Titi parisien

eux beaucoup plus jeunes, et possèdent des formes moins érodées[b 2] — les Alpes culminent à 4 810 mètres d’altitude au Mont Blanc[7]. Ces massifs délimitent plusieurs bassins sédimentaires, notamment le bassin aquitain au sud-ouest et le bassin parisien au nord[b 2] — ce dernier comprend plusieurs régions au sol particulièrement fertile, notamment les plateaux limoneux de la Beauce et de la Brie[b 3]. En outre, diverses voies de passage naturelles, telles que la vallée du Rhône, permettent des communications

technico-économique= point de vue économique, la presse se porte bien d’un point de vue économique. PAS DE CONCURRENTS, on parle d’âge d’or PARIS en 1910 quotidiens environ 60 titres En 2011, 12 quotidiens nationaux En 1910 : * Le petit journal * Le petit parisien * Le matin * Le journal Les 4 + vendus à Paris Presse politique La gauche : - le cri du peuple * L’Humanité (toujours en 2011) Centre : - Le temps * Le Figaro Droite : - La Patrie * L’éclair Religieux : - La croix

sont eux beaucoup plus jeunes, et possèdent des formes moins érodéesb 2 — les Alpes culminent à 4 810 mètres d’altitude au Mont Blanc7. Ces massifs délimitent plusieurs bassins sédimentaires, notamment le bassin aquitain au sud-ouest et le bassin parisien au nordb 2 — ce dernier comprend plusieurs régions au sol particulièrement fertile, notamment les plateaux limoneux de la Beauce et de la Brieb 3. En outre, diverses voies de passage naturelles, telles que la vallée du Rhône, permettent des communications

des radios publiques et privées. On retrouve Radiola, fondée par SFR pour vendre ses récepteurs ; radio LL rachetée par Blanchet, le fondateur de Publicis, et renommée Radio Cité ; le journal Le Petit Parisien va aussi investir dans la radio et créer Le Poste Parisien. C'est dans le Poste Parisien qu'on va inventer la revue de presse radio ; Radio Tour Eiffel va être privée mais avec un statut officiel. Une série de lois et de décrets vont réaffirmer le principe de monopole d'Etat sur toutes

des articles déjà publiés des concurrents. Il était le 1er à inclure des réclames, qui permettait de réduire les couts. Publié a 22000 exemplaires. Le petit journal 1863 créé par Millaud, prix de vente 5 centimes, 1 000000 d’exemplaires Le petit parisien en 1876, 1,5 millions d’exemplaires La gazette de Renaudot en 1631 A Londres le daily universal en 1785 1889 le wallstreet journal a NY Le time en 1923 La radio : Média le plus répondu, + de 99% des français possèdent un récepteur et 83%

du journal (héritiés dans le CA, au gouvernement, avec un sens citoyen qui dépasse leurs petites vies et leurs propres vies). Ses journaux ont eu du mal à se développés car la presse nationale était diffusée en Bretagne, avec par exemple le Petit Parisien qui tirait à un million et demi. On a vu apparaître aussi en Bretagne,la presse satyrique. La Cloche bretonne (Lorient), le canard Ploermelais qui prévenais ses lecteurs de la parution en fonction des gaffes et autres bouffonneries. La presse étrangère

Décrochement par le Grand sillon houiller de la faille du Nort sur Erdre, se prolonge par la faille de Lalaye-Lubine dans la Foret Noire = zone de suture sud. La zone de suture nord passerait en Manche, grand décrochement très ancien dans le bassin parisien : faille de Braye. Se branche sur une grande faille qui passe par le bord sud du schiste rhénan et se prolonge toujours plus vers le Nord Est. Structure nord : Anomalie magmatique sous la Manche : roches basique. Elle serait décalé par la

aspects : les plaines de la Flandre et du Languedoc sont des plaines littorales récentes ; les vallées enserrées entre les montagnes, comme celles du Massif central, le couloir du Rhфne et la plaine de l’Alsace sont des plaines d’effondrement. Le Bassin parisien n’est qu’une suite de bas plateaux séparés par de larges vallées. Les plaines sont reliées par des seuils, comme par exemple celui de Bourgogne entre les plaines de la Saфne et de l’Alsace, puis celui de Poitou qui nfacilite la communication

démocratisation d'un certain type de culture à tous s'est donc toujours accompagné d'une mutation profonde de la culture en général, et pas de manière toujurs négative. Déjà, début Xxème, quatre grands journaux parisiens dominent : le Petit journal, le Journal, le Matin et le Petit Parisien qui constituent 40% des tirages nationaux et imposent donc leur contenus culturels aux masses – avec une certaine vision politique – et encouragent la standardisation des savoirs. Cette culture dominante, bien

rural. Dans certains cas, notamment au sud, le facteur explicatif primordial réside dans le bilan migratoire. • Les régions de fortes densités sont les suivantes : d'abord les grandes villes et les périphéries rurales telles que Paris et la région parisienne (20 % de la population française), Bordeaux, Lyon et parfois de véritables conurbations, comme Lille-Roubaix-Tourcoing. Les aires urbaines concentrent aujourd'hui l'essentiel de la population ; les vieux bassins industriels, comme les régions