Totalitarisme Des Points Communs Dans La Mise En Place Des Régimes Totalitaires

19ème siècle des sciences sociales. Bien avant cela, elle n’était que philosophiquement appréhendée. Pour Platon, en effet, la philosophie avait pour vocation de définir la cité idéale. Aristote, lui, compare les régimes politiques de son époque pour dégager la forme du meilleur régime. Machiavel développe une approche finaliste de la politique qui n’est, pour lui, qu’un moyen de lutte pour conquérir et conserver le pouvoir. Il voit donc dans la science politique une science au service des gouvernants

« La démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres », W. Churchill. La démocratie trouve ses origines étymologiques dans deux mots grecs que sont le demos (le peuple) et le kratein (le pouvoir). Elle se définit communément par la formule de Lincoln du « gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple. ». Elle est le produit de la recherche, par les Grecs, du meilleur régime possible. Ces derniers ont consacré, à travers la démocratie directe, un peuple souverain.

« A la mort de Kim Jong Il, les médias français ont qualifié la Corée du Nord de « dernier bastion stalinien de la planète » Les régimes autoritaires et totalitaires Au début de l’année 2014, dans le contexte du soulèvement d’une partie de la population contre le régime en place en Ukraine, l’opposante emprisonnée Ioulia Timochenko a comparé le président Viktor Ianoukovitch à Staline, l’accusant de transformer l’Ukraine en « Corée du Nord ». Plus de vingt ans après la chute de l’Union Soviétique

d'Hitler. Ce sont deux régimes totalitaires dont le terme a été utilisé pour la première fois par un écrivain Italien pour désigner son pays. Ils utilisaient la propagande et la terreur pour imposer leur pouvoir et avaient un même objectif qui nécessitait une obéissance totale et aveugle de la population. Nous demanderons alors quelles étaient les similitudes et les différences entre ces deux régimes. Dans une première partie, nous nous pencherons sur leurs points communs puis, dans une seconde

les produits de l’activité politique), dont ce que l’on appelle les politiques publiques etc. On précisera plus loin les objets de la discipline. Il est utile - d’en étudier l’émergence (et la consolidation) - mais aussi les exigences d’un point de vue scientifique C’est ce que l’on fera dans ce chapitre introductif   CHAPITRE INTRODUCTIF : Qu’est-ce donc que la science politique ? Elle a une histoire (I). C’est là que l’on va distinguer science politique d’hier et science politique

largement une illusion. ELIAS comme CLASTRES défend une conception large du politique mais il ajoute un élément par rapport à CLASTRES c'est que nous avons moins l'impression d'être contraint que nos ancêtres car nous avons intériorisé la norme au point qu'elle nous apparaît normale, naturelle, évidente. Notre socialisation a déposé en nous des habitudes qui font que nous avons l'impression d'être libre alors même que nous nous plions aux exigences de la vie collective. Selon ELIAS, l'auto-contrainte

sont imputables à la vie politique, c’est-à-dire l’Etat) - Politisc : processus (liés à l’exercice du pouvoir dans une société donnée.) Le pouvoir politique se donne comme objectif de réguler la société, et pour se faire, de réguler des normes communes. Les différents acteurs du politique : On a d’abord l’Etat et les instances collectives de régulation et de codification des relations sociales Les hommes et les femmes politiques mais aussi les partis politiques Les comportements politiques

aussi de l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Belgique, le Royaume-Uni. Il n’y a pas d’état fédéral qui sont devenu état régional. De pars la diversité au sein même d’un pays, l’état deviens un état régional pour palier au problème spécifique d’un point données ou d’une communauté. Les états unitaires décentralisés bénéficient de compétence uniquement administrative. Dans un état régional vont bénéficier de compétence administrative mais on certaines compétence législative. Il n’y a quand même qu’une

CHAPITRE 3 : De la Russie à L’URSS (1905-1991) I. Antécédents : la Russie au début du XXème siècle 1) Régime Tsariste Monarchie dirigée par un tsar. Tsar : Chef de l’état. Il ne doit sa place de chef à personne. Autocratie : Pouvoir appartient à une seule personne, celle-ci ne doit des comptes à personne, pouvoir par moi-même, j’ai le pouvoir parce que je suis le fils ainé du tsar, devoir rendre de compte à personne. Dynastie des Romanov. Dernier Tsar = Nicolas II (Romanov), il règne

MASTER 1- Philosophie politique Cours commun : Pr. Jean-Michel BESNIER Les pages qui suivent sont destinées à compenser les séances des 7 et 10 mars 2006 qui n’ont pu avoir lieu. Ces séances devraient être suivies par deux cours sur Nietzsche. Tocqueville et Nietzsche sont convoqués dans la réflexion proposée par le cours commun (J-M. Besnier, A. Boyer et A. Renaut) sur la raison pratique dans la mesure où ils occupent une place de choix dans la mise en question de la subjectivité et de la