Traditionalisme

que peut prendre tout mouvement qui, en voulant remonter aux sources de la tradition, peut aboutir à un procès des déviations historiques et, par la suite, aspirer à refonder le système social et politique. Alors que le réformisme religieux (traditionalisme) se limite au champ du religieux, le radicalisme s'oppose, quant à lui, à tout l'environnement social qu'il juge déformé. L'intégrisme vise à réintégrer le religieux dans toute la vie politique et sociale pour lutter contre les dysfonctionnements

sociale caractéristique : commandement-obéissance » (p. 44). D’où il résulte d’emblée que les sociétés où ne s’observe pas cette relation essentielle sont des sociétés sans pouvoir. On y reviendra. Ce qu’il convient de relever d’abord, c’est le traditionalisme de cette conception qui exprime assez fidèlement l’esprit de la recherche ethnologique : à savoir la certitude jamais mise en doute que le pouvoir politique se donne seulement en une relation qui se résout, en définitive, en un rapport de coercition

constituait l’un des enjeux majeurs de la nouvelle réforme qu’elle voulait insuffler au journal au lendemain de sa nomination au poste de directrice en juin 1990. Au-delà des traditionnels clivages qui se plaisent à opposer bêtement le modernisme au traditionalisme, elle se devait d’inscrire le quotidien dans la foulée du high-tech et ce, précisément afin de lui redonner les moyens de sortir de sa profonde léthargie dans laquelle il semblait s’encroûter chaque jour davantage depuis déjà bon nombre d’années

image faite de stéréotypes rassemblant des symboles, des aspects négatifs et des obstacles : Les symboles : la reine, le breakfast, Londres, la musique moderne et la mode anglaise ; Les aspects négatifs : gastronomie, climat, isolationnisme, traditionalisme, horaires des magasins, conduite à gauche. Les obstacles : la traversée de la manche, les finances, la langue, le climat, la conduite à gauche. Pour une entreprise, créer une image de marque, c’est "fournir les caractéristiques d’un établissement

d‟un premier séjour à la Guadeloupe en 1963. 56) Le colonialisme – le plus redoutable, celui qui ne pardonne pas – c‟est nous qui le portons, entre cuir et os, comme un virus têtu dont le nom va changeant au gré de nos intérêts : réalisme, traditionalisme, tribalisme, népotisme. Pour tout dire en un mot : arrivisme. Telle est la leçon que ces récits enseignent. Récits brefs et bravement menés qui, mieux que la fiction romanesque, permettent à l‟auteur de braquer le projecteur de l‟analyse sur

yeomen – mécanisation – latifundia – braccianti – servage – moujiks – spécialisation – protectionnisme – surproduction Monarchies absolutistes et autoritaires – Junkers – agrégation à la bourgeoisie. Désenclavement – normes – conservatisme – traditionalisme – idéalisation. 2. L’effacement des élites rurales 3. Un monde rural et conservateur C – Une nouvelle élite, la bourgeoisie 1. Ascension et enracinement des nouvelles dynasties industrielles 2. La diversité des bourgeoisies Entrepreneurs

yeomen – mécanisation – latifundia – braccianti – servage – moujiks – spécialisation – protectionnisme – surproduction Monarchies absolutistes et autoritaires – Junkers – agrégation à la bourgeoisie. Désenclavement – normes – conservatisme – traditionalisme – idéalisation. 2. L’effacement des élites rurales 3. Un monde rural et conservateur C – Une nouvelle élite, la bourgeoisie 1. Ascension et enracinement des nouvelles dynasties industrielles 2. La diversité des bourgeoisies Entrepreneurs

secteurs agricole et artisanal. • Chômage et sous-emploi global / Manque de main d’œuvre pour certains travaux (surtout agricoles). • Manque de cadres Sous utilisation des cadres nationaux /exodes des« cerveaux » • Poids des traditionalismes, des particularismes Culte de l’argent,/« occidentalisation » du mode de vie,…�� effondrement des valeurs traditionnelles • Inégalités profondes entre les sexes (femmes souvent en condition précaire) Pouvoir économique considérable des

mais il n’en demeure pas moins qu’elle présente la postmodernité sous un aspect peu crédible voire ironique. Or la postmodernité est une critique fondamentale de la modernité qui a pris des formes diverses. Que l’on pense aux diverses figures du traditionalisme, du romantisme, du nietzscheisme, de l’heideggerianisme. Et d’un point de vue socio-politique, on peut dire que les deux grandes cibles des critiques de la modernité furent l’hegelianomarxisme et le pensée individualiste-libérale. Ce qui unit

ruptures majeures sur près d’un siècle et non d’examiner le détail de la conjoncture. En privilégiant le cas français, on étudie les courants qui tentent d’analyser la société industrielle pour l’organiser ou lui résister (libéralisme, socialisme, traditionalisme, syndicalisme). On présente les modifications des pratiques religieuses et culturelles et les principaux mouvements artistiques et littéraires de la période, en Europe et Amérique du Nord. On s’interroge sur les causes de l’expansion européenne