Tyrtée

les bases de la constitution spartiate, une synthèse originale de l'ancienne idéologie aristocratique et de la nouvelle idéologie civique grâce à TYRTÉE + PLUTARQUE + DIODORE. RHETRA : constitution pour les spartiates, dériverait sûrement de lois crétoises, entend ordonner organisation militaire, éphores, gerousie, etc. Elle est transmise par TYRTÉE. D'après ce texte présenté presque comme un oracle delphique le peuple est divisé et reparti en PHULAI et OBAI les rois sont des archégètes cad fondateurs

l’Italie. Militairement parlant, l’armée Spartiate adopte la formation en phalange suite à sa lourde défaite contre l’armée d’Argos à la bataille d’Hysiaï en -669, qu’elle utilisera lors de la seconde guerre de Méssénie qui sera relatée par le poète Tyrtée. A la suite de cette guerre, les hoplites réclameront le partage des terres conquises. La conquête de la Messénie marque le début de la Sparte que l’on connaît comme camp militaire fermé et hostile, jusqu’au déclin de Sparte et de la perte de la

Cléobis et Biton – Réflexion Les auteurs Mimnerme et Tyrtée y font sans cesse allusion et une nouvelle fois, cette conviction est mise à l’honneur dans ce récit de Solon ; il s’agit bien du καλὸς κἀγαθός, si cher aux Grecs. Cet idiome traduisait l’idéal grec : avoir un corps d’athlète tout en étant cultivé et vertueux. Cléobis et Biton l’illustrent parfaitement, tant sur le plan moral que physique. Effectivement, d’une part ils sont pieux envers leur mère et envers les dieux et ne sont

avec les poésies ou les chansons de nos jours. Les poésies que nous avons choisis pour l’antiquité sont les suivantes tels que ceux de Pindare « La Fondation des jeux » et « Isthmiques » et enfin « Ode, A Leuconoé » D’Horace et «  Chant I » de Tyrtée enfin nous étudierons aussi les siècles suivants : - La pléiade : Nous avons choisis trois poésies de Pierre de Ronsard tels que « Sonnet pour Hélène, Quand vous serez bien vielle ? », « Mignonne Allons voir si la rose » et « Je n’ai plus que les

pour interroger Apollon par la Pythie, son oracle. A son retour à Sparte : convoque les trente citoyens les plus importants sur l'agora, qui l'aident à composer sa constituion, "la grande Rhêtra". II/ La Grande Rhêtra connu par deux textes : Tyrtée : poète grec du 7ème siècle. Origine : rien ne permet d'affirmer s'il venait d'Athène, de Milet, de Sparte. Mais va être poète officiel de Sparte. Il reste de lui des fragments de 11 élégies. Elégie : poème qui alterne deux types de vers, pentamètre

Plutarque, Moralia, 238 F, etc. 7. ↑ Frag. 359 Kock. Cité par Lazenby (1993), p. 105. 8. ↑ Xénophon, Helléniques, IV, 4, 10. 9. ↑ Plutarque, Moralia, 234 C 41. 10. ↑ Plutarque, Vie de Lycurgue, 27, 3. 11. ↑ Voir notamment Tyrtée, frag. 11 W, 11-14 et Xénophon, Constitution des Lacédémoniens, XI, 1. 12. ↑ Xénophon, Constitution des Lacédémoniens, XIII, 5. 13. ↑ Platon, Lois, II, 666e. 14. ↑ Finley, p. 143-160 ; suivi notamment par Ducat, p. 45-47. Références

(Bibliothèque nationale de France, Gallica - mode image, format PDF) Publications anciennes Asse, Eugène. L'Académie française, Paris, F. Didot, [ca 1890], 251 p. (Bibliothèque nationale de France, Gallica - mode image, format PDF) Tastet, Tyrtée. Histoire des quarante fauteuils de l'Académie française depuis la fondation jusqu'à nos jours, 1635-1855, Paris, Lacroix-Comon, 1855 (Bibliothèque nationale de France, Gallica - mode image, format PDF) : Tome premier (VII-411 p.) Tome deuxième (524

de doutes ni s’arrêter à l’apparence des cités plutôt qu’à leur puissance. »En ce qui concerne les sources littéraires, Sparte n’est guère mieux lotie. Les sources vraiment spartiates sont rares et limitées dans le temps. Il s’agit de deux poètes, Tyrtée (Athénien installé à demeure à Sparte) et Alcman (VIIème S av. J.-C.), sur lesquels nous reviendrons dans la séance consacrée à Sparte et les arts. Les autres témoignages nous viennent d’historiens comme Hérodote (qui était originaire d’Halicarnasse

caractéristiques sociologiques qui fondent l'identité grecque à travers ses symboles et ses valeurs, comme l'atteste leur conception de la « belle mort ». Jean-Pierre Vernant n'hésite pas à puiser dans les récits mythiques et les auteurs anciens comme Tyrtée pour illustrer ses propos. Les travaux antérieurs de certains de ses collègues viennent, par ailleurs, consolider son travail de réflexion. Cet essais nous livre une approche pluridisciplinaire de la pensée grecque de l'antiquité et permet ainsi de

qu'il n'aura pas vu le jour; mais le mot une fois parti ne revient plus. [391-407] Mais, si nous avons des dons, ne rougissons pas d'écrire des vers : quelle plus belle mission que celle du poète ? Avec les Orphée, les Amphion, les Homère, les Tyrtée, la poésie a civilisé l'humanité. [391] Les hommes vivaient dans les bois, lorsqu'un poète sacré, interprète des dieux, les dégoûta du sang et d'une répugnante nourriture : c'était Orphée; de là, cette légende, qu'il charmait les tigres et les