Tortue luth

arts. Il faut dire qu'a la fin du XVème siècle, l’église catholique est en crise. En 1509, dans « l’éloge de la folie », Erasme reproche aux fonctionnaires de l’église leur manque d’intérêt pour la religion. Encouragé par les humanistes, Martin Luther, un moine allemand, puis Calvin, aide de Henri VIII, ont dénonce les abus de l’église et de ses représentants. De ces dénonciations est née la reforme protestante qui a donne lieu aux églises épiscopales, luthériennes, etc. l'une des conséquences

brûlés lors d’autodafés. LA REFORME PROTESTANTE : * Martin Luther critique l’Eglise. Le clergé catholique est souvent défaillant : curés ignorants et ne respectant pas les principes religieux, évêques délaissant leur diocèse, papes vivant comme des princes. Il ne répond pas aux angoisses des hommes qui ressentent les catastrophes de la fin du Moyen Age comme une punition de Dieu. En 1517, le moine allemand Martin Luther dénonce la vente des indulgences et publie 95 thèses pour réformer l’Eglise

Luther : Un moine rebelle 1. A) La peur du jugement final. Il se sentait pêcheur malgré sa vie sans excès ni faute, il essaya de comprendre l’Évangile sous un autre angle différent tentant ainsi de déterminer la vraie « justice de Dieu ». B) Il n’aimait pas la représentation d’un dieu vengeur. Il accuse le pape, les évêques et tous les disciples de l’enseignement religieuse d’être des prêcheurs et de ne vouloir que la richesse. Il accuse les gens de l’Église de prétendre être les seuls maîtres

Martin Luther et Lucas Cranach l’Ancien Plan : I°) Le portrait de Martin Luther II°) Le portrait de Lucas Cranach l’Ancien et ses liens avec le pouvoir III°) Les liens entre Lucas Cranach l’Ancien et Martin Luther IV°) Réflexion personnelle V°) Ouvrages de Martin Luther et Galerie de Cranach VI°) Sources I°) Le portrait de Martin Luther [pic] Né à Eisleben le 10 novembre 1483, Martin Luther était le fils de Hans Luther, mineur dans

porte-parole comme Martin Luther est plus que le bienvenu à cette époque. Martin Luther est un moine allemand, dénonçant ces abus et pense que seule la foi peut donner le paradis aux hommes, ce qui provoque son excommunication par le pape. Le succès est rapide en Allemagne : des jeunes clercs, quelques humanistes, des princes adhèrent à ces idées. Vers la moitié du XVIe siècle, les États allemands se divisent selon le principe : tel prince, telle religion. La Réforme protestante de Luther gagne aussi la

accessible à tous. C'est un énorme succès. Mais à cette époque, commence à s'élever la voix d'un Réformiste, Luther, qui tonne contre les dérives de l'Eglise. Les guerres de religion se profilent à l'horizon. Erasme est sommé de choisir son camp (les Catholiques ou les Evangélistes). En 1521, Erasme s'installe à Bâle et une querelle tant philosophique que théologique s'engage avec Luther. La tension devient trop forte et Erasme fuit à Friboug. Soucieux, comme tout humaniste, de la concorde au

va donc permettre, entre autres, une réforme des mariages. Le concile de Trente) est le dix-neuvième concile œcuménique reconnu par l'Église catholique romaine. Convoqué par le pape Paul III en 1542, en réponse aux demandes formulées par Martin Luther dans le cadre de la Réforme protestante, il débute le 13 décembre 1545, le pape lui donnant comme objectif de revigorer l’Eglise Catholique. Le concile impose en premier lieu de strictes règles de conduite au clergé et en particulier aux évêques.

reli&eacutee; aux critiques des humanistes La réforme protestante de Martin Luther (1483-1546):(6) - fondation de l’église luthérienne - transforme la ‘’théorie’’ et l’organisation de l’Église - deux grandes idées : . le salut par la foi . la Bible comme source unique d’autorité - l’empereur germanique tente de faire rejeter les thèses de Luther, protestation des seigneurs qui sont favorables à la réforme d’où

pas ses sentiments hostiles à la Réforme protestante, que l'ancien moine allemand Martin Luther commence à prêcher et il n'hésite pas à l'invectiver. En juillet 1521, il envoie même au pape son traité Assertio septem sacramentorum, rédigée avec l'aide de Thomas More. Cela lui vaut le titre de « Défenseur de la foi » (Defensor Fidei)[11] décerné par Léon X, le soutien d'Érasme et des injures de Martin Luther. Dès lors, le roi d'Angleterre prend le titre d'illustrissimus, c'est-à-dire de « très illustre »

les états des Etats-Unis. Sources : Livres : Griffin, John H. Dans la peau d’un Noir, Gallimard, 1962. 249 p. Folio. Cone, James H. Malcolm X et Martin Luther King. Labor et Fides, 1991. 124 p Périodiques : Pap Ndiaye, La voix noire de l’Amérique. L’histoire, 2008, N°329, p.36-47. Andrew Diamond, Qui veut tuer Martin Luther King ? L’histoire, 2008, N°329, p.50-55 Sites : http://www.america.gov/st/diversity-french/2009/February/20090213151233jreeduos0.2713587