Triomphe De La Globalisation Des Annees 80

Pierre Jacquet, Jean Pisani-Ferry et Laurence Tubiana Commentaires Christian de Boissieu et Élie Cohen Contributions Michel Aglietta, Patrick Allard, François Bénaroya, Thomas Boisson, Dominique Bureau, Christian Chavagneux, Marie-Claire Daveu, Marie-Anne Frison-Roche, Sylviane Gastaldo, Bernard Grelon, Patrick Guillaumont, Sylviane Guillaumont-Jeanneney, Zaki Laïdi, Pascal Lamy, Marie-Laure Mchanetzki, Jan Aart Scholte, Jean-Michel Severino, Jérôme Sgard, Jean Tirole, Laurence Tubiana, Charles Wyplosz

Apple L’innovation comme stratégie TPE_1ère ES1 Anne-Lou, Camilla & Camille 2008 1/40 Sommaire INTRODUCTION 1ÈRE PARTIE : UNE HISTOIRE INSOLITE 1.1. Bref rappel historique 1.2. Les démêlés judiciaires 2 6 7 11 2ÈME PARTIE : DIVERSIFICATION & RENOUVEAU 2.1 Un retour gagnant : L’iMac secteurs 2.2 La conquête de nouveaux secteurs 2.3 Chiffres clés 14 15 17 21 INNOVANT 3ÈME PARTIE : UN MARKETING INNOVANT 3.1. iMage de marque 3.2. Culture d’entreprise 3.3 « MacMania »

impôts et cotisations sociales) effectués sur les agents économiques par les pouvoirs publics qui composent les recettes et financent les dépenses publiques. 1.3.3 Les redistributions verticale et horizontale A partir des années 30 et plus encore dans le courant des années 50 avec le développement de l’Etat-providence, les pouvoirs publics ont pris en charge la redistribution des revenus des agents économiques par une politique sociale ambitieuse. La redistribution horizontale, dans une logique

l’entrepreneur). Chapitre 2 : Le capitalisme est-il soluble dans le marché ? La question des liens entre capitalisme et économie de marché est légitime, et ne pas identifier l’un à l’autre permet de séparer leur fonctionnement propre. Et si le triomphe de l’économie de marché généralisée peut occulter cette distinction, elle permet de comprendre le capitalisme historique, dans ses formes et ses dynamiques multiples. 1/ Le capitalisme : une « économie de marché » ? Une assimilation des deux

exceptionnelle qualifiée par l’économiste Jean Fourastié de « Trent Glorieuses ». - De fortes variations dans le temps et dans l’espace : - phases de crises (Grande dépression de 1873 à 1896, crise de 1929) ; - crises survenues depuis le milieu des années 1970 (1er choc pétrolier de 1973, crise des subprimes en 2007). Les économies-monde successives (britannique, américaine, multipolaire) - La mondialisation, qui a des racines lointaines, est un processus d’extension progressive des échanges (biens

1 Proposé par R.Boudon, s’inspirant lui-même de J.Piaget dans « les limites des schémas déterministes dans l’explication sociologique », in G.Busino ( Ed ), les sciences sociales avec et après J.Piaget. Hommage publié à l’occasion du 80 anniversaire de J.Piaget, Genève, Droz, 1976 p417-435 ; 2 Ibid 3 R.Boudon, art.cité 4 Max Weber, l’éthique protestante est l’esprit du capitalisme, Paris, Plon, 1964, p.334 sans limite ni relâche. Il suppose l'organisation rationnelle du travail et

sont deux modèles de conception de l'opinion publique très différentes mais en même temps elles sont toute les deux traversé par la tension entre élitiste et liberté. Dans le cas du modèle archaïque, l'idée est que tôt ou tard la démocratie va triompher mais pour y arriver on a besoin d'homme éclairés aliés au pouvoir, qui vont transformer le peuple. Cette tension se retrouve aussi dans le modèle moderne, mais dans ce cas le peuple doit se former lui même. Dans ces deux modèles il y a bien une conception

phase qui s’est imposée dès les années 50, a vu l’émergence d’un mode contrôle étroitement inspirée d’une vision taylorienne de l’organsiation du travail, contrôle qui suppose concrètement que le travailleur est maintenu dans le rôle de simple exécutant. Celui du contrôle de la qualité qui consiste à mesurer, examiner, essayer ou passer au crible les caractéristiques - L’assurance qualité : cette phase débute timidement dans les années 60 et culmine des années 80 grâce aux facteurs qui ont marqué

phase qui s’est imposée dès les années 50, a vu l’émergence d’un mode contrôle étroitement inspirée d’une vision taylorienne de l’organsiation du travail, contrôle qui suppose concrètement que le travailleur est maintenu dans le rôle de simple exécutant. Celui du contrôle de la qualité qui consiste à mesurer, examiner, essayer ou passer au crible les caractéristiques - L’assurance qualité : cette phase débute timidement dans les années 60 et culmine des années 80 grâce aux facteurs qui ont marqué

soviétique. Donc action unilatérale dans un cadre collectif pour légitimer leur action. C- Transnationalisation Approfondissement pour inclure d’autres acteurs que les Etats. Un niveau en dessous des Etats mais qui traversent les frontières. Globalisation : économique et technologique hétérogénéité culturelle hétérogénéité politique Titre 1 : L’Etat comme acteur des relations internationales. I- La permanence du rôle de l’Etat dans les relations internationales. La première idée est que l’Etat