Tuilerie

Boisrobert,Claude de L'Estoile, Jean Rotrou et Guillaume Colletet les pièces dites «des cinq auteurs», à la demande du cardinal qui en a imaginé les canevas: L'Aveugle de Smyrne et La Comédie des Tuileries sont jouées devant le roi et la cour. Mais, ayant modifié le troisième acte de La Comédie des Tuileries, il mécontente Richelieu, ce qui pousse Corneille de la Société des cinq auteurs. La consécration comme auteur de tragédies (1637-1651)Le Cid est une pièce de théâtre (tragi-comédie) en vers

La Fayette qui réussit à convaincre le roi de quitter le château de Versailles. Il lui conseille d’aller plutôt s’installer au palais des Tuileries, au centre de Paris. En habitant au cœur de la capitale, le roi pourrait peut-être mieux dissiper la méfiance du peuple à son égard. Le 6 octobre, le roi quitte donc Versailles et s’installe au palais des Tuileries. L’Assemblée constituante le suit. Le gouvernement de France se trouve ainsi à la merci du peuple parisien. Le château de Versailles 1790

le roi commet l’irréparable. Dans la nuit du 20 au 21 juin 1791, Louis XVI et sa famille tentent de fuir la capitale. Mais le convoi est arrêté à Varennes et le roi est placé "sous surveillance du peuple" au palais des Tuileries. "L'individu royal ne peut plus être roi", déclare  Danton  au Club des Cordeliers qui réclame la République et la déchéance du roi. La pétition recueille 6 000 signatures. Après sa tentative de fuite à Varennes, le roi perd

défendre la capitale contre les ennemis intérieurs et extérieurs. Veto du roi, sauf pour la dissolution de sa garde ; il renvoie ses ministres girondins. Conséquence : la Journée du 20 juin, mobilisation des sans-culottes. La foule se rend en masse aux Tuileries ; le roi refuse de lever son veto. Mais grand retentissement de cette journée, et de province des pétitions arrivent pour demander la déchéance du roi. Enfin, le danger extérieur précipite la fin : en juillet, avance rapide des Prussiens sur le territoire

alors de construire à la place un nouveau Louvre qui sera des appartements royaux. Plus tard, on construit en pleine campagne en face du Louvre, le château des Tuileries. En 1870, les travaux de rattachement de Louvre et du château des Tuileries sont finis. Mais à cette date, la guerre franco-prussienne fait rage et le château des Tuileries est brûlé. B. Réforme Renaissance= Retour aux textes  Bible Société & Eglise. Les gens veulent renouveler l’Eglise en retournant en arrière. Réforme

permanente en 1930. Bien que l'essentiel de sa production soit fait à Paris, Giacometti retourne régulièrement en Suisse où il travaille dans les ateliers de son père, à Stampa et Maloja. En 1927, Giacometti expose ses premières œuvres au Salon des Tuileries (Femme cuillère, 1927). Anglais : Alberto was born in 1901 in the canton of Grisons, the eldest of four children. His father, Giovanni Giacometti, himself a painter, led him to an interest in art. He painted his first works in the family home

XVI : * la fuite à Varennes du 21 juin 1791 où la famille royale tenta de rejoindre l'étranger pour revenir en France à la tête d'une armée d'émigrés aristocrates et royalistes( dans la nuit du 20 au 21 juin 1791, la famille royale quitte les Tuileries, le roi veut rejoindre les troupes autrichiennes puis marcher sur Paris pour rétablir son pouvoir absolu. Mais il est reconnu à Varennes et reconduit à Paris. Cette tentative de fuite lui fait perdre la confiance du peuple.) * l'utilisation de

(diapo7) A-L’analyse visuelle. Le site : (diapo 8) Jusqu’au dernier quart du 17ème siècle, l’avenue des Champs-Elysées est un lieu marginal, hors des limites de la ville édifiée par Charles 9 et Louis 12. Compris entre le jardin des Tuileries et le village de Neuilly, il est recouvert de marais, de champs et de bois, encerclant la colline de Chaillot où s’élève aujourd’hui l’Arc de Triomphe. Il n’existe alors que quelques centres d’habitation et la fréquentation de ce lieu est sordide

personnages, celui de Hussonnet en particulier, renforce cette impression que le peuple ne fait que céder à une impulsion destructrice, qu’elle ne défend pas d’idée mais se contente de saccager et d’avilir tout ce qu’il trouve de beau dans le palais des Tuileries. Il en parle avec dédain (« « Les héros ne sentent pas bon ! » » l. 12) et le critique de manière ironique (« « Voilà le peuple souverain ! » » l. 18). A travers le personnage du « prolétaire à barbe noire », le peuple est même ridiculisé et présenté

nous voyons qu’il utilise une comparaison entre la réaction des parisiens et tous les endroits de Paris pour conter son histoire. En effet, il dit clairement que « Si [il] sortai[t], tout le monde se mettait aux fenêtres ; si [il] étai[t] aux Tuileries, [il] voyai[t] aussitôt un cercle se former autour de [lui] […] Si [il] étai[t] aux spectacles, [il] voyai[t] aussitôt cent lorgnettes dressées contre [sa] figure » ce qui souligne le fait que les Parisiens avaient toujours la même réaction. En troisième