Tiers-Ordre franciscain

pape. Le défenseur de la paix permet de montrer l'Empereur comme celui qui fait régner la paix. C) Guillaume d'Occam (1290 – 1349) C'est un moine franciscain anglais et c'est un penseur du nominalisme. Ce qui va pousser GO à prendre parti pour l'Empire contre la papauté, c'est le fait que l'ordre des franciscains connaît des démêlés assez importants avec la hiérarchie de l'Église et la papauté. Selon GO, l'Église est une institution humaine donc elle n'est pas infaillible

dans un premier temps au détriment de la papauté, alors que l'Église, mais aussi le pouvoir impérial traversent à tous points de vue une crise grave, au Xe siècle, et il faut attendre la réforme grégorienne (seconde moitié du XIe siècle – premier tiers du XIIe siècle) pour que le pape affronte l'Empereur germanique, lors de la querelle des Investitures. Cette dernière, qui s'achève sur un compromis, est déterminante pour assurer l'indépendance du siège apostolique. Au XIIIe siècle, enfin, la papauté

Programme officiel II. L’Occident féodal (XIe-XVe s.) Thème 3 – La place de l’Église Correspondance avec le manuel Chapitre 4. L’Église en Occident Démarches L’étude est conduite à partir de : - l ’exemple au choix d’une abbaye et de son ordre religieux masculin ou féminin - l ’exemple au choix d’une église romane et d’une cathédrale gothique, dans leurs dimensions religieuse, artistique, sociale et politique - l ’exemple au choix d’une œuvre d’art (statuaire, reliquaire, fresque,

hypothèses : - C’est une adaptation du texte latin. Mais le fait que ce soit une traduction n’est peut-être pas tout à fait juste, car on n’a pas retrouvé de traces latines pour les épopées. - Assemblage de chansons que l’on aurait remis en ordre. Mais ça demande beaucoup trop de travail. Les chansons se répartissent en trois cycles : - Le cycle (ou geste) du roi : on y relate les guerres de Charlemagne. On y retrouve la chanson de Roland. La chanson de Roland : il s’agit de

intellectuelle » profane. Bien avant la prise de pouvoir de ces appareils d’État par les bourgeoisies, un espace se dégage progressivement de l’affaiblissement du pouvoir religieux. Espace dans lequel s’engouffrent aussi bien les tenants du nouvel ordre social que les « nécessiteux ». Imprégnées de « valeurs » religieuses desquelles elles s’inspirent, les bourgeoisies se construisent un discours de justification du présent – leur propre situation sociale – et du futur – leur rôle à venir. Le discours

rendait des avis juridiques (= les senatus consultes) tellement respectés qu’ils étaient presque toujours suivis. Mais l’empereur se met à « prier » le Sénat (= oratio principis) de prendre telle ou telle mesure, et cette prière est en réalité un ordre. Plus tard, cette façade tombe et l’empereur a officiellement l’imperium. Il n’est pas soumis aux règles qu’il impose. On dit qu’il est la « loi animée ». On lui accorde un pouvoir législatif énorme alors qu’il ne parvient pas à véritablement imposer

sous la dictée d’un jongleur. Si sa mémoire lui fait défaut, il “inventera”. A partir du XIIIème s., le public souhaite des cycles : le copiste va rassembler dans un même manuscrit des épisodes pris ça et là d’une histoire et les recopie dans un ordre plus ou moins cohérent. Tous ces remaniements s’expliquent par le désir d’adapter au goût du public, qui change sur 3 siècles, une oeuvre donnée. LE CLERC C’est un homme cultivé, passé par l’université, appartenant à l’Eglise : ils sont généralement

politique, mais aussi un régime juridique. On a un éclatement du pouvoir, puis un éclatement du droit. C’est le temps des coutumes car chaque seigneurie à son propre droit. La féodalité est aussi un système social : le clergé, la noblesse, et le tiers Etat. Cette féodalité enserre les personnes et les biens. Pour les biens, ca distingue les tenues nobles, les fiefs, et les tenues roturières. La féodalité a pesé lourdement sur le droit familial. Mais, ca ne concerne que les deux classes extrêmes

théocratie royale A partir de ce sacre et pour les générations futures, ce que le roi fait sur terre n’a qu’un but : conduire le peuple au salut. Le roi doit assurer la paix, la charité. Tout ce qu’il pose comme acte est sensé être inspiré par un ordre moral. Les sphères politiques et religieuses ne sont pas séparées, c’est donc une théocratie. Plus tard, cette mission reviendra au Pape (théocratie papale). On ne fait pas de séparation intellectuelle entre politique et religieux. Charlemagne

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