Trouble de la personnalité évitante

partie du patrimoine génétique et ne demandant pas d’apprentissage ;- Vision partagée par Platon et Descartes notamment. ‌ Empirisme :- Environnement et expériences influençant les capacités mentales et à l’origine de la personnalité ;- Soutenu par Hobbes (1588-1679), Locke (1632-1704), Hume (1711-1776), Rousseau (1712-1778).Psychologie : une discipline autonome • Naissance et développement de la psychologieexpérimentale (volonté de la scientificiser)

humain et de son environnement Sentiments Idées Comportements PLAN Le langage L’intelligence et l’apprentissage La sensation et la perception La mémoire Le sommeil Aspects psychiques de la vie sexuelle Personnalité ; définition et développement Personnalités normales Personnalités pathologiques La conduite Les aspects psychologiques de la douleur Evaluation en psychologie : les tests Le stress Les aspects psychologiques de la maladie et de l’hospitalisation Relation médecin – malade

retentit différemment sur différents processus. Les plus vulnérables semblent être :  Aspects psychomoteurs  certains processus intellectuels, et en particulier l'acquisition du langage et la facilité d'abstraction ;  divers aspects de la personnalité, tout spécialement l'aptitude à nouer et entretenir des relations interpersonnelles profondes et significatives (développement des réactions sociales), mais aussi l'aptitude à maîtriser ses impulsions au profit d'objectifs à long terme. Facteurs

sont très sensibles aux hormones du stress, par ailleurs la petite enfance étant une période de développement importante, cela peut entraîner des changements permanents dans la façon dont le cerveau se développe et ces changements occasionnent des troubles de l'apprentissage et du comportement. L’étude des cerveaux de sujets adultes ayant été exposés à un stress pendant l’enfance a permis d’identifier des altérations de l’activité corticale et de la substance blanche, notamment dans le cortex préfrontal

survenue de troubles psychopathologiques à l’adolescence. L’insécurité des relations d’attachement n’est pas un trouble en soi mais elle s’accompagne d’une mauvaise image de soi, d’une incertitude quant à la capacité d’être aimé (lovability), de sentiments de peur et/ou de colère vis-àvis des parents, dont l’intensité peut déborder l’adolescent. Le sujet risque alors d’avoir recours à des stratégies défensives, qui le rendent plus vulnérable à la souffrance psychologique et aux troubles du comportement

Les névroses sont des affections psychiatriques. Ils sont caractérisés par : - Absence de cause organique à l’origine du trouble - Le malade névrotique est conscient de son trouble est le considère comme anormale - Absence de délire et hallucination avec absence de perte de contact avec la réalité - Les facteurs psychologiques jouent un rôle majeur dans l’origine du trouble (conflit intrapsychique, facteurs émotionnel). II. Les symptômes névrotiques La symptomatologie névrotique est variée

Maniement des pronoms personnels, du nombre, du genre, de comparatifsDÉVELOPPEMENT MOTEUR· Automatisme primaire / réflexes archaïques : problématiques s’ils ne sont pas présents mais normal qu’ils disparaissent avec le temps · Absence = retard / trouble de développement (ex : 10 mois à 1 ans, ne marche pas) · Développement postural : maintien tête, position assise, debout, etc· Préhension : motricité plus fine · Cf tableau de Irène LEZINE => 0-2 ans, développement critique de l’enfant

la mère). C'est le psychiatre britannique John Bowlby qui, dans les années 1940, a créé ce concept. Observant les enfants placés dans des orphelinats, Bowlby se rend compte que l'attachement est un aspect crucial du développement de la personnalité de l'enfant et détermine la façon dont il interagit avec autrui. Sa théorie emprunte des éléments de l'éthologie, de la psychologie cognitive, de la théorie des systèmes de régulation et de la théorie des relations d'objet. Ces concepts multidisciplinaires

bouleversements physiques et psychologiques et se manifeste par une révolte, une opposition parfois violente aux modèles parentaux, scolaires, institutionnels. Il s'agit de la crise d'adolescence "normale". Elle est utile dans la structuration de la personnalité et nécessaire pour le passage au stade adulte. Elle demande que les adultes soient présents pour aider, écouter, guider mais aussi limiter et manifester leur amour. Lorsque cette crise se déroule mal on parle de crise d'adolescence "pathologique"

(jeunes adultes de 17/ 20 ans -amendement CRETON-) L’institut prend en charge des personnes dites « déficientes intellectuelles avec troubles associés et avec TED »(Troubles Envahissants du Développement).Leurs difficultés sont liées à des problématiques dépassant le cadre scolaire. Ces enfants souffrent de carences affective, éducative et sociale ou de personnalité abandonnique. Leur comportement révèle une hyperactivité, des difficultés à s’exprimer, à communiquer et manifestations d’angoisses et