Tout ce qui brille

l'apèro du vendredi ( je n'avais jamais vu ça ),les repas et toutes les occasions étaient bonnes ( repas de début et fin de campagne, anniversaire, Noêl, arrivées des nouveaux, mutation, promotion et j'en oublie très certainement ). Beaucoup de grands moments, des fous rires que je n'oublierai ( la garbure ou le chef dansant avec sa cravate sur la tête...) Mais Le mirail c'est aussi, le village gaulois au sein de la DSF qui a su briller maintes fois par ses particularitès de mener des forts mouvements

penche sur l’admission de la différence dans la langue et les coutumes bien sûr, et de manière générale apparaît dans cette relation une véritable difficulté à entrer dans l’univers culturel de l’autre, malgré toute la bonne volonté à vouloir franchir tout sentiment de rejet de l’un par rapport à l’autre. La « cohabitation» de deux littératures : Aujourd’hui nous abordons la question culturelle et littéraire autour de deux mondes : l’Orient et l’occident. Une flopée de questionnements, de préoccupations

La cigale La cigale ayant chanté Tout l’été, Dans maints casinos, maintes boîtes Se trouva fort bien pourvue 5 Quand la bise fut venue. Elle en avait à gauche, elle en avait à droite, Dans plusieurs établissements. Restait à assurer un fécond placement. Elle alla trouver un renard, 10 Spécialisé dans les prêts hypothécaires Qui, la voyant entrer l’oeil noyé sous le fard, Tout enfantine et minaudière, Crut qu’il tenait la bonne affaire. « Madame, lui dit- il, j’ai le

. .] A former les esprits comme à former les corps, La nature en tout temps fait les mêmes efforts, Son être est immuable, et cette force aisée Dont elle produit tout, ne s'est point épuisée: Jamais l'astre du jour qu'aujourd'hui nous voyons, N'eut le front couronné de plus brillants rayons, Jamais dans le printemps les roses empourprées D'un plus vif incarnat ne furent colorées: Non moins blanc qu'autrefois brille dans nos jardins L'éblouissant émail des lis et des jasmins, Et dans

1) Ce portrait de Philémon se divise en trois séquences. Tout d'abord, un dialogue entre deux personnages est présenté de la ligne 1 à la ligne 12. L'un est admirateur de Philémon et l'autre, au contraire, ne semble pas convaincu de sa grandeur. Ensuite, l'auteur s'adresse directement à Philemon de la ligne 13 à la ligne 16. Enfin La Bruyère exprime une réflexion générale non plus sur Philémon mais sur tous les autres hommes qui possèdent son défaut : le désir d'étaler ses richesses. Ces trois

sur les monts, sur les campagnes blondes, Et sur les flots confus pleins de rumeurs profondes, Le soir silencieux ! Les nuages rampaient le long des promontoires ; Mon âme, où se mêlaient ces ombres et ces gloires, Sentait confusément De tout cet océan, de toute cette terre, Sortir sous l'oeil de Dieu je ne sais quoi d'austère, D'auguste et de charmant ! J'avais à mes côtés ma fille bien-aimée. La nuit se répandait ainsi qu'une fumée. Rêveur, ô Jéhovah, Je regardais en moi, les

| |• 5     Enlever le poulet de la cocotte, incorporer par petite quantité le beurre manié dans le jus bouillonnant en remuant, il va | |lier, faire briller et exhauster les saveurs de la sauce. Dresser. | |

Un héro doit véhiculer une valeur universelle qui brille par son absence!ça sert à combler cette lacune qui existe au fond de nous meme quand on est face à son miroir :où est-ce qu'on n'a pas à etre lache! comme défendre des principes qui font que la vie soit digne d'etre vécue... La réalité peut des fois dépasser la fiction,mais les vrais héros dans la vie ,on les découvre avec le temps ,l'expérience et l'échange avec les autres et c'est seulement eux qui comptent! Malheureusement,pour plus d'un

les êtres vivants 11Au commencement, Dieu crée le ciel et la terre. 2La terre est comme un grand vide. Elle est dans la nuit. Une eau profonde la recouvre. Le souffle de Dieu se tient au-dessus de l'eau. 3Dieu dit: «Que la lumière brille!» Et la lumière se met à briller. 4Dieu voit que la lumière est une bonne chose. Alors il sépare la lumière de l'obscurité. 5Dieu appelle la lumière «jour», et l'obscurité, il l'appelle «nuit». Il y a un soir, il y a un matin. Voilà le premier jour. 6Dieu dit: «Qu'un

certains employés d'Apple l'ont vécu comme une volonté de leur patron de leur imposer ses petites habitudes, son style de vie. Et le challenge se poursuivait bien après l'embauche. Car les employés d'Apple étaient condamnés à briller devant leur exigeant patron en toutes circonstances. L'une des grandes craintes de chaque salarié était de se retrouver seul avec lui dans un ascenseur Steve Job a toujours énormément exigé de ses collaborateurs: du génie et de l'amour, bien sûr, mais aussi une disponibilité