Totalitarisme Ressemblance Différence

des ouvriers dits normaux - des ouvrières en réalité - prend le relais de ceux que l’on dit « débiles profonds ». Dans ce va et vient, qui n’a cessé de travailler, en souterrain, ma réflexion philosophique, j’apprends à mesurer la différence à l’aune de la ressemblance. L’une et l’autre sont les deux faces d’une action éducative engagée que je crois possible de tenir ensembles par le biais de la « différance ». J’emprunte ce terme, critiquables et critiqué, à Jacques Derrida qui joue du double sens

d'organisation. Il est clair que ce cheminement présuppose une définition authentiquement scientifique des réalités que l'on met face à face. A moins d'inventorier complètement des phénomènes réellement comparables et de ne jamais se laisser égarer par les ressemblances superficielles et les analogies controuvées, on court à l'erreur. Rappelons-nous également que la méthode comparative doit rester le fondement de toute généralisation, de tout principe théorique, de toute loi universelle applicables à notre objet

enjeux sont ceux d’une lutte symbolique pour la conquête d’une reconnaissance sociale et parfois politique. Le mot image a également beaucoup de synonymes : description, gravure, peinture, photographie, portrait, reflet, représentation, ressemblance, tableau, allégorie, caricature[5]. Mais dans notre travail nous serons intéressés par son aspect en tant que représentation mentale de la culture et du peuple russe. L’approche historique permet la mise en lumière des différentes lignes

tels que une journée d'Ivan Denissovitch d’Alexandre Soljenitsyne (1962), un Tombeau pour Boris Davidovitch de Danilo Kis (1976), ou encore la Plaisanterie de Milan Kundera (1967) ont été pour beaucoup dans la prise de conscience des méfaits du totalitarisme soviétique. Plus spécifiquement, c’est la destruction de la sphère de la vie privée, lieu par excellence du roman, qui est dénoncée dans ces œuvres. Enfin, on peut noter le développement au XXe siècle d’un nouveau genre de roman, la dystopie ou

ces personnes constitue un état. Parfois, le paradoxe est que ce qui uni, ce qui uni ces différente personne a un seul ordre juridique. Dans l’approche objective, on peut être en présence de personne parmi lesquelles il peut exister des grandes différences, notamment d’ordre linguistique, religieuse, économiques, on peut même affirmer que tous ceux qui composent cette population ne reste pas le même attachement au même ordre juridique. Il n’en demeure pas moins que ces personnes forment une seule

contenu subjectif - la “moralité» - pour réserver à l’éthique le soin d’étudier objectivement, sur le plan théorique, les principes de l’action humaine en tant qu’ils s’inscrivent dans un groupe social déterminé. La langue témoigne ici de cette différence. Si le terme de «morale» renvoie à un contenu existentiel, entendons la «moralité» de chacun d’entre nous, le terme d’«éthique» en est totalement dépourvu, puisque le terme d’«éthicité» n’existe dans aucune langue. On dira de même, pour juger une

l’examen de la réalité même s’il a toujours une préoccupation normative. Montesquieu s’inspirant de Locke : la DDHC ne pose plus la rencontre entre le droit libéral et le courant démocratique, il illustre la relation de Montesquieu et Rousseau (totalitarisme légal). La volonté de mettre en œuvre une démarche scientifique s’impose également dans le domaine de l’économie ouvrant au libéralisme économique. Ainsi, le chef de file des physiocrates François Quesnay auteur d’un ouvrage dans lequel la terre

Théâtre, deux conditions sont requises, la condition nécessaire est que les enfants, les hommes jouent et prennent du plaisir à la représentation et la condition suffisante est que le poète ou l’acteur y parle comme s’il était quelqu’un d’autre. A la différence de la musique et de la danse par exemple. Cette définition et ces conditions confèrent au théâtre son autonomie et son éternité: le jeu, le poète, le poète parlant au nom d’un autre. De cette définition nous pouvons avancer que l’acteur est

consacrées à la réhabilitation des droits de l’Homme. Il les évoque comme une formidable promesse d’émancipation, de lutte contre l’oppression, l’exploitation, etc.) ; Mao Zedong. Quels rapports ? Parler du « marxisme », c’est ne pas penser les différences entre ceux qui s’en prévalent mais aussi de ne pas faire de différenciation entre les théories de Marx et Engels des ceux qui se sont réclamés du marxisme. I) Marx et Engels Un concept : la « dictature du prolétariat ». La dictature est une idée

sociaux comme des malades par exemple. Dans une société donnée, chaque groupe, quand il se différencie, a nécessairement une constitution particulière. Il n’y a pas de groupe qui ne se soit constitué d’une certaine manière, il peut y avoir des différences énormes entre certains groupes même. Le constitutionnel se préoccupe de l’ensemble des corps sociaux qui se constituent, renvois à des corps matériels (animaux, végétaux, objets). Il existe DES droits constitutionnels, et même en dehors de l’état