Tournure

la base de types d'arguments différents. Dans le premier, l'argumentation est directe ; les tournures négatives et l'utilisation de verbes à valeurs morale qui traduisent un jugement le montrent : « il n'y a point » ; « ne sont point » ; « ils ne sont donc pas » ; « aucun homme n'a » ; « ne sont point » // « peut être justifié » ; « qu'on ne puisse légitimer » ; « il ne peuvent être ». Ces tournures réfèrent de façon directe au droit, à ce qui peut ou pas être, et à ce qui ne doit pas exister

remarque aussi la repetition de l'adjectif noir '' cravate de soie noie '' (l.11) et ''sillon noir'' (l.14) , le noir ; une couleur dominante qui par ces conotations evoquent la mort . Les tournures indefinies '' je ne sais quoi de funeste qu'aucune parole humaine ne pourrait exprimer''(l.19 à 20) .Ces tournures mettent en evidence l'aspect indefinissable ,fantomatique du personnage . Le vocabulaire de l'étrangeté ''etonnement''(l.5) ,''effet bizarre''(l.15) et ''spectacles surnaturels'' (l.5) donne

allitération en [t] et [r]) 2e strophe : Après la jeunesse, la vieillesse semble se profiler ; B. poursuit la métaphore des saisons (« l’automne des idées ») Les tournures impersonnelles comme « il reste » (1ere strophe) ou « il faut » (verbe modal qui indique une obligation) montre que le poète est impuissant face au temps qui passe « la pelle et le râteau » = des outils :

alors projeté dans la pièce et y est totalement intégré. De plus, la connaissance des conflits entre les personnages, permet au spectateur de les comprendre, et d'analyser la situation. Ce sont justement ces conflits qui peuvent faire prendre une tournure différente à la pièce. Chez Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne, notons que Coelio, un jeune homme romantique, sensible et fragile croise le chemin de Marianne et tombe éperduement amoureux d'elle. Toutes ses tentatives de l'aborder n'aboutissent

dont les enfants sont gloutons » - Incapacité à parler : « il n’était capable d’un entretien suivi avec personne, sauf … », « on ne pouvait plus tirer un mot de lui » - On peut d’ailleurs observer que l’auteur emploie à plusieurs reprises des tournures négatives : il ne savait pas, il n’était capable…..avec personne……sauf 2. Un homme plein de colère - Champ lexical : « brusque », « violent », « courrouçable » (courroux : irritation vive contre un offenseur, courroucer : mettre en colère, irriter)

Relat° logiq., lien cause à effet entre aspect physiq. («noir depuis les...») & vie esclaves. Structure syntaxiq. consécutiv. («q.») 4)Quatrième argumt: Théologiq. • Lexiq. associé («Dieu», «sage»). Logiq. raisonnemt mis en évidence par tournure hyperboliq. («on ne peut...»): arg. Incontestable, logiq. Oppose noir & âme, incompatibles, car noir= mal (Bible). 5)Cinquième argumt: Ethnologiq. • Relatif certaines coutumes («peuples d'Asie», «eunuq.»). A nouveau, lien cause à effet

vieillard fait l'éloge de l'ignorance "inutiles lumières"   Discours mis à distance par le dialogue de A et B :  commentaire de A : point de vue critique jugement "abrupt et sauvage" mais note des "tournures européennes"      pas authentique, pure fiction écrite par un européen  réponse de B : tournures dues à la traduction d'Orou      justifie l'authenticité du discours par un personnage fictif    Ironie de Diderot qui rappelle que tout n'est que fable et fiction.

comme : « un obus avait toussé ». On peut donc dire que ces poètes, ayant des sentiments malheureux, de désespoir ou de malaise par rapport à quelqu’un ou quelque chose, les décrivent d’une telle façon que la lecture enchante l’esprit grâce à ces tournures et ces formulations. « Le mal est nécessaire : s'il n'existait pas, le bien

seconde nous analyserons partie les motivations des usagers à utiliser un tel langage. Existe-t-il un mariage entre l’oral et l’écrit ? A première vue, oui. Lorsque l’on se penche sur une conversation entre deux utilisateurs d’un réseau social, les tournures de phrases utilisées, l’abréviation des mots est assez surprenante. Ce langage codé, est d’autant plus difficile à comprendre. En effet, pour les non-initiés il s’agit d’un réel combat pour pouvoir comprendre, analyser les mots, leur significations

faire, mais ce moment fixera l’attention de la postérité la plus reculée. » Olympe de Gouges veut donc graver les esprits. De plus, le fait qu’elle pastiche la Déclaration de 1789 en y incorporant les femmes, soit par des tournures généralisantes, soit par des ajouts, renforce son propos universaliste. Son œuvre est constituée de 17 articles évoquant « les droits naturels, inviolables et sacrés de la femme ». Les mots, forts de sens, nous montrent la grande force assertive