Turcs

contre la guerre et ses conséquences.En effet la guerre n’est jamais évoquée comme elle devrait l'ètre. Seul le premier hémistiche du  premier vers de la première strophe nous fait comprendre qu’une  terrible bataille a eu lieu. L'ellipse « les Turcs ont passé là » induit une impression d'imagination qui pousse le lecteur à deviner le  pire. Le lecteur comprend encore mieux par la suite grâce aux oppositions plus ou moins suggérées avec une Nature parfaite : « ruine et deuil  », s’opposant

monasteries européens et apportées par des émigrés bizantins. Des textes comme ceux du philosophe Platon ou les discours de Cicéron réapparaissent. La rencontre des humanistes avec les érudits bizantins, qui fuient Constantinople conquise par les Turcs, va accroitre chez les humanistes leur gout pour l’Antiquite Grecque, c’est l’hellénisme Erudits = ceux qui possèdent un savoir approfondi L’hellénisme= Les humanistes sont à la quete de la pureté des langues anciennes Le langage distingue l’homme

ravagée. II) L’Enfant marqué par la guerre. III) Un poète engagé. Introduction : Entre 18212 et 1830, la Grèce est en guerre contre l’Empire Ottoman pour conquérir son indépendance. Le massacre des habitants de l’île de Chios perpétré par les Turcs en 1822 constitue l’un des épisodes tragiques. Dans son poème « L’Enfant » Victor Hugo prend partit des grecs et ils mettent en scène un enfant qui se retrouve au milieu des ruines. Dans son poème Hugo mêle lyrisme et dénonciation comme dans tous les

qui forme, au dix-huitième siècle, le point de vue sur l’Orient, l’Islam et les turcs. Il assure la possibilité de faire connaître l’Orient. L’Orientalisme est sous un voile de l’ignorance. En occident, on pense que l’Orient est sous les préjugés, les injustices et les méchancetés. Dans son seul roman « Candide », on trouve á la fois l’image de l’Islam et du turc et l’Orient. Pour Voltaire, les turcs sont un peuple poli qui fait le commerce des esclaves, qui exécute les têtes de

byzantines. A l’est, ce sont les Turcs seldjoukides qui ont écrasé les Byzantins à Manzikert en 1071. 2) Une résistance difficile devant l’islam. Cf. carte T4 & T5 + carte 6 (col. Magnard). L’islam est ici celui des Seldjoukides, venus du Turkestan, installés à Damas depuis 1055. Après Manzikert, ils s’emparent des 2/3 de l’Asie mineure où ils fondent le sultanat de Roum (1087-1309). (cf. carte p. 73). Dès 1090, pour lutter contre les Turcs, le basileus Alexis Comnène

pêche, puis ramener au rivage. Ici l'attendent des soldats turcs et la femme qui l'a dénoncé. Marko fait le mort, maîtrisant parfaitement ses réactions et sa respiration. Cependant, la femme n'est pas dupe : elle demande qu'on le torture car elle sait qu'il n'est pas mort. La femme demande donc aux soldats de crucifier l'homme. Ceux ci s'executent et clouent les mains et les pieds du serbe. Cependant Marko ne bouge pas. Les Turcs demandent pardon à Allah d'avoir crucifié un mort. Mais la femme

combat. Le général refusant, Vlad le transperce sur le champ. Contre les turcs : Vlad attaque les turcs sur le Danube et fait plus de 30 000 morts ce qui provoque la colère du sultan. Lorsque le sultan arrive à Târgoviste il voit sur des centaines de pals, les corps de tous les prisonniers turcs. Cette terrifiante scène fut appelé « la fôret des pals » Le sultan décide de laisser « Radu cel Frumos », candidat des Turcs au trône de Valachie, pour attaquer Vlad Tepes. Vlad et sa femme essayent de

les entreprises peuvent baisser leurs coûts de production en se délocalisant. Ce seraient alors les travailleurs des pays européens fondateurs (France, Allemagne, Espagne…) qui se verraient dépossédés de leurs emplois aux profits des travailleurs turcs. La Turquie serait-elle cependant réellement un fardeau pour l’Union Européenne, ou ne lui serait-elle pas au contraire grandement bénéfique ? Comme J.Chirac l’affirmait en 2005 : "La Turquie représente un énorme marché et un pays puissant économiquement

Assaut arabe contre Constantinople - 827 - Perte de la Crête - 829 - Perte de la Sicile, conquise par les Arabes. 1054 - Schisme d’Orient. - 1071 - Défaite romaine à Manziker - Arrivée en masse des Turcs provenant de l’empire des Tujue en Asie centrale - 1101 - Déshellénisation de l’Anatolie par les Turcs Saljuqides - 1182 - Massacre des Latins à Constantinople - 1204 - Prise de Constantinople par les Croisés - L’empire byzantin devient l’Empire latin de Constantinople - En 1243, les Saljuqides sont

LA BALKANISATION, LE RISQUE BALKAN Le terme « Balkan » À l'origine, le terme de « Balkans » ne désignait qu'une montagne de l'actuelle Bulgarie, la Stara Planina, que les Turcs appelaient le Kodza Balkan. Le géographe allemand Johann August Zeune fut le premier, en 1808, à employer l'expression de « péninsule balkanique » (Balkanhalbinsel) pour désigner l'ensemble des possessions ottomanes en Europe. Le mot rentre finalement de façon durable dans le vocabulaire politique après l’adoption des