Un Monde Affamé

pour montrer que le baron est au centre du monde. -Un baron est un petit titre. b) L’illusion de la philosophie optimiste -L’optimisme est la philosophie de Pangloss è au moment ou l’on parle, le monde ne peut pas être meilleur. -Cet optimisme est qu’il n’y a pas d’effet sans cause. -Dieu à décider de tout avant donc tout ce qui nous arrive est bon. -Cette philosophie optimiste transforme la vision du monde car elle tente de faire entrer le monde dans le moule de sa philosophie Une galerie

l'idée que Gnathon est posté au centre, au-dessus des autres. b) «Lui» contre le monde -Chiasme l.8 « S'ils veulent manger, mangent les restes » -Antithèses = ■ l.1 « soi » et « tous les hommes ensemble » ■ l. 3-4 « pour lui » et « pour toute la compagnie » / « aucun » et « tous » + déséquilibre rythmique ■l. 22 « tout le monde » et « personne » . Renforce l'idée qu'il est seul face au reste du monde. c) Accentuation de l'égoïsme par les procédés de l'exagération -Tournure restrictive

Ce roman écrit par Laurent Gaudé traite principalement de l’immigration clandestine. En effet, ce thème reste d'actualité aujourd'hui et on le retrouve dans presque chaque coin du monde, que ce soit à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis ou entre les pays africains et l’Europe. Malheureusement, il n'y a toujours pas de véritables solutions à ce problème qui dure depuis des décennies. Dans « Eldorado », on assiste au courage sans limite de tous ces clandestins qui veulent connaître des

« Le Loup et le Chien », - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient au monde des domestiques, de la servitude. Il incarne les cours serviles qui obéissent aveuglement au Roi pour obtenir des faveurs. - Le chien est vaniteux, a des préjugés donnant deux conseils au loup « quittez le bois » ; « suivez-moi », suivis de leurs conséquences. Le travail du chien est minimisé par l’énumération de 3 verbes à l’infinitif : donner la chasse, flatter

retour aujourd’hui, ils sont là, de nouveau là, sur le quai.Tu vois leur gueule ouverte ?La gueule ouverte dans l’horreur !Ils en veulent encore !Encore, de nouveau. Rien ne les rassasie.Ils sont là, ils attendent les Juifs.Quand les apporte-t-on ?Affamés comme s’ils n’avaient encore jamais englouti leur Juif… Jamais… Mais oui ! ils en veulent encore, toujours plus.Ils en veulent encore.Ils sont là, attendant qu’on leur prépare la table,Qu’on serve le repas, qu’on serve des Juifs autant qu’il en pourra

1950, date de publication d’Un Barrage contre le Pacifique, elle délaisse les canons habituels de l’écriture romanesque (narration, description, rendu des personnages) au profit d’un style fondé sur la primauté du dialogue, qui tente de restituer un monde intermédiaire, entre le dit et le non-dit des pensées souterraines de chacun. Une étroite imbrication de la réalité et de la fiction caractérise nombre d’œuvres littéraires, en particulier les romans, où l’élément autobiographique est souvent facile

quand ce ne serait que pour donner l’éveil. Pas un gros chien, Seigneur ! Que feraient-elles d’un gros chien ! Il les ruinerait en nourriture. Mais un petit chien (en Normandie, on prononce quin), un petit freluquet de quin qui jappe. Dès que tout le monde fut parti, Mme Lefèvre discuta longtemps cette idée de chien. Elle faisait, après réflexion, mille objections, terrifiée par l’image d’une jatte pleine de pâtée ; car elle était de cette race parcimonieuse de dames campagnardes qui portent toujours

ne vis un plus hideux chrétien. ALAIN Ce monsieur l'a fâché; je te le disais bien. GEORGETTE Mais que diantre est-ce là, qu'avec tant de rudesse Il nous fait au logis garder notre maîtresse? D'où vient qu'à tout le monde il veut tant la cacher, Et qu'il ne saurait voir personne en approcher? ALAIN C'est que cette action le met en jalousie. GEORGETTE Mais d'où vient qu'il est pris de cette fantaisie? ALAIN Cela vient... Cela

espiègle et malfaisant, il a l’intelligence subtile et connait parfaitement l’art de la parole et de la ruse pour tromper toutes les bêtes du monde. Lorsqu’il s’en prend aux petits (ainsi, sa rencontre avec la mésange, page 41), il échoue piteusement ; en revanche face à Ysengrin, il triomphe malicieusement. Renart, c’est aussi celui qui trompe son monde pour préserver sa liberté. Ses tours ridiculisent les grands, les riches, les puissants, les sots : il se moque des principes et des règlements

mains ; il manie les viandes, les remanie, démembre, déchire, et en use de manière qu'il faut que les conviés, s'ils veulent manger, mangent ses restes. Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés dégoûtantes, capables d'ôter l'appétit aux plus affamés ; le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe ; s'il enlève un ragoût de dessus un plat, il le répand en chemin dans un autre plat et sur la nappe ; on le suit à la trace. Il mange haut et avec grand bruit ; il roule les yeux