Topos Scène De Première Rencontre

d’une scène sensuelle «  se pâme » qui rime avec « femme » + évocation des parti du corps «  sein » « main » « lèvres » Le poète a perdu son cœur = registre pathétique B. L’épique Changement de registres entre quatrain (pathétique) et tercets (épique) Scène de violence entre l’homme et la femme : « cœur assiégé » : comparaison entre la femme et ennemi guerrière Verbes d’action, énumération, // de construction  mouvements, cohue,action,orgie Hyperbole du nombre «  cohue » : passage d’une scène amoureuse

2) Cette réflexion, plus profonde que les échanges dialogués du reste de l’œuvre est également remarquable par le niveau de langue employé. Une fois seul avec lui-même, la langue devient correcte : « je ne sais en ce moment.. ». b. Une mise en scène peu crédible La dramatisation est un procédé très présent dans l’œuvre de Queneau et ce passage ne fait pas exception. En effet, si le monologue entame une réflexion plus profonde et sérieuse que dans le reste du roman, elle est aussi traitée sur le

explications linéaires1. Marivaux, Les Fausses confidences a) Acte I, scène 14 Introduction : Les Fausses confidences de Marivaux est une pièce de théâtre en trois acte et en prose représentée pour la première fois en 1737. Marivaux est principalement un auteur de pièces de théâtre, inspiré par la commedia dell'arte, il écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Le plus souvent il y est question dans ses pièces d'amours légers, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage"

Périphrase « le sexe supérieur en beauté comme en courage dans les souffrances maternelles » référence « beau sexe » + « sexe faible »= présentation malicieuse de l’accouchement= signe de + grande force· Transition : fin de préambule = place F devant la scène + annonce les articles· · Mouvement 4 : F = singulier -> F=genre =/ individualités (allégorie symb )· Mention H montre symétrie droit H/F ; répétition mot « droit » = thème principale · Article 2 = fin extrait : énumération droits naturels + imprescriptibles

Cléante et Angélique s’avouent mutuellement leur amour - texte C : Cyrano, se faisant passer pour Christian, avoue son amour à Roxane - texte D : Monsieur A et Madame B s’avouent mutuellement leur amour => on peut repérer que l’aveu est mutuel, la scène équilibrée dans les textes B et D (comédies), alors que l’aveu est problématique et indirect dans les textes A et C (respectivement tragédie et comédie héroïque). - autres points communs et différences entre les textes : on remarquera que les textes

le vers crée un rythme particulier : le rythme de l'alexandrin traditionnel est bouleversé par la multiplication des coupes (2-1-3//6). L'effet de cadence majeure (groupes de mots de plus en plus longs) souligne le caractère marquant de l'entrée en scène de l'inconnue et mime sa démarche, tout en exprimant le bouleversement du poète. Le lecteur assiste à une découverte progressive de la femme, dont il suit l'avancée, accompagnée d'une accentuation des sensations et sentiments : d'abord la silhouette

Commentaire composé : Aurélien (Aragon) Première page du roman significative. Mise en place d'une obsession Roman qui se définit contre certaines traditions. Ici, scène de rencontre. Habituellement phrase: « leurs yeux se rencontrèrent » (l'Education sentimentale, Flaubert). Ici, rencontre amoureuse iconoclaste. Mise en place d'une tonalité (normal, c'est un roman). Mélancolie intérieure. Enonciation: première ou troisième personne. Prosaïsme -----> les cheveux courts, ça demande du soin

avez presque tous réussi à le faire ces derniers temps, sauf F******* (ah ! mais oui, c’est vrai qu’il ne l’avait pas traitée, la question ;-) Le premier paragraphe doit montrer que la SITUATION*** est identique : un homme voit une femme pour la première fois : on devine le début d’une histoire d’amour. Le deuxième paragraphe doit traiter ce qui est différent dans la SITUATION*** *** Oui, certains d’entre vous sont passés à côté de ce mot. Ils ont dit des choses intéressantes, ont noté des différences

ANALYSE COMPLETE DU PASSAGE : Cette scène est, sans aucun doute, la plus emblématique de « Roméo et Juliette ». Elle a, en effet, été soumise à de nombreuses réécritures aussi bien littéraires que cinématographiques ou encore musicales. Mais, quels sont les enjeux de la scène initiale ?   Tout d’abord, il faut savoir que le nom de la scène du balcon est d’ores et déjà une première interprétation du spectateur. En effet, à aucun moment, le metteur en scène mentionne qu’il s’agit d’un balcon mais

vers 1 à 16, nous étudierons l’identification du poète au personnage du migrant dont l’exil est aussi désir d’une communauté perdue . Dans un second temps, du vers 17 au vers 26, nous suivrons le poète dans une expérience désespérée et dégradée de rencontre et d’union. Du vers 27 à la fin, nous analyserons son retour à la solitude 1-16 l’émigrant double du poète .Vers 1 C’est un vers qu’il convient d’isoler puisqu’il réunit en un même énoncé la figure du poète («  tu ») et l’évocation d’un