Un enfant dans la foule

phrases permet de passer d'une idée à une autre : des flashs des photographes du magasin qui prennent les enfants en photo avec le père-noël à un flash back, un souvenir, un dessin de père-noël. On nous présente également le lieu et l'époque du récit mais là encore c'est au lecteur...(dsl pour ce blanc, je n'ai pas la suite de la phrase) Indices sur le lieux : - La voix du haut parleur - La foule - Le bureau des réclamations C'est un grand magasin, la veille de noël, on est dans une époque moderne

jusqu’à la Libération de Paris. En 1948 il fonde avec David Seymour et Henri Cartier-Bresson l’agence de photographie « Magnum ». Il sera le grand photographe des conflits Le sujet de cette oeuvre est la honte d'une femme tondue pour avoir eu un enfant avec un soldat allemand . Les obliques convergent vers le drapeau de la République française, accroché au portail de la préfecture. Les collaborateurs sont arrêtés le matin et regroupés dans la cour de la préfecture. Un coiffeur vient tondre les femmes

la joie CRIS : évoque une ambiance sonore bruyante (enfants, camelots) JOIE : à ne pas confondre avec bonheur, sentiment moins noble d'origine plus ou moins matérielle TUMULTE : fait penser à désorganisation, troupeau DEPENSAIENT, GAGNAIENT : on est dans le registre de l'argent qui semble être le moteur de la fête LES UNS, LES AUTRES, EGALEMENT, TOUT : une généralité - personne ne semble être exclus de la fête. Deuxième phrase : ENFANTS, MERES, PERE : toutes les générations sont concernées

et mystérieuse.  Banania est aussi un produit très nourissant : farine de banane, crème d’orges, céréales  Renforcé par vigueur, énergie, force, santé  Impact redoublé car sur les 2 côtés de l’image (chiffre positif) qui se déverse sur la foule.  Répétés plusieurs fois pour donner plus d’effets alors qu’il n’y a que 4 mots. En tout 11 mots sortent des boîtes, dont 1 de plus sur la droite. L’effet positif est accentué  Caractère gras et majuscule a force et générosité  Produits

artistique : illustration , hyperréalisme . Ce tableau est conservé Norman Rockwell Museum, à Stockbridge . Norman Rockwell a peint cette oeuvre pour dénonssé la déscimination . Etude du tableau : Le 14 novembre 1960 Ruby Bridges fut la première enfant afro-americaine à intégrer une école blanche aux Etats- Unis (Louisiane) . Norman Rockwell a voulus montré : • montrant la fillette dans sa robe blanche immaculée marchant d'un pas déterminé. • Le mur de l'arrière plan contraste (sale, craquelé

prend même sa défense en provoquant les auteurs qu’il caractérise de routinier, (L2-3) « leurs règles des deux unités sur la vraisemblance », quant à Alfred de Musset il nous montre que lui aussi prend la défense du drame Romantique en dénonçant la foule qui se mêle à la représentation de la pièce « comment faire descendre une reine éperdu dans le tombeau de son époux et l’en faire sortir mourante de la main de son fils.. » de plus il caractérise bien le genre du drame romantique en évoquant que

Support : Germinal de Zola Biographie de Zola : Enfant d'un père immigré Italien, ces origines lui valurent des critiques. Son père était ingénieur et a participé à la construction d'un Canal d'Aix-En-Provence. De plus, celui ci eut une maladie qui lui causa des problèmes financiers, Zola fut donc pris en charge par un membre de sa famille, ce qui lui permit de finançer ses études. Après un déménagement de lui et sa famille à Paris, il sort du lycée sans le bac. De 1862 à 1866, il travaille dans

mouvement, actif ( cf verbe d’actions ayant pour sujet Quasimodo nombreux ) b) Esmeralda : l’incarnation de la fragilite grace physique : comparaison méliorative ( objet précieux ou fragile ) fragilite : comparaison qui vont dans se sens ( enfant, comparaison implicite a la fleur), purete virginale ( blancheur) , absence de mouvements ( palpitante = moribonde ? ) c) Le depassement de ses oppositions un meme statut social : deux monstres sociaux ( le terme d’homme ou de femme leurs

des pronoms « ils » et « eux ». Ils n’ont pas d’identité individuelle, ils appartiennent à un groupe. Ils n’ont pas de nom et pas d’âge et sont exclusivement fait pour la critique. Cependant, il y a un second groupe de personnages : « les petits enfants » qui font supposer l’appartenance du premier groupe à l’âge adulte. Néanmoins, cela reste très évasif. Sarraute installe une ambiance lourde et désagréable « moite » « tiédeur », surenchérit par un lexique néfaste « sale » « sombre » « morte ». On

Dès le titre, le lecteur sait qu'il va suivre le récit d'une chasse censée rabattre un enfant vers sa geôle. La métaphore dominante de la « chasse » (v 8 et 20) est filée tout le long du poème. Prévert montre que l'enfant pourchassé n'a aucune chance d'échapper à ses poursuivants en rappelant la circularité de l'île par l'adverbe « autour » (v 3) et en bouclant son poème, les deux derniers vers renvoyant aux vers 2 et 3. Ce vase clos symbolise l'enfermement et l'impossibilité pour l'enfant de trouver