Torche

| |« C’est » v.15 |« l’avenir » v.20 | |« Doit » v.18 | | |→ en tête de vers | | - Comparaison : « Comme une torche qu’il secoue / Faire flamboyer l’avenir ! » v.19-20 - Série d’hyperboles : « sur toutes les têtes » v.15, « En tous temps » v.16, « où tout peut tenir » v.17 → Géant magnifique et généreux - « utopies » v.13 : le pluriel est significatif

celui-ci, leurs chevaux faisaient trembler le sol, soulevant des nuages de poussières semblables à des tempêtes de sables. Le feu flamboyant de leurs torches fit fuir tous les animaux présents dans les étables. Les habitants du village étaient terrorisés, et n'osaient pas sortir plus d'un œil des fenêtres afin de regarder ce qui se passait. Soudain, des torches se mirent à voler dans les cieux et atterrirent sur les chaumières du village. Des cris d'enfants et de femmes se firent retentir, ceux qui cherchaient

« Pendant que recommence à voltiger le va-et-et vient des torches colombes ». Cette phrase instaure également une dimension exceptionnelle à la scène et fait référence à l’arche de Noé. Le loup joue aussi un rôle important. On a l’impression qu’il a lui-même choisi cet endroit au bord d’un mur et qu’ainsi il accepte sa mort alors qu’il pourrait sauter. Il y a donc personnification de cette bête : « Il nous regarde. Il cligne des yeux à cause des torches ; et, tout ce qu’il fait, c’est de coucher deux ou

espagnole) l'épée est brisée mais une fleur pousse dessus : délicatesse, espoir dans cette scène d'horreur visage féminin qui tient une torche= communauté internationale, témoin indigné qui veut faire lumière sur l’événement/ symbole de liberté pour l'avenir femme prisonnière des flammes= les bras levés au ciel en croix rappelle le tableau de Goya Tres de Mayo lampe torche en forme d’œil= œil du peintre qui domine la scène, lueur d'espoir, soutien de l'artiste au peuple pour continuer la lute Liens

est laid, et Baudelaire a su tirer de ce Mal des textes véritablement admirables au sens propre. On pourrait encore citer les quelques vers dissyllabiques qu’exprime Gargantua3, en parlant du meilleur « torche-cul » qu’il ait trouvé. Il est impressionnant de réaliser que l’auteur y a décrit le « torche-cul » en vers, rendant une certaine forme de beauté à cette explication. On saurait cependant exposer un argument de Socrate, lors d’une discussion avec Calliclès4, ou Socrate prouve à Calliclès que

Interprétation - La réponse de l'architecte à la commande La statue de la Liberté représente une femme drapée brandissant une torche de la main droite. Dans sa main gauche, elle tient une tablette sur laquelle la date de l'indépendance des Etats-Unis est inscrite en chiffres romains JULY IV MDCCLXXVI (4 juillet 1776). La tablette évoque la loi ou le droit alors que la torche renvoie "aux lumières" (mouvement philosophique du XVIIIème siècle). La flamme est recouverte de feuillets d'or. La tête de

montre aussi des qualités d'orateur. De nombreux chapitres de l'œuvre sont exclusivement consacrés à la thématique de l'éducation. Cet enfant précoce qu'est Gargantua montre, à travers des épisodes comme ceux des chevaux factices ou de l'invention du torche-cul, quelques prédispositions. Ses potentialités, évidentes, jaillissent aux yeux du lecteur. Celles-ci concernent deux grands domaines : l'action et la parole.Gargantua, certes flegmatique par nature, agit, et le chapitre XII met cela en exergue

apparaît une énigmatique porteuse de lumière dont on n’aperçoit que le buste. La tête blanche, comme aspirée, entre furieusement dans l’image, étirée par un long bras droit tenant une torche. Ainsi, la lecture du tableau fait apparaître six figures principales. On observe aussi une composition en triangle dont la torche constitue le sommet. Cette composition triangulaire met en évidence une organisation en trois parties : la partie gauche est occupée par le taureau et la femme à l’enfant la partie

évenements. On pourrait même penser que les éléments liés à la chasse sont détournés au profit du spectacle, avec « la lumière monte » l. 13, qui n'est pas sans nous rappeler les lumières présentes sur une scène. On peut y ajouter la répétition du mot « torche » l. 17, 34, ce qui forme un champ lexical de la lumière, et donne l'impression que la chasse est mise en valeur par les "feux de la rampe". De plus, les termes « voltiger » et « va-et-vient » l. 34 insistent sur l'idée de jeu et d'appartenance au

par la deuxième chambre civile en date du 19 octobre 2 006 se place dans un courant de jurisprudence qui s'abtient de recourir à la notion de garde en commun. En l'espèce, il s'agit de trois mineurs ayant fabriqué des torches avec du foin, dont l'un s'est brûlé et a lâché une torche sur de la paille qui a provoqué un incendie détruisant totalement un hangar. La Cour d'appel déclare les trois mineurs solidairement responsables sur le fondement de la garde commune, car ils ont chacun pris part à la