Un Energumen

renverser et casser les statues et les ornements, est un fanatique moins horrible que Diaz, mais non moins sot. Les assassins du duc François de Guise, de Guillaume, prince d'Orange, du roi Henri III, du roi Henri IV, et de tant d'autres, étaient des énergumènes malades de la même rage que Diaz.     Le plus détestable exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n'allaient

nouveau à la guerre. Il fallait prendre une décision, il n’avait pas spécialement envie de se retrouver face à une montagne de muscle suintant la testostérone, armée de deux haches bien aiguisées. Le seul souvenir plutôt drôle qu’il avait de ces énergumènes gueulards, c’était quand un guerrier un peu efféminé armé d’un bouclier et d’une masse ridicule s’était élancé au-devant d’un golem en hurlant « pour la lumière » avant de se faire ratatiner, les copains s’étaient bien marré avant de prendre une

renverser et casser les statues et les ornements, est un fanatique moins horrible que Diaz, mais non moins sot. Les assassins du duc François de Guise, de Guillaume, prince d'Orange, du roi Henri III et du roi Henri IV, et de tant d'autres, étaient des énergumènes malades de la même rage que Diaz. Le plus détestable exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n'allaient

bouleversée. Tu connais le fameux « raccourci de Bouzigue », qui abrège notre trajet d'une demi-heure. C'est à cause de lui que j'ai eu tout à l'heure la plus grande frayeur de ma vie. Nous venions juste de passer une haie quand nous avons vu un énergumène hirsute foncer sur nous armé d'une fourche en hurlant « Hé là-bas, où allez-vous ? ». J'ai cru que c'était un propriétaire irascible, un fou qui allait nous massacrer ! J'ai serré Marcel contre moi tandis que Paul se cachait dans un buisson. Joseph

gardes mobiles qui doivent assurer la défense du pont sont débordés et contraints de se replier vers le Palais-Bourbon *. Plusieurs coups de revolver partent de la foule. Les gardes mobiles tirent en l’air. Ce n’est pas assez pour intimider les énergumènes qui ont décidé de renverser la République et le régime parlementaire. Ils lancent des bombes, les gardes mobiles tirent alors pour de bon, une dizaine de perturbateurs s’écroulent. » * Palais-Bourbon : siège de l’Assemblée Nationale à Paris.

légendaires comme Barthélémy Diaz ou Polyeucte… 2) la présence de Voltaire qui manifeste sa subjectivité •Exemple personnel, présence directe : « J’ai vu » •Vocabulaire subjectif : l.9 « un fanatique moins horrible, mais non moins sot » L 11 : « des énergumènes malades de la même rage que Diaz » •vocabulaire hyperbolique et énumération : l16 : « coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces… » « fripon » « poison » … On est bien dans le jugement de valeur, dans le pamphlet et

l’Océan pour me retrouver en banlieue à La Garenne Rancy après que Bardamu ait terminé ses études de médecine. Moi qui me plaignais de New York et de Détroit, de la vie étriquée des gens misérables outre-Atlantique, je n’avais pas conscience des énergumènes qu’allait rencontrer le médecin des pauvres auxquels on n’ose même plus parler d’honoraires à la fin de la consultation: personne pour racheter l'autre, jusqu'à la vieille qui prend soin de Bébert (l'enfant malade qui mourra peu après) et le fait

milles et un art et attraction, plus douteuse et plus frauduleuse les unes que les autres. Réalisant que le teint de sa peau la forme de son visage, ainsi que ses accoutrements partageais de nombreuse affinité, voir ressemblances avec ceux de ses énergumènes que n’on appelais pour la plupart d’entre eux Gitans. C’est justement par coïncidence, que lorsqu’elle décida de s’assoir près du puits pour se ravitailler en eau, et d’en profiter pour ce faire un petit tonic pour les nerfs, qu’un individus charment

couloirs, descends des escaliers. Je me sens grotesque. On nous ordonne enfin d’enlever nos bandeaux. Nous découvrons une pièce obscure. Soudain, un projecteur nous aveugle. Bref aperçu du décor : des cadavres d’animaux, du noir, de l’écarlate. Des énergumènes grimés jaillissent de l’ombre en hurlant. Crânes rasés passés au charbon, cagoules, rangers, tenues paramilitaires ornées d’inscriptions assassines... Battes de base-ball, cravaches, cornes de brume, vacarme d’apocalypse... On est tétanisés. Le

Il est fou ce type ! Il voulait m'égorger !Commissaire : Silence ! Gendarme ! Faites asseoir ces énergumènes(Tous s'assoient)Commissaire : Si je comprends bien, Melle, vous accusez votre tante et Ses frères et sœurs d'avoir maquillé un crime en légitime défense !Nièce : C'est cela même !1er capitaine, (protestant) : Mais elle est complètement folle !2ème