Totalitarisme Limite

qui complète les racines préexistantes. Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux naturels précédents toute association et qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social, telles que la morale, au profit du libre choix et de l'intérêt de chaque individu indépendamment des autres1. La question de l'articulation entre « libéralisme

principaux de ces deux modèles ? Quelles sont les grandes phases et les grandes étapes de la Guerre froide ? I-Les grands modèles idéologiques A-Stalinisme et tentative de réformes du modèle soviétique 1-Le totalitarisme soviétique Un totalitarisme est une dictature qui cherche à contrôler au maximum tous les individus de la société et tous les aspectes de la vie des gens. En 1945, l’URSS est considérablement affaiblie par la guerre Elle a subi plus ou moins

(abolition de la réalité au profit d'un solipsisme ou abolition du langage au profit d'une réalité qui se dirait d'elle-même) → remise en question de la relation du langage et d'un Autre, donc la possibilité d'une parole et d'une pensée libre. « Le totalitarisme langagier correspond à une forclusion de l'altérité. » qui instaure le règne de Même, la négation de la transcendance (ouverture à autre chose) propre au langage. On voit alors que le langage totalitaire n'est pas un anéantissement du logos mais

démocratie représentative Arendt Hannah, Le système totalitaire, (1951), Paris, Seuil, coll. Points, 1972 Avril P., La Ve République. Histoire politique et constitutionnelle, Paris, PUF, 1994. Berstein S., Démocraties, régimes autoritaires et totalitarisme au XXè siècle, Paris, Hachette, 1992, 251 p. Burdeau Georges, La Démocratie, Paris, Seuil, 1978. Constant F., 1998, La citoyenneté, Paris, Ed. Monchrétien, coll. clefs Meny Yves, Politiques comparées, les démocraties, Domat Politique, ed. Montchrétien

le mode de vie qu’il avait et le monde qui l’entourait et un bon exemple de phénomène serait 1984 de George Orwell. Écrit en 1949 en Angleterre et en temps d’après-guerre, les tensions mondiales étaient à leur comble : communisme; libéralisme; totalitarisme, quel moyen était le mieux pour gouverner une société? Vers quoi devions-nous pencher et de quoi aurait l’air notre monde futur sous ces types de pouvoir si populaire en ce temps. Voilà ce qu’aborde George Orwell dans son livre dystopique. En analysant

notion « fourre-tout » d’autoritarisme pour le moins biaisée mais qui reste compréhensible en raison des ambiguïtés intrinsèques au régime mais aussi au manque d’information concernant cet Etat. Si la différence entre les termes autoritarisme et totalitarisme n’est pas toujours évidente, on peut comprendre qu’au regard des ambiguïtés de la Constitution nord-coréenne et du manque d’informations concernant cet Etat, il ne soit pas évident de classer ce régime dans un « type » particulier. a) Un système

décolonisation. (Changement de Constitution en France • GPRF et de Gaulle proposent aux Frçs une consultation nationale le 21 oct. 1945 (femmes votent) : changer de Constitution (jugée responsable de la défaite en 1940) ? + Quelle ass élue ? (pouvoirs limités = constituante seulement – désaccord des radicaux et communistes sur la réponse « oui »). - Elections > les deux partis qui se réclament du marxisme et socialisme = majorité absolue à l’ass. - De Gaulle élu à l’unanimité par l’ass c. président

six reprises. Mais il est également historique car « hors de l’histoire, l’homme n’est rien » (l.22). En conséquence, l’idéal et la réalité sont tous deux confondus dans la doctrine fasciste empêchant alors toute critique. C’est pourquoi le totalitarisme et le nationalisme s’en trouvent fortement exacerber. B- Une opposition forte face à leurs adversaires politiques Dans le cheminement de la mise en place d’un régime de masse, le fascisme essaie de s’extraire du

Hannah Arendt et Sigmund Freud, ou dans les arts avec les pièces de Bertold Brecht, les livres de Franz Kafka et les films de Costa Gavras. En science politique, c’est la théorie d’Hannah Arendt, qu'elle exprime dans son livre Les origines du totalitarisme, qui demeure la plus connue de toutes, et, à mon sens, la plus réaliste dans sa description des processus à l’oeuvre dans les régimes de terreur totale du 20ème siècle. Dans son livre La Peur: Histoire d’une idée politique, Corey Robin écrit à

modifiées, c’est risquer de tomber dans la sclérose. Le destin des révolutions, vous le savez, est souvent tragique, toutes ou presque ayant glissé vers la pétrification : 1789 avec la Terreur, Octobre 1917 avec le stalinisme, Cuba versant dans le totalitarisme castriste, etc. (2°) Ces quelques rappels ont leur raison d’être : aborder à l’examen des formes actuelles d’art politique, celles des deux dernières décennies, en tenant compte d’une évolution plus que sensible dans les mentalités (en Occident