Truman Capote

- capitalistes - démocrates - URSS communiste - économie centralisée - totalitaire - Pour les soviétiques: le communisme est un développement de l'histoire qui doit supplanter le capitalisme. - 1947 : - Doctrine Truman: endiguement = empêcher partout la propagation du communisme. - Doctrine Jdanov: lutte contre l'impérialisme américain. 4. !quelles sont les régions concernées au premier chef? Régions: Dimensions géopolitiques. - Europe

|l’entourage du président des EU. | |1946 |Guerre d’Indochine jusqu’en 54 | | | |1947 |Discours « doctrine Truman » en mars | | | | |Plan Marshall en juin (aide financière, matérielle) | |

100 (1950) a l’indice 270 (1970) ! 2- Tout a commencer grace a l’aide financiere offert pas les Etats-Unis pour reconstruire l’Europe apres la Seconde guerre mondiale. Ce programme, appele le plan Marshall, a ete adopte par le president Harry Truman en avril 1948. La France recevra 2815,3 millions de dollars ce qui aidera a construire des logements en masse et reconstruire les infrastructures, detruites par la guerre. A la fin du Plan Marshall ( 30 juin 1952) les pays industrialises commencent

soviétiques, arrivées les premières à Berlin, commencent à démonter des usines et à piller la zone qui leur a été attribuée alors qu’aucun accord n’a été conclu sur les réparations de guerre dues par l’Allemagne et leurs modalités de recouvrement2. Harry Truman, le nouveau président des États-Unis, Joseph Staline et Winston Churchill, remplacé en cours de conférence par le nouveau premier ministre du Royaume-Uni Clement Attlee, décident que chaque puissance occupante est libre de prélever des réparations

Comprendre le texte : Pour le président Truman, il faut nécessairement choisir entre deux modes de vie : la démocratie (le monde de la liberté), c’est à dire : La volonté de la majorité : institutions libres, gouvernement représentatif, élections libres les libertés individuelles : parole, religion, pas d’oppression politique ou bien le totalitarisme (le monde de la terreur et de l’oppression), c’est-à-dire : La volonté d’une minorité imposée par la

par le risque d'embrasement auquel la Chine a confronté un monde soudain coupé en deux blocs, par l'ampleur des moyens matériels et humains mobilisés des deux côtés, par sa durée, par les tergiversations des états-Unis dirigés à l'époque par Harry Truman... la guerre de Corée est l'un des événements paroxysmiques de la guerre froide. Elle a en même temps démontré la veulerie et l’inconsistance de certaines hautes personnalités U.S. à l'égard de ce grand visionnaire et incomparable chef de guerre

ordre du président américain Harry S. Truman, une bombe atomique est lancée sur Hiroshima. Il va de soi qu'un acte ayant fait plus de deux cent milles victimes suscite maintes réflexions et éveille les consciences. André Kaspi et Gar Alperovitz sont deux historiens qui ne partagent pas le même point de vue sur cet évènement. Voyons cela de plus prés. Kaspi André est convaincu que le bombardement d’Hiroshima était pour le mieux. Il prétend que le Président Truman n’avait pas le choix. Sur quoi ce base

Plan Marshal l [pic]Retour [pic] Résumé A partir de 1947, le plan Marshall est une arme économique utilisée par les Américains pour combattre le communisme. Il correspond au côté économique de la doctrine Truman le Containment (endiguement). L'idée est que la misère fait le lit du communisme, le plan Marshall permet donc à la fois de combattre le communisme et de convertir l'économie de guerre américaine en économie de paix. nécessaires. Par le plan Marshall les Américains entendent rallier l'Europe

l’attitude de l’URSS en 1945 par l’image d’un « rideau de fer » qui sépare l’Europe de l’Est de l’Europe de l’Ouest, dans un télégraphe envoyé a Truman. La rupture devient définitive en 1947 lorsque le président Truman décide de s’opposer à l’expansion soviétique en définissant la politique américaine du containment ou endiguement, surnommée « doctrine Truman ». Staline y répond par la « doctrine Jdanov ». Le containment consiste à faire barrage au communisme au nom de la liberté et de la démocratie

In a few months, American and Soviet diplomats were waging a battle of angry words, and by the spring of 1948, General Lucius Clay, the American military governor of Berlin, was warning that “war may come with dramatic suddenness”. President Harry Truman charged that the Soviet Union was engaged in “a ruthless course of action, seeking to extend its rule over Europe”. By 1950, the National Security Agency, America's highest authority on military and foreign policy, concluded that the world faced a