Tortue luth

Lavenère, deux virtuoses dans leur domaines. Ce spectacle était une sorte d’initiation à la jonglerie tout en appréciant le jeu du luth qui est des morceaux d’un célèbre compositeur allemand : Bach, qui donne du sens au nom du spectacle. Au cours de cette représentation on assiste a de la jonglerie avec plusieurs sortes de balles et même avec des pommes au début. Le luth donne au spectacle un coter poétique qui nous séduit peu à peu. Ce qui nous impressionne est aussi la difficulté des chorégraphies

théorbe C'est un instrument à cordes pincées, utilisé en soliste mais aussi en basse continue Au XVIIe siècle il coexiste deux types de théorbes : le romain et le padouan. Le théorbe romain, a les plus grandes proportions. Le théorbe est une sorte de luth avec un manche assez différent. Les cordes à la touche sont doublées.  Il y a deux tailles de théorbes, c'est en général le plus grand qui est utilisé. Un théorbe du 17ème Le Classicisme Cette période se situe entre 1760 et 1820. Musicalement

6 : Inde du Nord. Nature du document : Compact Disc ; enregistrement réalisé à Radio France avec des instruments indiens traditionnels (Sarod, Tabla, Tampura). Mots-clés : enregistrement, traditionnel, sonorité, Amjad Ali Khan, Sarod. Définition : luth trapu à manche large (Pochette du CD). Document 7 : L’art de la vichitra vina. Nature du document : Compact Disc ; enregistrement réalisé à Paris avec des tablas et une vichitra vina. Mots-clés : enregistrement, traditionnel, percussion, sonorité

l'instrument (la basse de viole est tenue entre les jambes, d'où son nom, et l'archet est également tenu de façon différente). • Le luth est un instrument de musique à cordes pincées. Bien que voisin de la guitare, le luth a connu une histoire différente et distincte, les deux instruments ayant coexistés au cours des périodes principales de la musique. Le luth est presque entièrement en bois. La table est faite d'une fine planche de bois résonnant en forme de poire. Tous les luths ont parfois

laSeconde Guerre mondiale. Des ensembles « baroqueux » s'attachent aujourd'hui à faire redécouvrir les plus belles pages de ce répertoire. Jean-Baptiste Besard (1567-1625)  Il était luthiste et compositeur. Il a laissé de nombreuses pièces pour luth (dont des suites), et des airs de cour. Jacques Champion de Chambonnières (1601-1672)  Il était organiste de la Chapelle Royale et claveciniste à la cour de Louis XIII. Il fut un des fondateurs de l'école française de clavier. Il composa exclusivement

Son manche est généralement coupé de frettes sur lesquelles on appuie les cordes pour produire des notes différentes. C'est la version européenne la plus courante de la catégorie organologique des luth-boîte à manche. Elle se différencie des instruments similaires (balalaïka, bouzouki, charango, luth, mandoline, oud, théorbe) principalement par sa forme, et secondairement par son accord le plus habituel. Des variantes de guitare sont appelées, régionalement, par des noms particuliers : viola, violão

l'instrumentarium médiéval, les « hauts » et les « bas » instruments, définis selon leurs emplois et leurs sonorités : hauts instruments pour le plein air comme les tambours, les cornemuses, les trompettes, etc. et bas instruments pour la musique d'intérieur, luth, vièle, guiterne, etc. Hauts instruments le bendir : instrument de percussion d'Afrique du Nord. le chalumeau :clarinette la cornemuse: La cornemuse est un instrument de musique à vent et plus particulièrement à anches. Il en existe plus d'une

que le chromatisme envahit peu à peu la musique. Sous la Renaissance on utilise encore des harpes diatoniques (Gargantua de Rabelais apprend à jouer de la harpe). Mais le manque de chromatisme entraîne une désaffection de l'instrument au profit du luth et des instruments à clavier en train de naître. Pour pallier ce handicap, les luthiers italiens construisent la arpa doppia, la harpe double contenant deux rangées de cordes parallèles. C'est alors que, en 1697, un luthier bavarois, Hochbrücker, imagina

Les instruments utilisés pour réaliser cette partie sont un ou plusieurs instruments monodiques graves (violoncelle, viole de gambe, …) qui jouent la ligne de la basse écrite, et un ou plusieurs instruments harmoniques. Le clavecin, orgue, théorbe, luth, guitare baroque réalisent quant à eux l'harmonie complète, en fonction des chiffres notés sous les accords lorsqu'il y en a, ou en fonction des autres parties lorsque ces chiffres sont absents. De nombreux traités ont été écrits concernant cette pratique

à vent proche de la flute), ou au tobshuur (instrument à cordes pincées). Ils sont chantés lors des fêtes et des rituels. Les chants épiques (ou Ülger) sont des chants qui racontent la mythologie mongole dans les steppes. Ils sont accompagnés au luth ou à la vièle. Les chants khöömei sont des chants graves. Ces chants consistent en un bourdon (à la voix) sur lequel s’ajoute d’autres voix qui composent la musique. Le nombre de participants à ces chants peut même s’élever jusqu’à 40 ! Ce sont des