Totalitarisme Et La Mobilisation Des Masses

(1947-1991).................................................................. 80 De nouvelles conflictualités depuis 1991 ............................................... 96 Le siècle des totalitarismes Genèse et affirmation des régimes totalitaires ..................................... 113 La fin des totalitarismes ........................................................................ 130 Colonisation et décolonisation Le temps des dominations coloniales .........................................

Pluralisme politique - Libertés individuelles - Système représentatif … Entraîne aussi une démocratisation. Dans les états européens, les peuples sont de plus en plus associés à la vie politique = on entre progressivement dans « l’air des masses ». Mais peu d’états sont encore des démocraties abouties. Par exemple, l’Empire russe se « crispe » sur l’ancien régime. La libéralisation ne progresse pas partout de la même façon à cause des mutations sociales et économiques, qui se font sentir

conséquences (transformations des peuples, changements de régimes politiques, changements économiques, bouleversement des sociétés,...). De plus, elle a un grand impact sur le mouvement des idées et les idéologies (notamment avec l'émergence du totalitarisme). Quand se termine le XXe siècle ? • 1989 : Le 9 novembre, c'est la chute du Mur de Berlin. Elle marque la fin de la guerre froide et la fin d'un cycle par rapport aux tensions Est-Ouest. On voit l'URSS se disloquer mais une approche du XX

va rester neutre.     SECTION 2 : LA GUERRE DE 1914-1918 ET SES CONSEQUENCES  Ce conflit dépasse le cadre de l'Europe qui mobilise ses colonies et des pays isolationnistes comme les Etats-Unis participent à la guerre. C'est un conflit total (mobilisation de toute la société). Il bouleverse la vie politique et la vie culturelle des Etats. Il est vécu comme un choc de civilisations. C'est un conflit idéologique. Les événements de cette période marquent les décisions prises à la fin de la guerre.

réfléchir sur le présent, sur l’ère de l’acculturation des masses et du totalitarisme écrasant » affirme également Kwathar AYED8. Les contre-utopies sont donc des œuvres politiques au sens fort, puisqu’elles se veulent aussi des critiques cinglantes, « ironiques », « caricaturales »9 ou « désespérées » selon les cas, de sociétés réellement existantes, par exemple le monde plus spécifiquement « soviétique » pour ZAMIATINE ou tous les totalitarismes de son époque pour ORWELL. Comme le disait Bronislaw

 évènements.  Néanmoins,  lors  de  la  bataille  de   Stalingrad,   il   fait   preuve   d’une   remarquable   capacité   d’organisation.   Malgré   le   fait   qu’il   envoie  des  masses  d’hommes  se  faire  tuer,  Staline  est  perçu  par  le  peuple  comme  l’homme   «  qui  a  sauvé  la  nation  Russe  de  l’esclavage  Nazi  »17          

régimes ont du leur naissance à une sorte d’alliance informelle avec les forces conservatrices et que cette alliance leur a permis d’accéder au pouvoir. Double tactique de ces mouvements : on multiplie les incidents, mobilisation de la population à travers les milices du parti ; mobilisation des élites conservatrices avec l’argument que l’installation d’un régime autoritaire permettra de mettre fin à la crise du régime démocratique. On suspend la légitimité démocratique et on donne le pouvoir démocratique

polyarchie : système politique pluraliste de libre concurrence pour atteindre le développement politique i les base sur le modèle politique américain des années 60. L’autre est Karl Deutsch il prend un autre critère il parle de mobilisation sociale atteinte par chaque société mesuré, ce que reprendra Bourdieu. « le capital social », il utilisera le degré des allégeances traditionnelles communautaires ce sont les liens des clans, des tribus, du village, des ethnies, plus ces

c’est un mythe mobilisateur dans le combat contre la bourgeoisie. SOREL fait un parallèle très clair entre la guerre sociale qui oppose deux classes, et la guerre tout court, et à ses yeux, la grève générale est à la guerre sociale, ce que la mobilisation générale est à la guerre tout court. Donc la grève générale ne se confond pas avec la Révolution elle-même, en revanche, elle mobilise les esprits et les prépare à la Révolution à venir. Cette conception de la grève sera très longtemps reprise

voulaient annexé ces pays au sein d'espaces unifiés. b) Attentat de Sarajevo. (28 juin 1914) L'archiduc François Ferdinand est assassiné. → Le 28 juillet l'Autriche déclare la guerre à la Serbie. → Deux jours plus tard, la Russie décide une mobilisation générale. → Le 1ier août l'Allemagne déclare la guerre à la Russie et la France de son côté, mobilise ses troupes pour secourir son allié. → Le 3 août l'Allemagne déclare la guerre à la France et tente de contourner la défense française par la