Totalitarisme Première Es

Les totalitarismes dans l'entre-deux-guerres. Le mot totalitarisme est employé pour la première en 1924 par un journaliste socialiste pour qualifier le régime du fasciste Benitto Mussolini. Plus tard, Hannah Arendt en donnera une définition plus poussée dans Les origines du totalitarisme en 1951 :  « Domination de tous les individus dans toutes les sphères de leur vies ». En effet l'entre deux guerres voit l'apparition de régime autoritaire où la société prime sur l'humain. Ils sont au nombre

actuel » : La planète en guerre : l’extrême violence du siècle. La première guerre mondiale marque le siècle ; communisme, fascisme, nazisme en sont en grande partie issus ainsi que la seconde guerre mondiale. Elle annonce l’extrême violence du siècle marqué par la guerre totale, les génocides et le goulag. (…) L’extermination des juifs par les nazis : un crime contre l’ Humanité: un crime contre l’humanité. Pour la première fois dans l’histoire du monde, des hommes, des femmes et des enfants

Suite du totalitarisme : Pour l’Italie : Résumé II-B : la dimension collectiviste et institutionnelle du fascisme mussolinien donne lieu à une dictature terrible car elle nie l’individu et le met au service de l’Etat. L’art est au service de la dictature et de son économie. La révolution fasciste instrumentalise le pays, sa civilisation, son passé pour servir ses seuls intérêts.* Pour nazi Résumé II-C : le moteur de la dictature nationale-socialiste est une violence raciste et antisémite car

Le siècle des totalitarismes [Histoire] Introduction sur la notion de totalitarisme ● Le mot désigne une ensemble de similitudes entre 3 systèmes politiques qui ont marqué l’histoire du XXe s. : le régime fasciste italien (1922-1943), le régime national-socialiste – ou nazi – allemand (1933-1945) et le régime communiste soviétique (1917-1991), surtout pour ce dernier durant l’époque où Staline le dirige (1924-1953). ● L’adjectif « totalitaire » est utilisé pour la première fois en 1924 par le

PARTIE 3 Le siècle des totalitarismes La première moitié du XXe siècle est marquée par l’apparition de trois régimes politiques singuliers : l’URSS de Staline, l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie. Pour les caractériser, les historiens ont créé un nouveau concept, celui de totalitarisme, dont la définition, l’étendue, voire la validité ont été débattues depuis sa création – voir supra les objectifs et la problématique du chapitre 6. Les documents de cette double page permettent de présenter

autoritaire s et totalitaires Séparation des pouvoirs = Démocraties Pouvoir exécutif (exécuter les lois) - Président + premier ministre Le Président signe les ordonnances (héritières des décrets-lois des Républiques précédentes. 1986-1988: Pendant la première cohabitation, le Président à refuser sa signature à trois reprises. On a donc cru que la constitution ne fixait aucun delai pour la signature des ordonnances. Pouvoir législatif (voter les lois) - Parlement = Sénat + Assemblée Nationale Le Président

nous parlerons d'opportunisme. Cette contradiction fera l'objet d'une seconde partie. Mais dans un premier temps, nous nous pencherons sur les diverses formes d'autorités, qui d'un point de vue moral ne mériteraient pas le respect. L'objectif de la première partie étant de restituer à l'autorité sa définition originelle, souvent confondue avec ce qu'elle n'est pas à savoir, violente et irrespectueuse du pacte social. Autorité et justice Les lois de la conscience et le droit positif Platon

verrons enfin l’impact et les limites de ce document dans un troisième temps. A première vue, on aperçoit immédiatement un élément qui perfore le regard, un personnage bien plus grand que tous les autres, Benito Mussolini. Son portrait géant est exposé au centre et en haut de l’image, afin de rendre la confusion impossible. Ce portrait gigantesque symbolise le culte du Chef, ici le Duce, un principe indubitable du totalitarisme. Mussolini est et doit être le plus important, comme en témoigne la taille

verrons que la discussion et le débat sont au cœur du fonctionnement de la démocratie ; et qu’il est nécessaire - on doit le faire - de porter un jugement critique sur la démocratie et ses dangers pour éviter que le régime ne soit dévoyé.     (première partie)  Le débat public est au cœur du fonctionnement de la démocratie. L’une des caractéristiques de l’Etat de droit est de comporter des séparations, qui limitent le pouvoir de l’intérieur. L’Etat est d’ailleurs conçu comme une entité supérieure

le camp des Balillas Bien qu’ils ont des similitudes chaque régime à ses spécificités. Les premières différences que l’on peut relever sont : Le fascisme est un totalitarisme d’Etat (maintien des démocraties comme la présence du roi), mais aussi un homme nouveau, qui peut être égale à l’époque antique (viril, conquérant) n’étant pas un parti raciste de base. Le nazisme lui est un totalitarisme de race (racisme qui vise la domination d’une seule race : la race aryenne, blond yeux bleus, sportif