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Baudelaire un poète symboliste du XIXème siècle. Au Lecteur est le poème liminaire du recueil Les Fleurs du Mal, placé hors numérotation, il a été placé en tête dans toutes les éditions. Il a donc une importance majeure : il présente et ouvre le recueil. Il montre l’esthétique moderne de Baudelaire qui associe le Beau et le Mal. Au Lecteur est un portrait de la condition humaine. Ce poème aborde des thèmes qui seront récurrents

Le Poème « les Chats » de Baudelaire, essai d’exégèseTous droits réservés © Département des littératures de l'Université Laval, 1972 Ce document est protégé par la loi sur le droit d’auteur. L’utilisation des services d’Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d’utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif

peut-on dire que le poème « La courbe de tes yeux » est un poème moderne ? / Pourquoi peut-on dire que le texte de Voltaire « Torture » est un texte digne d’un écrivain des Lumières ? / Montrez que « L’Amour et la Folie » a un style vif, dynamique et plaisant. Sur la visée, le but, la morale, le sens, les messages, les leçons, les thèses du texte : Quelles visions de la vie nous offre le calligramme d’Apollinaire « Paysage » ? / Quelles leçons peut-on tirer du conte philosophique « La Chiromancienne »

proche et qu’ils sont de même catégorie grammaticale : le verbe briller a pour synonymes étinceler, scintiller, flamboyer... • Les synonymes varient selon le niveau de langue : - niveau familier : marrant - niveau courant : drôle - niveau soutenu : plaisant. 2. Antonymie • Les antonymes sont des mots de sens opposé et de même catégorie grammaticale : entrée et sortie sont des antonymes. Les antonymes sont formés à l’aide d’un préfixe négatif : possible vs impossible.3. Les changements de sens a. Polysémie

C’est-à-dire se faire craindre comme potentiellement plus formidable, plus terrifiant, plus cruel, plus hors-la-loi aussi que les loups, symboles de la violence sauvage. Le genre initial de la fable est donc subverti. S’il conserve une dimension plaisante, on n’y retrouve pourtant pas la fin morale assignée aux fables. Le destinataire est ainsi guidé au travers d’alternatives et raisonnement binaire vers l’alliance du lion avec le renard, contre les loups. La menace des loups vient justifier la conduite

que l'histoire ». XVI°s : William Shakespeare : « La poésie est cette musique que tout homme porte en soi ». XVII°s : Nicolas Boileau, L’art poétique, (1674) : « Heureux, qui dans ses vers, fait, d'une voix légère,/Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! » XVIII°s : Rivarol, Extrait du discours de l’universalité de la langue française (1784): « C'est la prose qui donne l'empire à une langue, parce qu'elle est tout usuelle : la poésie n'est qu'un objet de luxe. » Goethe, Maximes et réflexions

COCTEAU Le poète se souvient de l´avenir. Cocteau Les poètes parlent une seule langue, même s´ils ne se comprennent pas entre eux. Cocteau Les rêves sont la littérature du sommeil. (Jean Cocteau) BAUDELAIRE Qu’est-ce qu’un poète, si ce n’est un traducteur, un déchiffreur ? Charles Baudelaire (1821-1867) Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser. Journaux Intimes La volupté unique et suprême de l'amour