Ton Image En Tous Lieux Peuple Ma Solitude

d'opinions si différentes, aux femmes, qui, par tout pays, ramènent de tous leurs moyens les hommes aux lois de la nature. Elles m'en ont donné une preuve évidente en ce que la plupart de ces traductions ont été faites par des dames ou des demoiselles. J'ai été enchanté, je l'avoue, de voir mes enfants adoptifs revêtus de costumes étrangers par leurs mains maternelles ou virginales. Je me suis donc cru obligé à mon tour de les orner de tous les charmes de la typographie et de la gravure françaises, afin

possibilité de travailler sur la perception de la ville moderne de certains poètes du XIXème et du XXème siècle. La ville paraissait se modifier considérablement avec la révolution industrielle et les techniques modernes et elle offrait déjà une image polluée, grise, quasiment monstrueuse. Les élèves ont pu ainsi étudier l’évolution du paysage urbain à travers les regards aiguisés de poètes aux sensibilités diverses : Rimbaud, en poète visionnaire, Verhaeren, cynique et sans illusions, Apollinaire

travail plastique (peinture, découpage…) • Atelier livre pauvre : fabriquer une microédition associant texte / travail plastique • Écriture à partir de photos des lieux fréquentés par Van Gogh. Rédiger à la 1re personne, comme dans une autobiographie. 2. ÉCRIRE POUR RENDRE JUSTICE Dans TV, on remarquera la récurrence d’une même idée pour tous les métiers (pasteur pour le père de Vincent, pharmacien pour le père de Gaston) mais plus encore pour l’ar- tiste : la raison d’être de chacun d’entre eux est

l’ordre donné par Dieu à Abraham au moment où Il lui promit d’établir une alliance éternelle avec lui et toute sa descendance : Et voici mon alliance qui sera observée entre Moi et vous : c’est-à-dire ta race après toi (…) quand ils auront huit jours tous vos mâles seront circoncis de génération en génération (Gn 17, 10-12). Celui-là même qui, par amour des hommes, a accepté de revêtir la nature humaine qu’il a créée, a poussé la compassion jusqu’à assumer celleci dans son état déchu et corrompu, sans

qu’un homme qui ne travaille que pour la gloire se puisse taire d’une protection aussi glorieuse que la vôtre ? Non, Monseigneur, il m’est trop avantageux que l’on sache que mes amis mêmes ne vous sont pas indifférents, que vous prenez part à tous mes ouvrages, et que vous m’avez procuré l’honneur de lire celui-ci devant un homme dont toutes les heures sont précieuses. Vous fûtes témoin avec quelle pénétration d’esprit il jugea l’économie de la pièce, et combien l’idée qu’il s’est formée

il n’y a plus de droit divin, il y a un malaise métaphysique et existentiel, puisqu’il n’y a plus de Dieu pour gouverner le monde : celui-ci devient une énigme. Ce malaise crée une douleur qui peut être rattachée au mal du siècle, un sentiment de solitude tragique. Un conflit intérieur important naît chez l’individu. Le « moi » va prendre de plus en plus d’importance dans la littérature. On va rejeter l’ancien régime, la morale conventionnelle, et se proclamer individu unique. Napoléon est vaincu

notables… Besançon : le séminaire de Besançon est bien l’école par excellence de l’hypocrisie, de la méchanceté, de l’arrivisme et de la division. Etre prêtre devient un métier, une situation pour les fils de paysans pauvres et ambitieux. A Besançon, tous les hommes en place appartiennent à la congrégation. Paris : exerce sur les esprits une fascination et un pouvoir quasi despotiques, parce que c’est « le théâtre des grandes choses ». Y règnent la politesse et la distinction. Stendhal veut mettre

feinte bonté se tournant en fureur, Les délices de Rome en devinrent l'horreur. Que m'importe, après tout, que Néron, plus fidèle, D'une longue vertu laisse enfin le modèle ? Ai−je mis dans sa main le timon de l'Etat Pour le conduire au gré du peuple et du sénat ? Ah ! que de la patrie il soit, s'il veut, le père : ACTE PREMIER 3 Britannicus Mais qu'il songe un peu plus qu'Agrippine est sa mère. De quel nom cependant pouvons−nous appeler L'attentat que le jour vient de nous révéler

feinte bonté se tournant en fureur, Les délices de Rome en devinrent l'horreur. Que m'importe, après tout, que Néron, plus fidèle, D'une longue vertu laisse enfin le modèle ? Ai−je mis dans sa main le timon de l'Etat Pour le conduire au gré du peuple et du sénat ? Ah ! que de la patrie il soit, s'il veut, le père : ACTE PREMIER 3 Britannicus Mais qu'il songe un peu plus qu'Agrippine est sa mère. De quel nom cependant pouvons−nous appeler L'attentat que le jour vient de nous révéler

narcisse Que tardez-vous, Seigneur, à la répudier L’empire, votre cœur, tout condamne Octavie. Auguste, votre aïeul, soupirait pour Livie Par un double divorce ils s’unirent tous deux, Et vous devez l’empire à ce divorce heureux. Tibère, que l’hymen plaça dans sa famille, Osa bien à ses yeux répudier sa fille. Vous seul, jusques ici contraire à vos désirs, N’osez par un divorce assurer vos plaisirs. néron Et ne connais-tu