Triade Puissance Financière

La Mégapole japonaise ou le Tokaido, symbole de la puissance japonaise Quelques Aspects généraux de la mégalopole japonaise 1 - La Mégapole japonaise, un vieux foyer urbain   A) Une grande inégale répartition de la population  « au bénéfice » d’une concentration urbaine • 127 millions d’hab . pour 337 800 kms2 === une densité moyenne de 336 hab./kms2 … mais 1/5 du pays réellement occupé = 80 millions d’hab. sur 3 % du territoire • vieux foyer de peuplement, l’un

monde tremblera ». Dutronc Jacques chantait en 1966 « 700 000 chinois et moi et moi et moi ». La Chine a longtemps gardé cette image d'une puissance en sommeil, un peu à part mais inquiétante. Il est vrai que le contraste est saisissant entre une Chine aujourd'hui éveillée, centre d'impulsion du monde actuel et la Chine du début du 20ème dominée par les puissances étrangère. L'émergence contemporaine de la Chine s'inscrit donc dans un temps long ( 1 siècle ). Mais ce n'est pas une histoire continue

. De plus les flux matériels sont largement dépassés par les flux immatériels (information, capitaux … : espace unique à l’échelle mondiale avec des interconnections des places boursière mondiales. Le monde connait un nouveau type de crise : financière surtout ( ex : krach boursier en 1987 et la crise des subprimes à partir de 2007. ͢ Actuellement la plupart des pays du monde ont conscience qu’il faut mettre en place un développement durable (croissance + respect environnement). II/ Les

et la montrée en puissance des pays émergents ainsi que leur affirmations en tant que concurrents économiques rendent progressivement caduc le G7 né en 1976. De nouvelles revendications concernant la gouvernance mondiale se font entendre, justifiant par exemple le passage du G7 au G20, et aujourd’hui, le G20 comprend les pays les plus riches de la planète et les pays émergents. Ces derniers sont désormais des acteurs à part entière dans la mondialisation économique et financière, ils ne peuvent être

grands négociants hollandais, anglais ou italiens ont toujours procédé de la sorte. TOUFIK-Saïd_IGA_2013-2014 « suite » Les Firmes multinationales (FMN) Progressivement, les opérations de placements se développent dans les places financières de Londres et d’Amsterdam.  L’extension du commerce colonial ouvre l’ère des investissements hors d’Europe, avec l’apparition des Compagnies coloniales.  TOUFIK-Saïd_IGA_2013-2014 « suite » Les Firmes multinationales (FMN) 

en cause de l'ordre économique mondial, notamment à partir de la fin des années 70 et notamment de la montée en puissance du Tiers Monde. On peut donc se demander en quoi cette mondialisation a modifié l'ordre mondial du point de vue économique. Pour répondre à cette question, il conviendra donc d'étudier successivement l'évolution du commerce mondiale , puis la globalisation financière pour voir dans un dernier temps comment cela a-t-il modifié l'ordre économique internationale.   Tout d'abord

issue de la révolution industrielle du XIXème siècle et du début du XXème siècle, marqué par la mise en place d’un système économique industriel et capitaliste international. La troisième, qui nous intéresse ici, est la mondialisation libérale et financière qui commence à se déployer à partir des années 1960 pour s’élargir à l’ensemble du globe à la fin des années 1980. Cette phase de la mondialisation est portée par une révolution de la production et des échanges, des transports et par la création

transports et des NTIC (qu'il faut ici résumer dans ses aspects essentiels : déplacements plus rapides, baisse des coûts, augmentation de la capacité de transport, instantanéité des communications et diffusion en temps réel des crises économiques et financières) = rétrécissement des territoires et contraction de l'espace-temps. La croissance du commerce est 2 fois plus rapide que celle de la production. Evoquer les différents flux matériels (80% des échanges) en les résumant : Produits bruts (30%

Sud, preuve de la puissance des recompositions spatiales issues des processus de mondialisation. II. Processus de la mondialisation : la division internationale du travail 1. La construction d’un système-monde Le monde du début du xxie siècle peut s’analyser comme un système de domination de certains espaces par d’autres. Les pays les plus développés continuent de détenir la plus grande partie de la puissance économique, technologique et financière. Les pays de la Triade, en particulier

la résultante du jeu des différents acteurs : des acteurs nationaux, internationaux ou transnationaux (États, organisations internationales, multinationales) ; des acteurs légaux ou illégaux (firmes, filières, diasporas, mafias…). Cadres de la puissance, les États participent au processus de mondialisation par la conclusion d’accords multilatéraux, ou bilatéraux, portant sur des domaines politiques, économiques ou culturels. Aux organisations internationales mises en place au lendemain de la Seconde