Trois Grands Coups

de l’œuvre Vipère au poing est un roman écrit par Hervé BAZIN et publié en 1948. C’est un roman autobiographique classé parmi les romans les plus lus du XXème siècle. L'auteur y transpose certains éléments de sa propre enfance : élevé par sa grand-mère dans la propriété familiale en Anjou, il retrouve, adolescent, son père entomologiste et sa mère, de retour après un long séjour en Indochine. Sa vie tourne alors au drame, notamment à cause de sa mère, que ses frères et lui surnomment « Folcoche

alors pas du tout.             B. Alceste, ou la tentation racinienne :      Alceste est jeune, Alceste est beau, Alceste est aimé de trois femmes à la fois (Arsinoé, Eliante, Célimène), mais Alceste souffre du complexe de Sarah Bernhardt, la grande tragédienne, qui n’aimait pas les femmes : il clame sur le registre tragique, tout à sa fureur, comme la grande Phèdre, persuadé de l’infidélité de sa maîtresse : « Ah ! tout est ruiné : / Je suis, je suis trahi, je suis assassiné » (IV,2, v.1227-1228)

rencontre celle qui deviendra son épouse et qu’il évoque dans son livre : Gilberte Serfaty. Il devient directeur d’Alger Républicain en 1951 et le demeure jusqu’en 1957, année de son arrestation par la 10ème DP au domicile de Maurice Audin, autre grande figure des Français qui ont lutté pour l’indépendance de l’Algérie et bien qu’il fût dans la clandestinité depuis 1955, date de l’interdiction du journal en Algérie. Dans le regroupement d’extrait que nous allons analyser, Henri Alleg raconte certes

Introduction Au cours des dernières années, les trois quarts des gouvernements ont eu recours à la torture. Dans les postes de police et les prisons, dans les rues des grandes villes et dans les villages les plus reculés, les tortionnaires continuent de mener leur œuvre de destruction. Certaines de leurs victimes meurent après de terribles souffrances ; et pour celles qui survivent, rien ne sera plus jamais pareil. Si certaines cicatrices finissent par disparaître, le corps et l’esprit n’en restent

sans structure: “le sol était poreux et friable”, “l’écorce spongieuse”, “des arbres malingres” En présentant un monde mort et immobile Contraste avec la vivacité du monde du début du récit En présentant un monde sans son, pas de bruit à part les coups des poignées sur le cercueil de Chloé. : «les poignées de la boite noire sonnaient contre les parois. ». La Nature est en deuil elle aussi : « on n’entendait pas d’animaux ». Un fort lyrisme à travers le Nature qui se tait face au désespoir des personnages

XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l’évolution de cette relation dans la comédie, de l’Antiquité au XXe siècle. Conseils de méthode pour la question - Lisez attentivement la question (en relevant les mots-clés et en réfléchissant à la réponse attendue) puis lisez attentivement les trois textes en y relevant les éléments qui vont vous permettre de répondre

poitrine pour éviter les fractures des côtes; des jambières protégeaient leurs mollets et leurs cuisses, et un casque leur tête. Ils dirigeaient les chevaux en enroulant les rênes autour de leur poitrine. Le moindre choc pouvait leur être fatal: à grande vitesse, le char pouvait se renverser, les roues se briser, les rênes s'entremêler. S'il le pouvait, il coupait les liens de cuir qui l'attachaient à son attelage grâce au couteau à lame recourbée qu'il portait à la ceinture. En cas d'échec, son corps

détail. 1. Une vue générale : « trois doubles voies qui sortaient du pont », « éventail (…) branches de métal », « effacement confus des wagons et des machines ».  une peinture d’atmosphère : le gris est la couleur dominante avec les voies, le pont, le ciel et le jour pâle.  la gare est un univers démesuré : « cette tranchée large trouant le quartier… ». 2. Vers le particulier : le train. « La machine de manœuvre »,  « une machine-express », « le train de trois heures vingt-cinq », « sa machine »

avait garde le contrôle et qui était pour lui sa plus grandes victoires. D : Mots clés: En lisant cet ouvrage certains mots clefs ont été identifiés Le mot violence: Dans ce livre le mot violence regroupe toutes les formes de violences physiques et morales que l’auteur fait subir a sa compagne ainsi que les humiliations qui lui inflige. Le mot monstre: Le monstre désigne la colère, les coups, l’impuissance de Frédéric d’arrêter ses coups Le mot rédemption: Ce mot n’a été évoqué qu’ une fois

Pendant une soirée de jeu, cinq jeunes hommes discutent du mystérieux pouvoir que détiendrait la comtesse Anna Fédotovna, grand-mère de l'un d'entre eux, Paul Tomski. Cette femme connaîtrait une combinaison de trois cartes qui gagnerait à tous les coups au jeu de pharaon. Fasciné par les perspectives de richesse que pourrait lui amener ce pouvoir, Hermann, jeune officier du génie, séduit Lisabeta Ivanovna, demoiselle de compagnie de la comtesse (et vieille fille), afin de pouvoir lui soustraire