Tombe des Inconnus

demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. J’ai choisi ce poème car il ma touché sincèrement avec l’histoire de ce poème car on comprend

loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, extrait du recueil «Les Contemplations» Jeune fille, l'amour, c'est

puisqu’il est question des voiles car Harfleur est une ville de Normandie proche de Villequier qui est le lieu du drame et le lieu où se situe le cimetière où Léopoldine est enterrée. o La fin du poème constitue une chute dans la mesure où le mot « tombe » fait prendre conscience qu’il s’agit d’un poème funèbre plutôt qu’un poème d’amour. o Le poème se clôt par une offrande funéraire. Le houx est éternellement vert ce qui peut symboliser l’éternité que le poète veut donner à sa fille. Ce sont

de printemps" Entendant des sanglots, je poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte. Tout dans ce lieu lugubre effrayait le regard. Sur le grabat gisait le cadavre hagard ; C’était déjà la tombe et déjà le fantôme. Pas de feu ; le plafond laissait passer le chaume. Les quatre enfants songeaient comme quatre vieillards. On voyait, comme une aube à travers des brouillards, Aux lèvres de la morte un sinistre sourire ;

références au spirituel sont énoncés tout au long de celle-ci à caused’une opposition entre l’au-delà et l’enfer. Conscient de sa condition humaine, Charles Baudelaire supplie un « Toi » inconnu désignant une entité surnaturelle : « J’implore ta pitié, Toi, l’uniqueque j’aime, (1) / Du fond du gouffre ou mon cœur est tombé (2) ». Par ces vers, l’auteur montre qu’il voit sa chute venir vers l’enfer ainsi que son impuissance face à ce qu’il lui arrive. Par lasuite, ce dernier décrit, dans la majeure partie

des droits politiques. Chaque femme était dépendante d’un homme : soit de son mari soit de son père (si elle n’était pas mariée). Ce code limitait gravement les femmes jusqu’en 1938, quand il a été déclaré inconstitutionnel (Le Code Napoléon, date inconnue). Ainsi, au temps que tous les événements du roman passaient, Thérèse était soumise de ce code judiciaire et de ses limitations. Comme l’on voit dans le roman, les destins des filles des familles très traditionnelles ont été planifiés. Ces familles

Frère et sœur : Inconnu J’ai peur de ne plus avoir de gel J’ai peur de me casser un ongle J’ai peur de perdre mon charme J’ai peur de ne plus être en première page des magazines J’ai peur d’avoir trop de talent J’ai peur que le coiffeur rate ma coupe de cheveux J’ai peur de ne plus aussi bien simuler que dans ma jeunesse J’ai peur de casser ma Ferrari J’ai peur de ne pas participer au prochain défilé de mode J’ai peur de finir maçon comme mon père Nom : Inconnu Prénom : Kadoc Age

loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Introduction: Le poème écrit en octobre 1847 a été daté du 3 septembre 1847, veille

traduire l’arrivée de l automne, un cycle que s’achève, la fin de la vie, la mort d un homme. Au vers 6, «  Son ombre tombe dans le vide », « L ombre » qui est l’extinction d’une âme humaine qui devient ombre. Ce soldat meurt. Au vers 12, « Le monde s affaisse dans un trou » qui sous- entend la mise en bière d’une personne. Le mot trou renvoie l’image de la tombe, de l’enterrement d une personne mais aussi du cratère fait par l’obus. Au vers 3, « la poussière », Pierre REVERDY

j'ai un big poids dans mon cœur. Je ne sais pas par ou commencer. Donc voilà en une année une histoire c'est construit et c'est vraiment solide et réciproque. Pendant l'année scolaire 2012-2013, j'ai fais la rencontre d'une personne totalement inconnue au-par avant, mais cette personne maintenant est à laissé des traces dans mon cœur et dans mon corps. Avant la rencontre de cette personne j'étais folle amoureuse de mon mari, même si on ne s’étaient pas vue pendants 3 ans. Mais cette personne