Totalitarisme Ressemblance Différence

conscience morale n’est pas innée. Elle est le produit de la société, c’est à dire que c’est la société qui nous apprend la différence entre le bien et le mal. Il y aurait donc un ancrage social dans notre rapport au bien et au mal. Malgré la divergence des points de vue sur la genèse de la conscience morale, pour l’homme, elle est une force parce qu’elle lui permet de faire la différence entre le bien et le mal. B] La conscience comme faiblesse : 1/ la conscience comme illusion Pour Karl Marx, la conscience

L'approche matérielle a pour vertu principale de fixer des exceptions, des originalités qui ont un sens d'un point de vu juridique mais pas forcément d'un point de vu philosophique. Ex : Distinction entre droit public et droit privé crée l'illusion d'une différence de nature entre l'individu et l'État et la relation entre les individus. L'approche matérielle est insatisfaisante mais a la vertu de nous rappeler que derrière la règle de droit il y a une réalité sociale. 2 L'approche organique C'est l'approche

emploi et assurances sociales. Les avis des économistes divergent sur les mécanismes économiques à l’origine de la crise de 1929 : - Pour les libéraux, l’efficacité interventionniste n’est qu’une illusion, et risque de conduire les pays vers le totalitarisme (F.Hayek : La route vers la servitude – 1944). Jacques Rueff en France dénonce les indemnités chômage et la rigidité des salaires, Lord Robbins considère que la crise est déjà en germe dans la trop forte augmentation des salaires des années 20

judéo-chrétienne : à l’image de dieu/ Evolution (processus mécanique sans sujet : c’est l’avantage comparatif de variation hasardeuse qui est le moteur de l’évolution, pas d’intention, pas de projet, pas de finalité). Frontière : différence de degré ou bien différence de nature. La place de l’homme dans notre tradition chrétienne et humaniste se caractérise par le dualisme : l’homme est dans le monde mais il n’est pas du monde. - Définir/distinguer/chercher les opposés/chercher les proches ;

commencent à se réunir en Etats-Nations, elles proposent des postes équivalents de ceux de l’Eglise dans une organisation laïque. Ainsi, dans les grands moments charnières des Etats, l’importance est accordée aux éléments pratiques car il faut ressemblance entre institutions déjà connues et nouvelles. Des 1000ers de personnes venant d'une culture très aguerrie vont à bien des égards transférer des concepts de gouvernement dans une constitution. Ex : Tout comme le pape peut être condamné si dilapide

juridique. Elles se caractérisent par une volonté propre qui les fait agir et grâce a laquelle elles peuvent fédendre leurs intérêts spécifiques. Toute personne à une volonté propre, des intérêts spécifiques, éventuellement un patrimoine propre. A la différence des choses. Les choses n’ont pas de volonté, pas d’intérêts, pas de patrimoine, ne peuvent donc pas agir ni être des acteurs de la vie juridique. Les animaux ne sont pas des personnes car ils n’ont pas de volonté mais c’est une chose animée. Un

la recherche de l’utile propre ; par suite il ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation de la vie. Spinoza, Ethique, IV Cette critique des passions tristes est la première grande différence qui démarque Spinoza du stoïcisme classique. Une autre grande différence est que chez Spinoza, l’« acceptation du destin » prend la forme de l’amour de Dieu, c’est-à-dire de la Nature, c’est-à-dire de l’Univers, c’est-à-dire du Tout (car Spinoza est panthéiste : pour lui, Dieu ne désigne

la recherche de l’utile propre ; par suite il ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation de la vie. Spinoza, Ethique, IV Cette critique des passions tristes est la première grande différence qui démarque Spinoza du stoïcisme classique. Une autre grande différence est que chez Spinoza, l’« acceptation du destin » prend la forme de l’amour de Dieu, c’est-à-dire de la Nature, c’est-à-dire de l’Univers, c’est-à-dire du Tout (car Spinoza est panthéiste : pour lui, Dieu ne désigne

recherche de l’utile propre ; par suite il ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation de la vie. Spinoza, Ethique, IV Cette critique des passions tristes est la première grande différence qui démarque Spinoza du stoïcisme classique. Une autre grande différence est que chez Spinoza, l’« acceptation du destin » prend la forme de l’amour de Dieu, c’est-à-dire de la Nature, c’est-à-dire de l’Univers, c’est-à-dire du Tout (car Spinoza est panthéiste : pour lui, Dieu ne désigne

la recherche de l’utile propre ; par suite il ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation de la vie. Spinoza, Ethique, IV Cette critique des passions tristes est la première grande différence qui démarque Spinoza du stoïcisme classique. Une autre grande différence est que chez Spinoza, l’« acceptation du destin » prend la forme de l’amour de Dieu, c’est-à-dire de la Nature, c’est-à-dire de l’Univers, c’est-à-dire du Tout (car Spinoza est panthéiste : pour lui, Dieu ne désigne