Tu Croyais Tout Tranquille

d’agir ainsi, c’est du vol tout de même !!! » J’appelle l’infirmière par téléphone et lui explique « en deux mots » les faits et lui demande de venir m’aider à régler ce conflit. Voyant l’infirmière arrivée, elle tourne les talons en demandant qu’on la laisse tranquille. Avant de m’en aller je passe la main dans le dos de l’autre dame en lui promettant que maintenant ca ira. A l’époque ou j’ai du gérer ce conflit et étant peu avancée encore dans ma formation d’AMP, je croyais qu’en imposant le calme

? Oui. Bien sûr. Je n’ai pas été très surpris. Mais j’ai eu très peur... Ils se disputaient tout le temps. Depuis des années. En fait, je ne me souviens même pas d’eux en dehors des disputes. J’en avais marre. Ma sœur aussi. J’étais petit. Plus petit qu’elle. Mais, on se le disait. On se disait qu’on en avait ras-le-bol. Et elle me disait qu’elle avait envie qu’ils divorcent pour qu’on soit tranquilles. Moi, je disais comme elle, mais sans penser que cela puisse arriver. Et quand ils nous ont

s’évader, se créer des souvenirs qui le marquerait au fer rouge. Mais j’en suis incapable, même ça on m’empêche de le faire. Suis-je voué à vivre une vie dans laquelle je ne ferais que rêver d’être ailleurs ? Je me suis pendant longtemps cherché, je croyais m’être trouvé, j’ai vécu dans le mensonge, dans l’illusion du bonheur. J’ai cru être heureux pendant longtemps, l’époque ou je me contentais d’une vie sans saveur et sans couleur. J’ai pendant longtemps espéré, je me suis rassuré en me disant que

Ecriture d’invention : composez un éloge du voyage dans lequel vous mettrez en valeur ses bienfaits dans la formation d’un être humain. Ce retour en avion de plus de dix heures me permit de remémorer mon périple et de revivre ces grands instants. Tout débuta il y a trois jours, lorsque mon patron vint me voir dans mon bureau et me dit «  Lefranc, voilà un billet aller-retour pour le Japon, notre journal fait un reportage sur ce pays, prends les plus belles photos que tu puisses faire et ramène

pas trop par où commencer. »   Anna Karénine (1877), Léon Tolstoï: « Les familles heureuses se ressemblent toutes; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon." »   Aurélien (1944), Louis Aragon : « La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. »   Brooklyn Follies (2005), Paul Auster : « Je cherchais un endroit tranquille où mourir. »   Cent ans de solitude (1967), Gabriel García Márquez : « Bien des années plus tard, face au

Qu’est-ce qu’ils croient?  Je m'ennuie dans ce lieu, et tout ce que je fais, c'est me souvenir de l’horrible  qu’a été toute ma vie dé mon adolescence. Quand j’avais presque huit ans je menais une vie tranquille à cette époque et sans histoire, une vie de petite fille, mon idole tait Iron Maiden. D’après ce que j’écoutais et mon père me disait, le peuple voulait tomber du pouvoir le chah, il été un dictateur, et la révolution islamique arrive tout de suite en 1978.  Les fondamentalistes ont pris le

spleen & idéal est comme une déchirure du poète entre une aspiration vers un « Idéal » et le « Spleen », c'est-à-dire l'ennui (angoisse). Cette section montre la misère et la grandeur de l'Homme. Comme le dis Baudelaire : «  Il y a dans tout homme, à tout heure, deux postulations, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan ». On pourra remarquer que dans tous les textes sélectionnés, l'auteur évoque la femme, ce thème est souvent présent sous différentes formes dans ses œuvres. Il s'est inspiré de

Tout a commencé il y a quelque mois, je venais de trouver un travail pas très Loin d'ici et je rêvais de m'installer dans une petite maison tranquille. J'avais fait plusieurs visite dans les environs, mais aucune maison parvenais a me satisfaire Jusqu’au jour où j'ai passé le seuil d'une petite maison isolée rue des cerisiers, la maison portais le numéro 666 En y réfléchissant j'aurais dû me dire que c'était le premier indice, je me souviens avoir senti des choses Comme si je m'étouffais, des

POEMES Quand je te vois, je veux juste te prendre dans mes bras, Te serrer tout contre moi, pour sentir ton coeur qui bat. Ton regard me fait rougir et je ne cesse de sourire. Tu trouves ça mimi, quand tu le dis, mon coeur dit: « Youpi ». J'aime entendre ta voix déraillée, elle sait m'apaiser. Mais ce n'est pas ça la réalité, Juste mes pensées que je n'arrive pas à chasser, De peur de ne plus les retrouver. Si je te dis la vérité, Je perdrais notre belle amitié. Je préfère partir et

est rouge encor du baiser de la reine ; J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ; Modulant tout à tour sur la lyre d'Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée. Gérard de Nerval, Les Chimères, 1854. DOCUMENT C « Souvenir » J'espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir En osant te revoir, place à jamais sacrée, O la plus chère tombe et la plus ignorée Où dorme un souvenir ! Que redoutiez-vous donc de